Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Kaileena, l'Impératrice des Papillons


Par : SyndroMantic
Genre : Fantastique, Horreur
Statut : Terminée



Chapitre 52


Publié le 24/12/2010 à 19:00:18 par SyndroMantic

Le vieillard toucha le sol, décontenancé malgré la quiétude de la rivière.
« Aaargh... Qu... Qu'est-ce que tu m'as fait ?!
- Petit mécréant... Ta vie ne vaut pas celle d'une limace. Tu n'as même pas le charisme d'un vrai méchant... Il n'y a rien à faire. Tu fais pitié, c'est tout, rien d'autre... ne veux même pas savoir pourquoi tu as été comme ça. Le monde ira mieux, sans toi. Tu es une tare de la nature. Personne ne peut vouloir d'un malade mental comme toi. Combien de fois faudra-t-il te le répéter !? »
Une seconde passa. Un grain tomba. L'homme sortit de la fontaine...







































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































Le vieillard marqua un arrêt, le sourcil levé sur ses yeux grand ouvert.
« Mais... tu... Tu me l'as déjà dit, ça... !?
- Petit mécréant... Ta vie ne vaut pas celle d'une limace. Tu n'as même pas le charisme d'un vrai méchant... Il n'y a rien à faire. Tu fais pitié, c'est tout, rien d'autre... ne veux même pas savoir pourquoi tu as été comme ça. Le monde ira mieux, sans toi. Tu es une tare de la nature. Personne ne peut vouloir d'un malade mental comme toi. Combien de fois faudra-t-il te le répéter !? »
Une seconde passa. Un grain tomba. L'homme sortit de la fontaine...







































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































LLe vieillard s'efforça de garder l'esprit, se touchant le front pourtant dénué de fièvre.
« Attends... ! C'est quoi, ce... Qu'est-ce qui se passe ?!
- Petit mécréant... Ta vie ne vaut pas celle d'une limace. Tu n'as même pas le charisme d'un vrai méchant... Il n'y a rien à faire. Tu fais pitié, c'est tout, rien d'autre... ne veux même pas savoir pourquoi tu as été comme ça. Le monde ira mieux, sans toi. Tu es une tare de la nature. Personne ne peut vouloir d'un malade mental comme toi. Combien de fois faudra-t-il te le répéter !? »
Une seconde passa. Un grain tomba. L'homme sortit de la fontaine...







































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































Le vieillard se mit à respirer plus vite. La peur se lisait en lui.
« Kaileena... ! A... Arrête, c'est... C'est pas drôle !
- Petit mécréant... Ta vie ne vaut pas celle d'une limace. Tu n'as même pas le charisme d'un vrai méchant... Il n'y a rien à faire. Tu fais pitié, c'est tout, rien d'autre... ne veux même pas savoir pourquoi tu as été comme ça. Le monde ira mieux, sans toi. Tu es une tare de la nature. Personne ne peut vouloir d'un malade mental comme toi. Combien de fois faudra-t-il te le répéter !? »
Une seconde passa. Un grain tomba. L'homme sortit de la fontaine...







































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































Le vieillard se tenait les mains sur le crâne, l'œil vitreux.
« Je... C'est pas vrai... c'est un cauchemar... !
- Petit mécréant... Ta vie ne vaut pas celle d'une limace. Tu n'as même pas le charisme d'un vrai méchant... Il n'y a rien à faire. Tu fais pitié, c'est tout, rien d'autre... ne veux même pas savoir pourquoi tu as été comme ça. Le monde ira mieux, sans toi. Tu es une tare de la nature. Personne ne peut vouloir d'un malade mental comme toi. Combien de fois faudra-t-il te le répéter !? »
Une seconde passa. Un grain tomba. L'homme sortit de la fontaine...








































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































" Tantôt sonnera l'heure où le divin hasard,
Où l'auguste vertu, ton épouse encore vierge,
Où le repentir (oh ! la dernière auberge !),
Où tout te dira... "
 
Charles Baudelaire.







































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































Le vieillard était rouge de fureur. L'affolement vibrait dans sa voix.
« Arrête ! Ferme-la ! Tu me dégoûtes !
- Petit mécréant... Ta vie ne vaut pas celle d'une limace. Tu n'as même pas le charisme d'un vrai méchant... Il n'y a rien à faire. Tu fais pitié, c'est tout, rien d'autre... ne veux même pas savoir pourquoi tu as été comme ça. Le monde ira mieux, sans toi. Tu es une tare de la nature. Personne ne peut vouloir d'un malade mental comme toi. Combien de fois faudra-t-il te le répéter !? »
Une seconde passa. Un grain tomba. L'homme sortit de la fontaine...







































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































Le vieillard s'accroupit, les bras devant la tête pour cacher son chagrin.
« Je te déteste... ! Tout ce que tu dis est faux... ! Je te déteste... ! Je te...
- Petit mécréant... Ta vie ne vaut pas celle d'une limace. Tu n'as même pas le charisme d'un vrai méchant... Il n'y a rien à faire. Tu fais pitié, c'est tout, rien d'autre... ne veux même pas savoir pourquoi tu as été comme ça. Le monde ira mieux, sans toi. Tu es une tare de la nature. Personne ne peut vouloir d'un malade mental comme toi. Combien de fois faudra-t-il te le répéter !? »
Une seconde passa. Un grain tomba. L'homme sortit de la fontaine...







































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































Le vieillard souriait en croisant les doigts sous sa ceinture, sans expression.
« Bonjour, Kaily... Comment ça va, aujourd'hui ? Il fait beau, hein... Sinon, de quoi voudrais-tu qu'on parle ? J'aime bien discuter avec toi, tu sais...
- Petit mécréant... Ta vie ne vaut pas celle d'une limace. Tu n'as même pas le charisme d'un vrai méchant... Il n'y a rien à faire. Tu fais pitié, c'est tout, rien d'autre... ne veux même pas savoir pourquoi tu as été comme ça. Le monde ira mieux, sans toi. Tu es une tare de la nature. Personne ne peut vouloir d'un malade mental comme toi. Combien de fois faudra-t-il te le répéter !? »
- Oh, regarde ! Une magnifique fleur d'hibiscus... ! Belle comme toi ! »
Une seconde passa. Un grain tomba. L'homme sortit de la fontaine...


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