Note de la fic :
Publié le 02/06/2010 à 18:37:54 par Calmacil
Marshall sorti de l'avion-cargo par le derrière de l'appareil, et apparut dans la noirceur du soir. Il porta le haut-parleur à sa bouche et s'adressa à toutes les troupes s'étaient regroupées en désordre.
« Messieurs ! Il semblerait que les infectés nous aient cernés. Actuellement, nous estimons qu'ils sont des milliers aux alentours de la base. Nous ne les avons pas repérés à cause de leur rapidité que nous ne soupçonnions pas, mais aussi à cause de ce putain de brouillard ambiant qui s'épaissit de plus en plus ! Nous devrons nous organiser rapidement, c'est pourquoi je vous demande de respecter rigoureusement les ordres ! »
Il fit une pause dans le but de reprendre sa respiration, puis désigna seize soldats.
« Vous ! Vous allez immédiatement me prendre toutes les jeeps et les camions que vous trouverez. Vous allez les disposer en rond autour de notre base, afin de faire un mur qui pourra les ralentir. Les grillages de l'aéroport ne résisterons pas longtemps à leur pression. »
Les hommes le saluèrent et partirent au pas de course pour exécuter les ordres. Marshall désigna ensuite une trentaine de soldats.
« Vous, vous allez me déposer un maximum de lance-missiles, bazookas et autres, sur les jeeps en cercle que vos camarades auront placés. »
Les hommes partirent à leur tour, et il désigna une autre trentaine d'hommes qui portaient des snipers.
« Vous, vous allez vous poster au delà sur cercle de Jeeps et vous observerez l'avancée des zombies grâce à vos lunettes. N'hésitez pas à tirer. Et n'oubliez pas ! Il est plus que probable que Patrick soit dans cet énorme attroupement de zombies ! Si vous le repérez, alertez tous les autres et faites une frappe coordonnée. A tous les autres : Allez vous disposer en cercle aux alentours des jeeps, et tirez à vue ! Allez GO GO GO on se déploie ! »
Le groupe des trois cent soldats et quelques se déployèrent au pas de course vers les Jeeps que leurs camarades avaient déplacés auparavant. Léon préféra rester auprès de Zéro (qui était toujours en train d'effectuer ses symboles étranges) et de Vector. Ils se postèrent en position, derrière un camion blindé, et se mirent à attendre.
Car pour le moment, les morts-vivants n'étaient pas en vue.
Marshall remonta jusqu'à son bureau et alluma la radio, tout en mettant le casque sur ses oreilles. Il activa l'émetteur.
« Ici Marshall, me recevez-vous ? »
Seul un bruit blanc se fit entendre au début, puis un homme répondit.
« Nous vous recevons. Ici groupe cinq. Nous sommes toujours en direction de la base, les groupes six et sept sont à nos côtés.
-Reçu. Les zombies nous ont encerclés, je répète, nos zombies nous ont encerclés.
-Comment ?! Que devons-nous faire ?
-Faites une percée en fonçant à toute vitesse sur le tas. Si ils sont trop nombreux, renoncez. Cherchez à attaquer à distance ou à vous cacher.
-Reçu cinq sur cinq. »
Il éteignit la radio, puis ressorti au pas de course. A peine descendu de l'avion, un homme vint le voir.
« Nous les avons en visuel !
-Bon sang ! Tirez ! Visez la tête, qu'est ce que vous attendez ! »
Le soldat acquiesça et reparti en courant vers sa position.
Marshall décida d'aller faire un tour du campement pour jauger la situation. Les hommes étaient à présent apeurés mais ne cédaient pas à la panique. La plupart tiraient des balles à un rythme convenable, en prenant bien soin de viser la tête. Certains se tenaient couchés, en dehors des limites de voitures, afin de mieux pouvoir viser.
Il aperçut Léon et Vector qui avaient gardé leurs Katanas sur leur dos.
« Quelle bande de guignols ceux-là, s'exclama-t-il. »
James accourut une nouvelle fois jusqu'au bureau de Karl Newman et rentra sans frapper, son arme à la main.
« Monsieur, les zombies ont atteint la ville sous le mont Fuji ! Nous avons vu des passants qui couraient dans les rues, mais nous n'étions pas assez pour aller les éliminer. Nous avons besoins de vos recommandations, en tant que scientifique, pour décider de ce que nous devons faire.
-Eh bien ! Vous êtes idiot ou quoi ? Lui répondit-il sur un ton d'indignation. Vous devez immédiatement mobiliser le plus de trouver le plus de troupes possible et éradiquer ce... cinquième greffé !
-Compris ! »
Puis, il sorti de la pièce. Karl se leva à son tour. Il avait émit une hypothèse qui semblait se vérifier au fil des documents qu'il avait lu, et il était bien décidé à en informer Marshall. Il se dirigea vers le bâtiment de la base consacré à la communication, tout en observant évasivement l'épais amas de nuages gris qui polluaient le ciel.
Il rentra dans le bâtiment et s'adressa à la première personne qu'il vit.
« Excusez-moi, j'ai un besoin urgent de contacter Marshall.
-Troisième porte à gauche. »
Il se dirigea vers l'endroit indiqué, et y rentra. Il vit des hommes, visiblement concentrés, en train de s'adresser à un interlocuteur invisible. Karl fût obligé de hausser le ton pour qu'ils daignent lui prêter attention.
« Pardon... Excusez-moi ! »
Les hommes se retournèrent, visiblement dérangés. Il continua.
« Je cherche à parler à Marshall, c'est urgent.
-Impossible. Ils sont en moment en train de se faire encercler par une horde d'infectés. »
Karl s'énerva.
« Puisque je vous dit que c'est urgent ! Vous vous doutez bien que c'est pas pour tenir la conversation !
-Bon... C'est d'accord, céda l'homme. Mais précisez que vous m'avez arraché le matériel de mes mains. »
Il lui tendit son casque, et Karl le mit sur ses oreilles. Il pianota sur les touches de son appareil.
« C'est bon, vous êtes en ligne. »
L'assistant de Marshall accourut vers ce dernier.
« Général ! Nous avons reçu un appel urgent de la base. »
Marshall acquiesça et suivit l'homme jusqu'à son bureau, où il mit le casque sur sa tête.
« Ici Marshall, je vous écoute.
-Marshall, enfin ! C'est Karl, j'ai des informations importantes à te transmettre à propos du vieil ermite et de Léon.
-Bordel Karl, ici on est encerclés, j'ai pas le temps pour des discussions scientifiques !
-Ecoute bon sang ! C'est capital !
-Alors accouche !
-Eh bien c'est simple, le vieil ermite qui a confié la quête à Léon est en fait un cinglé.
-Merde, grouille toi je t'ai dit ! »
Marshall, entendant les bruits de balles qui fusaient à l'extérieur, commença à s'impatienter.
« Arrête de me couper ! Ce vieil homme était un cinglé, il n'a en réalité pas demandé à Léon de sauver le monde. En réalité, il pense que Léon est une sorte d'élu qui serait un obstacle à son plan.
-Mais c'est complètement insensé, pourquoi lui aurait-il dévoilé tout ça dans ce cas ?
-Je pense qu'en réalité il a inculqué des idées dans sa tête pour le mettre en danger... Lui faire croire qu'il pourrait tuer une armée simplement avec son épée, ou même lui faire croire qu'il aurait put éliminer tous les infectés tout seul... Mais d'après certains documents...
-Quoi ? Quels documents ?
-Les documents qu'on a trouvés dans la maison du vieil ermite. On a d'ailleurs trouvé une cinquième source du virus dans cette même maison, mais l'épidémie n'a pas encore beaucoup progressé et nous gérons cela pour le moment.
-Attends, tu veux dire qu'il y a à nouveau des infectés au Japon ? S'indigna Marshall.
-Rha, mais laisse moi finir ! On s'éloigne du sujet ! D'après certains documents, il y a une personne qui a été engagée pour tuer Léon. »
Marshall s'arrêta un instant, pour mettre en ordre ce tas d'informations qu'il avait reçu dans un bref délai.
« Bon, attends, je récapitule. Il y a des infectés au Japon, Léon est un élu qu'un certain vieux veut tuer... Mais pourquoi ça ?
-Pour... Pour recréer le monde à sa façon. Je crois que c'est ça, la Purification »
« Messieurs ! Il semblerait que les infectés nous aient cernés. Actuellement, nous estimons qu'ils sont des milliers aux alentours de la base. Nous ne les avons pas repérés à cause de leur rapidité que nous ne soupçonnions pas, mais aussi à cause de ce putain de brouillard ambiant qui s'épaissit de plus en plus ! Nous devrons nous organiser rapidement, c'est pourquoi je vous demande de respecter rigoureusement les ordres ! »
Il fit une pause dans le but de reprendre sa respiration, puis désigna seize soldats.
« Vous ! Vous allez immédiatement me prendre toutes les jeeps et les camions que vous trouverez. Vous allez les disposer en rond autour de notre base, afin de faire un mur qui pourra les ralentir. Les grillages de l'aéroport ne résisterons pas longtemps à leur pression. »
Les hommes le saluèrent et partirent au pas de course pour exécuter les ordres. Marshall désigna ensuite une trentaine de soldats.
« Vous, vous allez me déposer un maximum de lance-missiles, bazookas et autres, sur les jeeps en cercle que vos camarades auront placés. »
Les hommes partirent à leur tour, et il désigna une autre trentaine d'hommes qui portaient des snipers.
« Vous, vous allez vous poster au delà sur cercle de Jeeps et vous observerez l'avancée des zombies grâce à vos lunettes. N'hésitez pas à tirer. Et n'oubliez pas ! Il est plus que probable que Patrick soit dans cet énorme attroupement de zombies ! Si vous le repérez, alertez tous les autres et faites une frappe coordonnée. A tous les autres : Allez vous disposer en cercle aux alentours des jeeps, et tirez à vue ! Allez GO GO GO on se déploie ! »
Le groupe des trois cent soldats et quelques se déployèrent au pas de course vers les Jeeps que leurs camarades avaient déplacés auparavant. Léon préféra rester auprès de Zéro (qui était toujours en train d'effectuer ses symboles étranges) et de Vector. Ils se postèrent en position, derrière un camion blindé, et se mirent à attendre.
Car pour le moment, les morts-vivants n'étaient pas en vue.
Marshall remonta jusqu'à son bureau et alluma la radio, tout en mettant le casque sur ses oreilles. Il activa l'émetteur.
« Ici Marshall, me recevez-vous ? »
Seul un bruit blanc se fit entendre au début, puis un homme répondit.
« Nous vous recevons. Ici groupe cinq. Nous sommes toujours en direction de la base, les groupes six et sept sont à nos côtés.
-Reçu. Les zombies nous ont encerclés, je répète, nos zombies nous ont encerclés.
-Comment ?! Que devons-nous faire ?
-Faites une percée en fonçant à toute vitesse sur le tas. Si ils sont trop nombreux, renoncez. Cherchez à attaquer à distance ou à vous cacher.
-Reçu cinq sur cinq. »
Il éteignit la radio, puis ressorti au pas de course. A peine descendu de l'avion, un homme vint le voir.
« Nous les avons en visuel !
-Bon sang ! Tirez ! Visez la tête, qu'est ce que vous attendez ! »
Le soldat acquiesça et reparti en courant vers sa position.
Marshall décida d'aller faire un tour du campement pour jauger la situation. Les hommes étaient à présent apeurés mais ne cédaient pas à la panique. La plupart tiraient des balles à un rythme convenable, en prenant bien soin de viser la tête. Certains se tenaient couchés, en dehors des limites de voitures, afin de mieux pouvoir viser.
Il aperçut Léon et Vector qui avaient gardé leurs Katanas sur leur dos.
« Quelle bande de guignols ceux-là, s'exclama-t-il. »
James accourut une nouvelle fois jusqu'au bureau de Karl Newman et rentra sans frapper, son arme à la main.
« Monsieur, les zombies ont atteint la ville sous le mont Fuji ! Nous avons vu des passants qui couraient dans les rues, mais nous n'étions pas assez pour aller les éliminer. Nous avons besoins de vos recommandations, en tant que scientifique, pour décider de ce que nous devons faire.
-Eh bien ! Vous êtes idiot ou quoi ? Lui répondit-il sur un ton d'indignation. Vous devez immédiatement mobiliser le plus de trouver le plus de troupes possible et éradiquer ce... cinquième greffé !
-Compris ! »
Puis, il sorti de la pièce. Karl se leva à son tour. Il avait émit une hypothèse qui semblait se vérifier au fil des documents qu'il avait lu, et il était bien décidé à en informer Marshall. Il se dirigea vers le bâtiment de la base consacré à la communication, tout en observant évasivement l'épais amas de nuages gris qui polluaient le ciel.
Il rentra dans le bâtiment et s'adressa à la première personne qu'il vit.
« Excusez-moi, j'ai un besoin urgent de contacter Marshall.
-Troisième porte à gauche. »
Il se dirigea vers l'endroit indiqué, et y rentra. Il vit des hommes, visiblement concentrés, en train de s'adresser à un interlocuteur invisible. Karl fût obligé de hausser le ton pour qu'ils daignent lui prêter attention.
« Pardon... Excusez-moi ! »
Les hommes se retournèrent, visiblement dérangés. Il continua.
« Je cherche à parler à Marshall, c'est urgent.
-Impossible. Ils sont en moment en train de se faire encercler par une horde d'infectés. »
Karl s'énerva.
« Puisque je vous dit que c'est urgent ! Vous vous doutez bien que c'est pas pour tenir la conversation !
-Bon... C'est d'accord, céda l'homme. Mais précisez que vous m'avez arraché le matériel de mes mains. »
Il lui tendit son casque, et Karl le mit sur ses oreilles. Il pianota sur les touches de son appareil.
« C'est bon, vous êtes en ligne. »
L'assistant de Marshall accourut vers ce dernier.
« Général ! Nous avons reçu un appel urgent de la base. »
Marshall acquiesça et suivit l'homme jusqu'à son bureau, où il mit le casque sur sa tête.
« Ici Marshall, je vous écoute.
-Marshall, enfin ! C'est Karl, j'ai des informations importantes à te transmettre à propos du vieil ermite et de Léon.
-Bordel Karl, ici on est encerclés, j'ai pas le temps pour des discussions scientifiques !
-Ecoute bon sang ! C'est capital !
-Alors accouche !
-Eh bien c'est simple, le vieil ermite qui a confié la quête à Léon est en fait un cinglé.
-Merde, grouille toi je t'ai dit ! »
Marshall, entendant les bruits de balles qui fusaient à l'extérieur, commença à s'impatienter.
« Arrête de me couper ! Ce vieil homme était un cinglé, il n'a en réalité pas demandé à Léon de sauver le monde. En réalité, il pense que Léon est une sorte d'élu qui serait un obstacle à son plan.
-Mais c'est complètement insensé, pourquoi lui aurait-il dévoilé tout ça dans ce cas ?
-Je pense qu'en réalité il a inculqué des idées dans sa tête pour le mettre en danger... Lui faire croire qu'il pourrait tuer une armée simplement avec son épée, ou même lui faire croire qu'il aurait put éliminer tous les infectés tout seul... Mais d'après certains documents...
-Quoi ? Quels documents ?
-Les documents qu'on a trouvés dans la maison du vieil ermite. On a d'ailleurs trouvé une cinquième source du virus dans cette même maison, mais l'épidémie n'a pas encore beaucoup progressé et nous gérons cela pour le moment.
-Attends, tu veux dire qu'il y a à nouveau des infectés au Japon ? S'indigna Marshall.
-Rha, mais laisse moi finir ! On s'éloigne du sujet ! D'après certains documents, il y a une personne qui a été engagée pour tuer Léon. »
Marshall s'arrêta un instant, pour mettre en ordre ce tas d'informations qu'il avait reçu dans un bref délai.
« Bon, attends, je récapitule. Il y a des infectés au Japon, Léon est un élu qu'un certain vieux veut tuer... Mais pourquoi ça ?
-Pour... Pour recréer le monde à sa façon. Je crois que c'est ça, la Purification »
Commentaires
- Calmacil
05/06/2010 à 12:00:39
Je le fais.
- Bon_a_rien
05/06/2010 à 08:13:24
Remplace "Mais t'es idiote" par "Mais t'es conne?", moi je trouve ça un peu con dans le texte.
Ensuite, bon bah j'aime bien. Sweet.