Note de la fic :
Publié le 12/06/2012 à 19:02:16 par WhatCanIDo
Seb.
Jean était vraiment mal. Bien que j'étais à côté de lui, je n'osai vraiment pas lui adresser la parole. Comme je le connais, assez têtu malgré son coeur d'ange, engager une conversation avec lui déclencherait une embrouille. Mais son physique m'inquiétait profondément. Certes, il n'a pas la peau mate naturellement mais il avait une mine de fantôme, plus blanc que ça il n'y a pas. Ses petits yeux verts et lumineux tremblaient. Le trouble et le désarroi l'amenaient à être quasiment au bord des larmes.
Et il suffisait de suivre son regard perçant, en direction de la banquette arrière, pour constater qu'il était mal au point à cause d'Elodie.
Il ne fallait pas être devin ou surdoué pour se rendre compte que, malgré que leur histoire soit finie, Jean a encore le begin pour son ex. Mais un vrai coup de foudre, le vrai de vrai. Pas celui dans la cour du collège où on pariait 5 euros avec un autre pote pour sortir avec une nana toute une journée. Mais, le petit Jean, je le comprends.
Je comprends le fait qu'il trouve lamentable le comportement d'Elodie, en train de se bourrer la gueule avec des purs mongoles sur la banquette, et à rigoler comme une autruche (bon une autruche ne rit pas dans la vraie vie mais bon.. Allez on va dire une hyène)
La déprime de Jean était donc compréhensible. Je le consolai en lui proposant deux trois Dragibus (pas tout quand même, je crevais la dalle moi) et en l'incitant à penser à autre chose.
Mais rien n'à faire, sa déprime était totale et même une victoire au Loto ne le réjouirait pas. Il restait là, planté, désespéré, anéanti à regarder sa bien-aimée sombrer dans la délinquance. Devant cet infernal changement d'état, il demeurait impuissant.
- Laisse mec, tu t'en remettras. Regarde-la tu n'as pas besoin de cette pouf.
- Non Seb, tu n'as jamais connu ce sentiment, toi. Tu n'as jamais aimé. Tu ne peux pas comprendre.
- Certes, mais une chose, dis toi bien que la beauté est intérieure.. Regarde la droit dans les yeux, tu comprendras que le physique n'est pas réponse à tout.
Ma vieille morale à la con ne l'avait point résonné, mais au moins j'avais essayé. A environ deux heures du terminus, où les professeurs riaient aux éclats, la tension chauffa de plus en plus là-bas au fond.
En effet.. Ah, ben je vais vous laisser une autre personne vous raconter cette scène extravagante. Tiens euh Patrick ! Viens là s'il te plait. Prends le micro, vas-y raconte leur.
Patrick.
Ouais euh excusez-moi d'avoir pas pris la parole plus tôt dans l'histoire. Mais depuis le début de l'année je suis en transe là, la petite Rachel j'en peux plus, roh putain. *remets son caleçon en place*
Bref, on était quasiment arrivé à destination, quand on entendit des cris au dernier rang, sur la banquette arrière. On y croyait pas, incroyable mais c'était vrai.
Sous l'emprise de l'alcool, Elodie venait de rouler une pelle à Samy, sous les yeux de Arthur, dépité et accablé.
Mais quand je dis une pelle, c'est une vrai de vrai, pas un petit smack passé inaperçu dans les foules. Sur le coup, Arthur hurla de désespoir et ne put s'empêcher de baffer sa copine. Celle-ci totalement bourrée était encore inconsciente de son acte.
En tout cas, sa popularité allait se réduire à néant, je crains le pire pour elle dans la suite..
Bon sur ce, je vous dis à bientôt, je retourne matter Rachel moi.
Jean était vraiment mal. Bien que j'étais à côté de lui, je n'osai vraiment pas lui adresser la parole. Comme je le connais, assez têtu malgré son coeur d'ange, engager une conversation avec lui déclencherait une embrouille. Mais son physique m'inquiétait profondément. Certes, il n'a pas la peau mate naturellement mais il avait une mine de fantôme, plus blanc que ça il n'y a pas. Ses petits yeux verts et lumineux tremblaient. Le trouble et le désarroi l'amenaient à être quasiment au bord des larmes.
Et il suffisait de suivre son regard perçant, en direction de la banquette arrière, pour constater qu'il était mal au point à cause d'Elodie.
Il ne fallait pas être devin ou surdoué pour se rendre compte que, malgré que leur histoire soit finie, Jean a encore le begin pour son ex. Mais un vrai coup de foudre, le vrai de vrai. Pas celui dans la cour du collège où on pariait 5 euros avec un autre pote pour sortir avec une nana toute une journée. Mais, le petit Jean, je le comprends.
Je comprends le fait qu'il trouve lamentable le comportement d'Elodie, en train de se bourrer la gueule avec des purs mongoles sur la banquette, et à rigoler comme une autruche (bon une autruche ne rit pas dans la vraie vie mais bon.. Allez on va dire une hyène)
La déprime de Jean était donc compréhensible. Je le consolai en lui proposant deux trois Dragibus (pas tout quand même, je crevais la dalle moi) et en l'incitant à penser à autre chose.
Mais rien n'à faire, sa déprime était totale et même une victoire au Loto ne le réjouirait pas. Il restait là, planté, désespéré, anéanti à regarder sa bien-aimée sombrer dans la délinquance. Devant cet infernal changement d'état, il demeurait impuissant.
- Laisse mec, tu t'en remettras. Regarde-la tu n'as pas besoin de cette pouf.
- Non Seb, tu n'as jamais connu ce sentiment, toi. Tu n'as jamais aimé. Tu ne peux pas comprendre.
- Certes, mais une chose, dis toi bien que la beauté est intérieure.. Regarde la droit dans les yeux, tu comprendras que le physique n'est pas réponse à tout.
Ma vieille morale à la con ne l'avait point résonné, mais au moins j'avais essayé. A environ deux heures du terminus, où les professeurs riaient aux éclats, la tension chauffa de plus en plus là-bas au fond.
En effet.. Ah, ben je vais vous laisser une autre personne vous raconter cette scène extravagante. Tiens euh Patrick ! Viens là s'il te plait. Prends le micro, vas-y raconte leur.
Patrick.
Ouais euh excusez-moi d'avoir pas pris la parole plus tôt dans l'histoire. Mais depuis le début de l'année je suis en transe là, la petite Rachel j'en peux plus, roh putain. *remets son caleçon en place*
Bref, on était quasiment arrivé à destination, quand on entendit des cris au dernier rang, sur la banquette arrière. On y croyait pas, incroyable mais c'était vrai.
Sous l'emprise de l'alcool, Elodie venait de rouler une pelle à Samy, sous les yeux de Arthur, dépité et accablé.
Mais quand je dis une pelle, c'est une vrai de vrai, pas un petit smack passé inaperçu dans les foules. Sur le coup, Arthur hurla de désespoir et ne put s'empêcher de baffer sa copine. Celle-ci totalement bourrée était encore inconsciente de son acte.
En tout cas, sa popularité allait se réduire à néant, je crains le pire pour elle dans la suite..
Bon sur ce, je vous dis à bientôt, je retourne matter Rachel moi.