Note de la fic : 
Publié le 12/06/2012 à 19:00:01 par WhatCanIDo
Ah le repas de midi ! Très significatif désormais. Ca reste un mystère pour d'autres. Entre les sans-potes au fond de la salle qui mangent solo et se prennent des bouts de pains across the map, les racailles qui font exprès de renverser la cruche sur la chemise du prof et les filles qui ont un emploi du temps pour savoir avec qui elles mangent tel ou tel jour. Ces quelques quatre lignes vous auront sûrement permis de reconnaître votre self à vous aussi.
D'autres activités sont également possibles, comme regarder lequel des enseignants débouchent la bouteille de vin le premier histoire de savoir lequel est le plus alcoolo, combien de mousses au chocolat Samy a-t-il encore dérobé, si Hugo est bien arrivé le premier à la file d'attente pour le rab' de frites ou encore faire un mélange de yaourt, salade de fruits, de l'entrée composée de concombres à la sauce Tzatziki, de la purée et des chipoloas pour obtenir un truc infâme contenant des milliers de calories et qui serait capable de nourrir l'Espagne entière pendant un an. Bref, on connaît le dicton, à la cantine, on s'éclate.
Et donc après la fameuse épidémie du kebab d'en face, toute la classe de 3ème3, comme prévu, se retrouve condamner à déguster les infects épinards du cuisto, un immigré mexicain toujours dans la lune, bref.
Et donc la dernière heure de la matinée, on commence à mettre la pression sur le prof', pour qu'il nous fasse sortir le plus vite possible parce qu'on a des crampes inimaginables au ventre tellement qu'on a la dalle. Sûr que ceux qui se lèvent à 7h49, qui n'ont même pas le temps de manger un p'tit BN et doivent donc crever de faim tout le matin, c'est pas génial pour leur estomac.
La plupart d'entre eux sont anorixiques car je peux vous assurer que Hugo engloutit la moitié de son frigo avant de prendre la route pour le lycée.
Les tensions montent et du fait que Samy menace le prof du fond de la salle, les ciseaux en mains et le regard vif, et bien dans une attitude de soumission, l'enseignant laisse filer ses élèves quelques minutes avant la sonnerie, le temps pour eux de dévaler les escaliers et se ruer vers la cantine, bien qu'ils soient au courant de la crasse qu'ils vont avaler.
Mais ils seraient tout de même capables de manger des cuisses de koala assaisonné avec une sauce à base de cire de girafe, donc les épinards ne sont pas la pire des tortures pour ces affamés à recherche de gibier.
Et rapidement, ils sont tous installés dans la cantine, surveillés de près par un pion, nommé Johan. Hugo a bousculé toutes les nanas de la classe pour être servi le premier et s'est assis sans compagnie à la première table où ce ne sont généralement pas des personnes populaires qui y figurent. Parce que il y a quelques petites maniaqueries à ce sujet. J'pense que c'est pareil chez vous, vous savez la table des k-sos qui saluent les profs qui passent avec leur plateau et la table des personnes célèbres. Une personne quelconque s'y installe, il y finit crucifié sur place.
Alors, personne n'ose donc toucher à celle-ci et se mettent en groupe sur les autres tables.
La petite bande Jean-Noé-Gaël-Seb-Pilou et le reste est en partie sans compagnie. Charles-Honoré, Grégory, Hugro qui a peur de se faire voler son dessert, préfèrent donc prendre leur déjeuner seuls.
Après, sans grande surprise, Arthur et Elodie mangent entre amoureux où Anis les accompagne ! Il essaie maintenant de se lier d'amitié avec les deux tourtereaux pour ensuite en profiter après. Quel fourbe.
Puis viennent les autres, complètement éparpillés dans la pièce. Ils ne savent pas trop où se caser car en fait ils n'ont pas réellement d'amis..
Oscar, plateau en main.
Bon ben de toute façon les seuls gars potables sont dans ce petit gang, je vais tenter ma chance.
- Hey les mecs, je peux ?
- Ouais.. dirent-ils sans grand enthousiasme.
Je m'installe donc. Soudain, une idée me vient à l'esprit, moi qui suis toujours en "kiff" sur Elodie. Je tente donc de m'intégrer dans leur conversation, ne volant pas vraiment très haut, jusqu'au moment où Samy passe dans les rangs, prétextant qu'il a oublié de prendre une cuillère, son bol de soupe à la main.
Et là, comme par hasard, il renverse bien la moitié de son potage, brûlant, sur le pantalon à Jean, hurlant à la mort mais qui riposte directement en se levant brusquement de sa chaise malgré la douleur infernale qu'il doit encaisser.
D'autres activités sont également possibles, comme regarder lequel des enseignants débouchent la bouteille de vin le premier histoire de savoir lequel est le plus alcoolo, combien de mousses au chocolat Samy a-t-il encore dérobé, si Hugo est bien arrivé le premier à la file d'attente pour le rab' de frites ou encore faire un mélange de yaourt, salade de fruits, de l'entrée composée de concombres à la sauce Tzatziki, de la purée et des chipoloas pour obtenir un truc infâme contenant des milliers de calories et qui serait capable de nourrir l'Espagne entière pendant un an. Bref, on connaît le dicton, à la cantine, on s'éclate.
Et donc après la fameuse épidémie du kebab d'en face, toute la classe de 3ème3, comme prévu, se retrouve condamner à déguster les infects épinards du cuisto, un immigré mexicain toujours dans la lune, bref.
Et donc la dernière heure de la matinée, on commence à mettre la pression sur le prof', pour qu'il nous fasse sortir le plus vite possible parce qu'on a des crampes inimaginables au ventre tellement qu'on a la dalle. Sûr que ceux qui se lèvent à 7h49, qui n'ont même pas le temps de manger un p'tit BN et doivent donc crever de faim tout le matin, c'est pas génial pour leur estomac.
La plupart d'entre eux sont anorixiques car je peux vous assurer que Hugo engloutit la moitié de son frigo avant de prendre la route pour le lycée.
Les tensions montent et du fait que Samy menace le prof du fond de la salle, les ciseaux en mains et le regard vif, et bien dans une attitude de soumission, l'enseignant laisse filer ses élèves quelques minutes avant la sonnerie, le temps pour eux de dévaler les escaliers et se ruer vers la cantine, bien qu'ils soient au courant de la crasse qu'ils vont avaler.
Mais ils seraient tout de même capables de manger des cuisses de koala assaisonné avec une sauce à base de cire de girafe, donc les épinards ne sont pas la pire des tortures pour ces affamés à recherche de gibier.
Et rapidement, ils sont tous installés dans la cantine, surveillés de près par un pion, nommé Johan. Hugo a bousculé toutes les nanas de la classe pour être servi le premier et s'est assis sans compagnie à la première table où ce ne sont généralement pas des personnes populaires qui y figurent. Parce que il y a quelques petites maniaqueries à ce sujet. J'pense que c'est pareil chez vous, vous savez la table des k-sos qui saluent les profs qui passent avec leur plateau et la table des personnes célèbres. Une personne quelconque s'y installe, il y finit crucifié sur place.
Alors, personne n'ose donc toucher à celle-ci et se mettent en groupe sur les autres tables.
La petite bande Jean-Noé-Gaël-Seb-Pilou et le reste est en partie sans compagnie. Charles-Honoré, Grégory, Hugro qui a peur de se faire voler son dessert, préfèrent donc prendre leur déjeuner seuls.
Après, sans grande surprise, Arthur et Elodie mangent entre amoureux où Anis les accompagne ! Il essaie maintenant de se lier d'amitié avec les deux tourtereaux pour ensuite en profiter après. Quel fourbe.
Puis viennent les autres, complètement éparpillés dans la pièce. Ils ne savent pas trop où se caser car en fait ils n'ont pas réellement d'amis..
Oscar, plateau en main.
Bon ben de toute façon les seuls gars potables sont dans ce petit gang, je vais tenter ma chance.
- Hey les mecs, je peux ?
- Ouais.. dirent-ils sans grand enthousiasme.
Je m'installe donc. Soudain, une idée me vient à l'esprit, moi qui suis toujours en "kiff" sur Elodie. Je tente donc de m'intégrer dans leur conversation, ne volant pas vraiment très haut, jusqu'au moment où Samy passe dans les rangs, prétextant qu'il a oublié de prendre une cuillère, son bol de soupe à la main.
Et là, comme par hasard, il renverse bien la moitié de son potage, brûlant, sur le pantalon à Jean, hurlant à la mort mais qui riposte directement en se levant brusquement de sa chaise malgré la douleur infernale qu'il doit encaisser.