Note de la fic :
Publié le 19/05/2010 à 19:03:05 par Calmacil
« Mesdames et messieurs, c'est une découverte importante que vient de faire l'institut de recherche de l'université scientifique d'Oxford. En effet, un petit groupe de scientifiques, avec à sa tête Karl Newman, ont réussit à créer la forme ultime de cellules. D'après le petit groupe encore une fois, ces cellules sont capables de remplacer intelligemment n'importe quelle autre cellule hors service puis la remplacer dans ses fonctions. Elle est également capable de se régénérer et de détruire les cellules défectueuses. Il semblerait qu'aujourd'hui même, l'humain vienne de gagner des dizaines d'années de vie en plus. Je laisse à présent la parole à Karl.
-Nous avons réussit récupérer des bactéries extra-terrestres sur une météorite. Après des tests de routine, nous nous sommes rendus comte que ces bactéries étaient extrêmement résistantes et capables de s'adapter à des changements brutaux sans problèmes. Nous avons donc extrait des cellules, puis nous les avons implantées sur plusieurs souris. Nous avions peu d'espoir, mais il s'est révélé que les yeux, le cerveau, le c½ur, le foie et tout autre élément ait accepté la greffe sans aucun problèmes. Nous avons ensuite fait ces mêmes tests sur des souris malades. C'est alors que nous nous sommes rendus compte que ces cellules n'avaient pas de limites et qu'elles avaient un fonctionnement intelligent.
-Eh bien Karl, tout cela s'annonce très prometteur, mais quand peut-on espérer un remède fonctionnant sur l'humain ?
-Les tests effectués sur les souris sont très concluantes, car cela fait à présent un an que nous observons jour après jour la réaction de ces souris. Il semble qu'aucun changement néfaste ne se soit manifesté. Nous avons récemment obtenu l'accord de l'OMS pour effectuer des tests humains. Dès la fin du mois, si les résultats sont concluants ? et ils le seront ? Vous pourrez guérir à moindre coût.
-Vous parlez de moindres coûts, vous entendez par là que cela sera accessible même aux plus pauvres ?
-Tout à fait. Nous mettrons en place des listes, et les plus blessés pourront se soigner en premiers.
-Nous suivons cette actualité de près. A présent parlons de la chute des cours... »
L'homme, affalé sur son canapé, se retourna en direction de la cuisine.
« T'entends ça Jérôme ? Tu vas pouvoir retrouver tes bras ! »
Léon n'était à présent qu'à deux-cent kilomètres de son Objectif. Il s'était engagé dans la montagne et avait abandonné l'autostop. A présent, il avait l'air d'un vagabond et ses vêtements puaient les kilomètres qu'il avalait chaque jour : personne ne comptait salir sa voiture pour servir un pauvre clochard.
Il s'arrêta sur une pierre, tout en haut de la pente, pour contempler avec satisfaction la pente qu'il avait gravit. Le soleil commençait à être bas et il devrait bientôt bivouaquer pour la nuit.
Il se mit donc à la recherche d'un endroit propice et confortable. Il trouva un lieu plat et dégagé, entouré d'arbre et assez éloigné du sentier. Il posa ses affaires sur l'herbe, détacha son sac de couchage, sa tente ainsi que son tapis de sol. "Hum, je n'ai plus beaucoup de temps", se dit-il. Il décida d'abandonner ses affaires et de se consacrer plutôt à la recherche de nourriture. Il confectionna trois pièges à rongeurs à l'aide se sa ficelle et d'un bout de bois, puis les déposa tout autour se son campement dans un rayon de cent mètres. Il ramassa ensuite des fruits des bois (fraises, myrtilles et framboises) pour constituer son dessert.
Une heure s'était écoulé et le soleil allait bientôt disparaître. Après avoir mémorisé avec attention la location de ses pièges, il retourna près de ses affaires et commença un feu. Il fit un foyer en pierre, y posa de la mousse sèche, des brindilles, puis du bois plus gros. Il Enflamma la mousse à l'aide de son couteau et de son Firesteel. Le feu parti, il prit bien soin d'écarter tout élément susceptible de propager le feu hors du foyer, puis il se leva, monta sa tente en vitesse et partit vérifier ses pièges.
Comme il s'en doutait, ses pièges avaient très peu fonctionné : ils était fragiles et il n'avait pas beaucoup attendu avant d'aller récupérer le gibier. Cependant, il avait attrapé un écureuil dans un des pièges. Il le tua avec dégoût d'un coup de bâton, le ramassa et partit vers son campement.
Il versa le fond de sa bouteille d'eau dans la casserole, puis tint cette dernière au dessus du feu. Dix minutes plus tard, il rajouta une bonne portion de pâtes et fit cuir le tout pendant dix autres minutes. Puis, il posa la casserole près du feu et embrocha l'écureuil qu'il avait auparavant dépecé. Il cuisit ensuite le maigre bout de viande en le tenant au dessus des flammes. Quand la viande lui sembla à point, il mangea à même la broche. "Ca manque de sel", se dit il, mais il était tout de même satisfait de son repas.
Il avait sur lui une centaine d'euros, mais il comptait les garder en dernier recours, c'est pourquoi il devait se priver d'hôtels et de taxis. Après tout, ça lui faisait un bon entraînement.
Il finit son repas, éteignit le feu (il n'avait aucune envie d'être embarqué par des gardes forestiers ni d'attirer des animaux...), et alla se coucher après avoir rangé ses affaires. Il songea à tout ce qui risquait de se passer.
-Nous avons réussit récupérer des bactéries extra-terrestres sur une météorite. Après des tests de routine, nous nous sommes rendus comte que ces bactéries étaient extrêmement résistantes et capables de s'adapter à des changements brutaux sans problèmes. Nous avons donc extrait des cellules, puis nous les avons implantées sur plusieurs souris. Nous avions peu d'espoir, mais il s'est révélé que les yeux, le cerveau, le c½ur, le foie et tout autre élément ait accepté la greffe sans aucun problèmes. Nous avons ensuite fait ces mêmes tests sur des souris malades. C'est alors que nous nous sommes rendus compte que ces cellules n'avaient pas de limites et qu'elles avaient un fonctionnement intelligent.
-Eh bien Karl, tout cela s'annonce très prometteur, mais quand peut-on espérer un remède fonctionnant sur l'humain ?
-Les tests effectués sur les souris sont très concluantes, car cela fait à présent un an que nous observons jour après jour la réaction de ces souris. Il semble qu'aucun changement néfaste ne se soit manifesté. Nous avons récemment obtenu l'accord de l'OMS pour effectuer des tests humains. Dès la fin du mois, si les résultats sont concluants ? et ils le seront ? Vous pourrez guérir à moindre coût.
-Vous parlez de moindres coûts, vous entendez par là que cela sera accessible même aux plus pauvres ?
-Tout à fait. Nous mettrons en place des listes, et les plus blessés pourront se soigner en premiers.
-Nous suivons cette actualité de près. A présent parlons de la chute des cours... »
L'homme, affalé sur son canapé, se retourna en direction de la cuisine.
« T'entends ça Jérôme ? Tu vas pouvoir retrouver tes bras ! »
Léon n'était à présent qu'à deux-cent kilomètres de son Objectif. Il s'était engagé dans la montagne et avait abandonné l'autostop. A présent, il avait l'air d'un vagabond et ses vêtements puaient les kilomètres qu'il avalait chaque jour : personne ne comptait salir sa voiture pour servir un pauvre clochard.
Il s'arrêta sur une pierre, tout en haut de la pente, pour contempler avec satisfaction la pente qu'il avait gravit. Le soleil commençait à être bas et il devrait bientôt bivouaquer pour la nuit.
Il se mit donc à la recherche d'un endroit propice et confortable. Il trouva un lieu plat et dégagé, entouré d'arbre et assez éloigné du sentier. Il posa ses affaires sur l'herbe, détacha son sac de couchage, sa tente ainsi que son tapis de sol. "Hum, je n'ai plus beaucoup de temps", se dit-il. Il décida d'abandonner ses affaires et de se consacrer plutôt à la recherche de nourriture. Il confectionna trois pièges à rongeurs à l'aide se sa ficelle et d'un bout de bois, puis les déposa tout autour se son campement dans un rayon de cent mètres. Il ramassa ensuite des fruits des bois (fraises, myrtilles et framboises) pour constituer son dessert.
Une heure s'était écoulé et le soleil allait bientôt disparaître. Après avoir mémorisé avec attention la location de ses pièges, il retourna près de ses affaires et commença un feu. Il fit un foyer en pierre, y posa de la mousse sèche, des brindilles, puis du bois plus gros. Il Enflamma la mousse à l'aide de son couteau et de son Firesteel. Le feu parti, il prit bien soin d'écarter tout élément susceptible de propager le feu hors du foyer, puis il se leva, monta sa tente en vitesse et partit vérifier ses pièges.
Comme il s'en doutait, ses pièges avaient très peu fonctionné : ils était fragiles et il n'avait pas beaucoup attendu avant d'aller récupérer le gibier. Cependant, il avait attrapé un écureuil dans un des pièges. Il le tua avec dégoût d'un coup de bâton, le ramassa et partit vers son campement.
Il versa le fond de sa bouteille d'eau dans la casserole, puis tint cette dernière au dessus du feu. Dix minutes plus tard, il rajouta une bonne portion de pâtes et fit cuir le tout pendant dix autres minutes. Puis, il posa la casserole près du feu et embrocha l'écureuil qu'il avait auparavant dépecé. Il cuisit ensuite le maigre bout de viande en le tenant au dessus des flammes. Quand la viande lui sembla à point, il mangea à même la broche. "Ca manque de sel", se dit il, mais il était tout de même satisfait de son repas.
Il avait sur lui une centaine d'euros, mais il comptait les garder en dernier recours, c'est pourquoi il devait se priver d'hôtels et de taxis. Après tout, ça lui faisait un bon entraînement.
Il finit son repas, éteignit le feu (il n'avait aucune envie d'être embarqué par des gardes forestiers ni d'attirer des animaux...), et alla se coucher après avoir rangé ses affaires. Il songea à tout ce qui risquait de se passer.
Commentaires
- Pseudo supprimé
20/05/2010 à 17:13:21
J'ai lus...
Même si j'en ai ras-le-cul des zombies