Note de la fic :
Publié le 22/05/2010 à 18:30:50 par Calmacil
Une jeune femme s'approcha des trois jeunes, un gros sac de voyage à la main.
« Salut ! C'est bien vous les résistants ?
-Ah, un candidat ? Oui, c'est bien nous, dit Jack.
-Je viens de France, mon nom est Evy. J'ai été l'une des premières à quitter le pays. J'habite à deux quartiers de Jérôme, et j'ai vu de mes propres yeux les massacres... Je viens vous aider, je pense sincèrement que les autorités ne sont pas qualifiées pour les anéantir. Vous avez prédit la catastrophe, alors vos pouvoirs doivent être grands. Je vous fait confiance.
-Merci. On est ici pour recruter le plus de personnes possible dès le départ, mais si peu de personnes viennent, ce que nous craignons, je crois qu'on va retourner au QG et commencer le plan. Quelles sont tes capacités ? Tu pourrais nous aider ? Demanda Léon.
-J'ai fait des études d'ingénieur, mais ça me barbe. Ce que je veux, c'est bricoler, donc je suis devenu mécanicienne depuis peu, et ça me plait. Je pense que je pourrais vous aider pour tout ce qui concerne les réparations de matériaux, je suis incollable en la matière, et sans aucune prétention bien sûr !.
-On te fait confiance, dit-il. On attend ici un jour de plus, ensuite on bougera. Je pense que les recrues arriveront petit à petit. Au fait, moi c'est Léon, et eux c'est Jack et Vector »
Elle leur serra la main.
« Je crois qu'on est parti pour faire un bout de chemin ensemble, conclu-t-elle. »
Le clan, à présent composé que quatre personnes, attendit un jour de plus. Au cours de la journée suivante arrivèrent deux personnes plutôt inattendues.
« Salut Léon, ça fait un bail !
-Nyla ? Marcel ? Vous êtes venus ? La vache, je suis super content de vous voir, désolé de vous avoir quitté aussi brusquement, c'était nécessaire, comment vont...
-Hey oh, les retrouvailles seront pour plus tard, coupa Vector. J'ai les pieds complètement engourdis à force de rester planté ici ! On va se poser dans un hôtel, puis on cause du plan, le temps presse ! »
Le reste du petit groupe acquiesça. Il allèrent se poser dans un bar spacieux proche de l'aéroport. Léon ouvrit une carte et la posa sur la table en bousculant toutes les tasses qui y étaient déjà posées. Il posa son doigt sur la carte, puis prit la parole.
« Nous avons commencé les recherches. Ici se trouve l'un des quatre greffés, il se prénomme Sasuke et a été greffé aux intestins. Il est dans le même état que les autres. Une mission nous a été confié, et nous réussiront. Notre premier objectif reste inchangé : nous devons aller voir Karl Newman en personne et récupérer auprès de lui des informations. Nous nous trouvons actuellement à cent cinquante Kilomètre de Tokyo, là où KN se trouve. Nous partirons ce soir le plus tôt possible.
Nyla, Evy, Marcel, qu'avez-vous sur vous ? En affaires et en argent ?
-Alors moi, commença Evy, j'ai cent euros en cash et deux-mille sur mon compte en banque. En affaires, j'ai quelques fringues et mon matériel de technicienne.
-D'accord. Va immédiatement retirer ta monnaie et faire les changes. Tu devras aussi jeter quelques-unes de tes affaires. Nyla ?
-Moi j'ai pareil, des fringues et trois-cent euros en cash. J'ai presque rien sur mon compte.
-Et moi, j'ai des affaires et zéro thunes, désolé, dit Marcel.
-Ok, vous allez me jeter tout le surplus à la poubelle, dès que ça sera fait, vous reviendrez devant ce bar. »
Une demi-heure plus tard, tout le groupe fût réunit à nouveau. Léon reprit son discours.
« Étant donné que le vieil ermite a parlé d'une épée, on a des raisons de croire que les Katanas que nous avons sont efficaces contre les zombies. Maintenant, vous avez quartier libre, Evy, tu divises ton argent en quatre, et tu me donnes une part. Moi et Jack, on va acheter les vivres, et vous trois vous allez avec Vector acheter des armes et des vêtements de combat. Je vous veux ici dans une heure. Ensuite, on partira. »
Tous acquiescèrent, puis partirent dans leurs directions indiquées. Jack et Léon achetèrent de la nourriture et plein d'autres ustensiles qu'ils jugeaient utiles. Evy, Marcel et Nyla avait chacun acheté un Katana de basse qualité (ils y étaient forcés, vu le peu d'argent qu'ils avaient). Ils décidèrent de n'acheter rien d'autre, pour mieux se consacrer à l'achat de leur arme. Vector les avait conseillés avec beaucoup de précision.
« Dit Léon, demanda Jack, tu crois que c'est une bonne idée de ramener tes amis ici ? Les recrues ne sont pas aussi nombreuses et motivées qu'on le croyait.
-Suivons les conseils du vieil ermite. Je n'en sais rien, mais il est possible qu'ils nous ralentissent. Mais on les as amenés ici, et on ne peut pas s'en débarrasser maintenant. De plus, on a besoin de main d'œuvre pour combattre les zombies, répondit Léon. »
Une heure plus tard, ils furent au point de rendez-vous.
Mais à peine s'était-ils retrouvés qu'un cri retentit.
« Ils sont déjà ici ! Pesta Vector.
-Bon, écoutez bien mes directives, s'affola Léon. On ne va pas les approcher et on va laisser Vector s'en occuper, c'est le mieux qualifié en combat. Nous, on reste derrière et on observe. Et surtout, évitez de vous faire mordre. Si l'un de vous se fait avoir, je crois qu'on sera obligé de le tuer. »
En disant cette phrase précise, tout le monde fût légèrement angoissé à l'idée de se transformer en immondice mi-morte mi-vivante. Vector partit en reconnaissance. Il n'avait pas osé contredire Léon car il savait qu'il était le plus qualifié pour aller se rendre compte de la situation sur place. Les cinq autres le suivaient à une distance de dix mètres, parmi la foule d'individus qui se pressaient de déguerpir du secteur. Vector, arrivant au coin de la grande rue, dégaina son Katana, se cola au mur et inspecta la rue adjacente. Il se tourna vers les autres et fit des signes qui signifiaient « cinq en vue », puis il sourit.
Il entra dans la rue et se mit à agacer les morts-vivants, dans le but de vérifier leurs capacités.
« Hey hoooo ! Je suis ici ! ».
Les zombies se retournèrent, et l'un d'eux se releva. Vector vit alors avec horreur une femme éviscérée, baignant dans son sang et à moitié mangée par le monstre. Il resta tétanisé pendant un moment. Ce court moment suffit à la femme pour se relever. Il vit alors qu'elle était devenue aussi vide que l'individu qui l'avait mordu quelques secondes auparavant : elle aussi était infectée !
Les zombies approchaient de Vector rapidement, sans aucune stratégie, droit vers lui. Il s'approcha du premier et lui donna un coup de taille en plein dans le ventre. Le zombie fût coupé en deux. Le vagabond avança vers l'ennemi suivant, quand il senti une pression sur sa jambe. Le zombie qu'il venait de trancher en deux agrippait son bras à la jambe de Vector.
Il prit peur et agita la jambe pour s'en débarrasser. « Ils ont une putain de force dans les bras ! », cria-t-il. Il coupa le bras de l'homme et secoua à nouveau la jambe pour se débarrasser de la main coupée. Il trancha ensuite la tête du zombie à terre. Vector eut tout juste le temps de relever et voir le second zombie qui était à deux doigts de l'attraper. Il roula à sa gauche et se releva habilement. Il coupa ensuite les têtes de chacun des quatre autres zombies présent.
Aucun d'eux ne se releva. Le jeune homme donna un coup puissant dans le vide avec son Katana pour le débarrasser du sang noir qui l'avait sali, puis retourna auprès des autres, plutôt fier de son travail.
« Ils ont sacrément de poigne ! Je vous conseille de vite apprendre à vous battre, parce qu'ils sont plutôt coriaces. Et à mon avis, dès qu'il vous attrapent le bras, c'en est fini de vous. Ils ne ressente ni la douleur, ni la peur, et c'est à peine si leur couper le bras les fera broncher. Je crois en revanche qu'ils ne peuvent pas vivre sans leur tête...
-Bon, et tu proposes quoi ? Dit Jack.
-On doit bouger jusqu'à K.N. ne plus vite possible, ici on n'est plus en sécurité, à mon avis ce ne sont que les premiers. »
Ils entendirent Nyla Crier, et se retournèrent.
« Les gars, j'ai trouvé une voiture qui fonctionne, vous montez ? »
Le groupe se mit alors en route vers Tokyo.
Et pendant ce temps, la nuit commençait à s'abattre sur le Japon.
« Salut ! C'est bien vous les résistants ?
-Ah, un candidat ? Oui, c'est bien nous, dit Jack.
-Je viens de France, mon nom est Evy. J'ai été l'une des premières à quitter le pays. J'habite à deux quartiers de Jérôme, et j'ai vu de mes propres yeux les massacres... Je viens vous aider, je pense sincèrement que les autorités ne sont pas qualifiées pour les anéantir. Vous avez prédit la catastrophe, alors vos pouvoirs doivent être grands. Je vous fait confiance.
-Merci. On est ici pour recruter le plus de personnes possible dès le départ, mais si peu de personnes viennent, ce que nous craignons, je crois qu'on va retourner au QG et commencer le plan. Quelles sont tes capacités ? Tu pourrais nous aider ? Demanda Léon.
-J'ai fait des études d'ingénieur, mais ça me barbe. Ce que je veux, c'est bricoler, donc je suis devenu mécanicienne depuis peu, et ça me plait. Je pense que je pourrais vous aider pour tout ce qui concerne les réparations de matériaux, je suis incollable en la matière, et sans aucune prétention bien sûr !.
-On te fait confiance, dit-il. On attend ici un jour de plus, ensuite on bougera. Je pense que les recrues arriveront petit à petit. Au fait, moi c'est Léon, et eux c'est Jack et Vector »
Elle leur serra la main.
« Je crois qu'on est parti pour faire un bout de chemin ensemble, conclu-t-elle. »
Le clan, à présent composé que quatre personnes, attendit un jour de plus. Au cours de la journée suivante arrivèrent deux personnes plutôt inattendues.
« Salut Léon, ça fait un bail !
-Nyla ? Marcel ? Vous êtes venus ? La vache, je suis super content de vous voir, désolé de vous avoir quitté aussi brusquement, c'était nécessaire, comment vont...
-Hey oh, les retrouvailles seront pour plus tard, coupa Vector. J'ai les pieds complètement engourdis à force de rester planté ici ! On va se poser dans un hôtel, puis on cause du plan, le temps presse ! »
Le reste du petit groupe acquiesça. Il allèrent se poser dans un bar spacieux proche de l'aéroport. Léon ouvrit une carte et la posa sur la table en bousculant toutes les tasses qui y étaient déjà posées. Il posa son doigt sur la carte, puis prit la parole.
« Nous avons commencé les recherches. Ici se trouve l'un des quatre greffés, il se prénomme Sasuke et a été greffé aux intestins. Il est dans le même état que les autres. Une mission nous a été confié, et nous réussiront. Notre premier objectif reste inchangé : nous devons aller voir Karl Newman en personne et récupérer auprès de lui des informations. Nous nous trouvons actuellement à cent cinquante Kilomètre de Tokyo, là où KN se trouve. Nous partirons ce soir le plus tôt possible.
Nyla, Evy, Marcel, qu'avez-vous sur vous ? En affaires et en argent ?
-Alors moi, commença Evy, j'ai cent euros en cash et deux-mille sur mon compte en banque. En affaires, j'ai quelques fringues et mon matériel de technicienne.
-D'accord. Va immédiatement retirer ta monnaie et faire les changes. Tu devras aussi jeter quelques-unes de tes affaires. Nyla ?
-Moi j'ai pareil, des fringues et trois-cent euros en cash. J'ai presque rien sur mon compte.
-Et moi, j'ai des affaires et zéro thunes, désolé, dit Marcel.
-Ok, vous allez me jeter tout le surplus à la poubelle, dès que ça sera fait, vous reviendrez devant ce bar. »
Une demi-heure plus tard, tout le groupe fût réunit à nouveau. Léon reprit son discours.
« Étant donné que le vieil ermite a parlé d'une épée, on a des raisons de croire que les Katanas que nous avons sont efficaces contre les zombies. Maintenant, vous avez quartier libre, Evy, tu divises ton argent en quatre, et tu me donnes une part. Moi et Jack, on va acheter les vivres, et vous trois vous allez avec Vector acheter des armes et des vêtements de combat. Je vous veux ici dans une heure. Ensuite, on partira. »
Tous acquiescèrent, puis partirent dans leurs directions indiquées. Jack et Léon achetèrent de la nourriture et plein d'autres ustensiles qu'ils jugeaient utiles. Evy, Marcel et Nyla avait chacun acheté un Katana de basse qualité (ils y étaient forcés, vu le peu d'argent qu'ils avaient). Ils décidèrent de n'acheter rien d'autre, pour mieux se consacrer à l'achat de leur arme. Vector les avait conseillés avec beaucoup de précision.
« Dit Léon, demanda Jack, tu crois que c'est une bonne idée de ramener tes amis ici ? Les recrues ne sont pas aussi nombreuses et motivées qu'on le croyait.
-Suivons les conseils du vieil ermite. Je n'en sais rien, mais il est possible qu'ils nous ralentissent. Mais on les as amenés ici, et on ne peut pas s'en débarrasser maintenant. De plus, on a besoin de main d'œuvre pour combattre les zombies, répondit Léon. »
Une heure plus tard, ils furent au point de rendez-vous.
Mais à peine s'était-ils retrouvés qu'un cri retentit.
« Ils sont déjà ici ! Pesta Vector.
-Bon, écoutez bien mes directives, s'affola Léon. On ne va pas les approcher et on va laisser Vector s'en occuper, c'est le mieux qualifié en combat. Nous, on reste derrière et on observe. Et surtout, évitez de vous faire mordre. Si l'un de vous se fait avoir, je crois qu'on sera obligé de le tuer. »
En disant cette phrase précise, tout le monde fût légèrement angoissé à l'idée de se transformer en immondice mi-morte mi-vivante. Vector partit en reconnaissance. Il n'avait pas osé contredire Léon car il savait qu'il était le plus qualifié pour aller se rendre compte de la situation sur place. Les cinq autres le suivaient à une distance de dix mètres, parmi la foule d'individus qui se pressaient de déguerpir du secteur. Vector, arrivant au coin de la grande rue, dégaina son Katana, se cola au mur et inspecta la rue adjacente. Il se tourna vers les autres et fit des signes qui signifiaient « cinq en vue », puis il sourit.
Il entra dans la rue et se mit à agacer les morts-vivants, dans le but de vérifier leurs capacités.
« Hey hoooo ! Je suis ici ! ».
Les zombies se retournèrent, et l'un d'eux se releva. Vector vit alors avec horreur une femme éviscérée, baignant dans son sang et à moitié mangée par le monstre. Il resta tétanisé pendant un moment. Ce court moment suffit à la femme pour se relever. Il vit alors qu'elle était devenue aussi vide que l'individu qui l'avait mordu quelques secondes auparavant : elle aussi était infectée !
Les zombies approchaient de Vector rapidement, sans aucune stratégie, droit vers lui. Il s'approcha du premier et lui donna un coup de taille en plein dans le ventre. Le zombie fût coupé en deux. Le vagabond avança vers l'ennemi suivant, quand il senti une pression sur sa jambe. Le zombie qu'il venait de trancher en deux agrippait son bras à la jambe de Vector.
Il prit peur et agita la jambe pour s'en débarrasser. « Ils ont une putain de force dans les bras ! », cria-t-il. Il coupa le bras de l'homme et secoua à nouveau la jambe pour se débarrasser de la main coupée. Il trancha ensuite la tête du zombie à terre. Vector eut tout juste le temps de relever et voir le second zombie qui était à deux doigts de l'attraper. Il roula à sa gauche et se releva habilement. Il coupa ensuite les têtes de chacun des quatre autres zombies présent.
Aucun d'eux ne se releva. Le jeune homme donna un coup puissant dans le vide avec son Katana pour le débarrasser du sang noir qui l'avait sali, puis retourna auprès des autres, plutôt fier de son travail.
« Ils ont sacrément de poigne ! Je vous conseille de vite apprendre à vous battre, parce qu'ils sont plutôt coriaces. Et à mon avis, dès qu'il vous attrapent le bras, c'en est fini de vous. Ils ne ressente ni la douleur, ni la peur, et c'est à peine si leur couper le bras les fera broncher. Je crois en revanche qu'ils ne peuvent pas vivre sans leur tête...
-Bon, et tu proposes quoi ? Dit Jack.
-On doit bouger jusqu'à K.N. ne plus vite possible, ici on n'est plus en sécurité, à mon avis ce ne sont que les premiers. »
Ils entendirent Nyla Crier, et se retournèrent.
« Les gars, j'ai trouvé une voiture qui fonctionne, vous montez ? »
Le groupe se mit alors en route vers Tokyo.
Et pendant ce temps, la nuit commençait à s'abattre sur le Japon.