Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Chloe et moi


Par : 5xBan
Genre : Sentimental, Horreur
Statut : C'est compliqué



Chapitre 44 : Le fameux jour J.


Publié le 12/09/2015 à 22:34:00 par 5xBan

Je l'attendais depuis un moment ce fameux jour, je savais que je finirais par y être mais maintenant que j'y étais je ne pouvais pas m’empêcher de stresser, je ne savais pas a quoi m'attendre mais j’étais déterminé a m'y rendre. Aëlita était la pour renforcer ce sentiment.

Elle m'avait laissé le libre choix de mon costume, je n'avais cependant rien de vraiment élégant a me mettre alors elle me prêta quelques affaires qui appartenaient a son père et qui avait la décence d’être a ma taille bien que je me sentais un peu léger a l’intérieur. Aëlita était en train d'ajuster le col de mon costume puis son regard croisa le mien et elle se stoppa quelques secondes. Elle me tira alors soudainement vers elle m'embrassant avec affection, je n'opposai aucune résistance, j'avais pris l'habitude avec le temps. Ce que je trouvais adorable chez Aëlita c’était cette manie a rougir après chaque baiser, elle semblait ne jamais s'y habituer et réagissait chaque fois comme si c’était le premier. Une fois encore elle ne dérogea pas a la règle et vira au rouge baissant légèrement les yeux.

- Désolé, je me suis un peu emporté. Dit-elle en souriant timidement

- Tu devrais t'emporter plus souvent alors. Répondis-je en souriant a mon tour

Riant de bon cœur, elle recula ensuite de quelques pas pour m'admirer.

- Tu est tellement beau. Affirma-elle pleine d'admiration.

- Tu le pense vraiment ?

Je n'aimais pas ce genre de compliment, du a mon manque de confiance en moi j'avais l'impression d'entendre des mensonges et ça ne me plaisait pas du tout, Aëlita était peut être tout a fait sincère mais je n'arrivais pas a l'accepter, pour moi j’étais tout sauf beau. Mais il était inutile de se prendre la tête la dessus alors je n'y fis plus attention.
Aëlita n’était pas encore habillé, elle avait tenue a ce que je m'habille le premier avant de le faire a son tour.
Tenant a me faire une surprise, elle alla s'enfermer dans sa chambre et y resta quelques instants, de l’extérieur je pouvais l'entendre se mouvoir, ouvrir son armoire et toutes sortes de bruits indiquant qu'elle bougeait sans cesse. Puis finalement elle finit par se prononcer.

- Ferme les yeux et rentre, je vais ouvrir la porte.

- Ça me va. Lui dis-je en me cachant les yeux

- Tu regarde pas hein ? Insista-elle

- Ne t’inquiète pas voyons, dépêche toi je meurs d'envie de voir.

Entendant la clé tourner dans la serrure je tournai la poignée et pénétrai a l’intérieur en prenant garde de ne rien percuter. Avançant a l'aveugle, je me guidai avec la voix d'Aëlita. Puis cette dernière me demandant de ne plus bouger elle ne dit rien pendant quelques secondes puis déclara finalement

-C'est bon, ouvre les yeux.

Baissant ma main, je fus subjugué par la Aëlita que je vis se tenir devant moi. Incapable de trouver les bonnes paroles je restai la bêtement devant elle la fixant comme un stalker.

- Quoi, ce n'est pas bien ? S’inquiéta-elle en regardant sa robe

- Non, non ce n'est pas ça. Lui dis-je pour la rassurer

- Tu en penses quoi alors ? Redemanda-elle en souriant

- Tu est...magnifique !

Et je le pensais vraiment, Aëlita n'avait pratiquement pas mis de maquillage, je ne pense même pas qu'elle en avait. Sa robe a elle seul faisait sa beauté. Ce n’était pas une robe gigantesque comme les robes de mariée traînant au sol, non celle ci était sobre et modeste mais rendait magnifiquement bien sur Aëlita. Une robe bleu ni trop clair, ni trop sombre, dont la fin et l’intérieur était ornementé de petits motifs ;
C’était difficile a décrire pour moi mais j’étais réellement sous le charme.
Pendant quelques secondes j'oubliais presque qui était réellement Aëlita et c'est a ce même instant qu'une vague de tristesse m'envahit.
Je pouvais prétendre aimer Aëlita mais comme pour Chloé je n'arrivais pas a m'y faire, je ne savais pas expliquer pourquoi mais mon cœur ne voulait étrangement pas être dépendant de quelqu'un ?
Est-ce que j'avais peur de la vie de couple ? Peur d'avoir des responsabilités ? Pourtant Aëlita ne m'a jamais retenu, elle ne m'a jamais imposé de limites et malgré ça je voulais fuir encore une fois.
Balayant mes pensées de mon esprit je tentai de profiter de l'instant présent
Aëlita était ici avec moi et ça rien ne pourrait me le prendre.
Et puis je doute qu'elle laisserait tomber aussi vite si je venais a rompre avec elle, le temps m'avait permis de comprendre que jamais elle n'oserait me faire du mal mais je craignais tout de même sa réaction.
J'avais peur qu'elle s'en prenne a mes proches, bien qu'a proprement parler a part Clayden il ne me restait plus personne.
Ça n'avait plus d'importance maintenant, je ne pouvais pas fuir éternellement, il était temps pour moi d'affronter ce qui m'a toujours effrayé et avec Aëlita a mes cotés, rien ne saura m'atteindre.

Prenant Aëlita par la main je la fis tournoyer sur elle même pour pouvoir admirer sa robe, c’était de la qualité, pas la simple robe qu'on achète pour rien, celle-ci semblait plus travaillé et complexe.

- On ferait des beaux mariés tu ne trouve pas ? Dit Aëlita

- On en est pas encore la, soit patiente. Lui dis-je en riant

Le mariage, je ne ressentais pas le besoin de me marier pour pouvoir aimer une personne, pour moi c’était juste un gaspillage d'argent et de temps.
Mais pour beaucoup dont Aëlita ça semblait signifier beaucoup.
Si elle tenait vraiment a se marier, alors je n'y verrais pas d’inconvénient mais j’étais encore loin de ce jour. Nous étions encore jeunes après tout.

- On a tout ce qu'il nous faut alors ? Demandai-je

- Oui, on peut y aller

Me tournant vers la porte Aëlita me retint en tirant sur mon bras, me retournant de nouveau vers elle je croisai son regard qui avait encore une fois changé, il était doux et plein d'affection, je sentais un étrange confort a plonger mes yeux dans les siens, Aëlita savait s'y prendre pour exprimer ses émotions. Cette dernière me demanda :

- Joëlle, est-ce que tu m'aimes ?

- Ça me parait un peu évident comme question non ? Tentai-je d'ironiser

- Tu sais très bien ce que je veux dire. Répondit-elle calmement toujours avec ce sourire si doux

Me mettant face a elle je posai mes mains sur ses joues et comme tentant de me convaincre moi même par la même occasion je lui dis :

- Bien sur, je pensais que tu le savais depuis le temps.

- Dis le pour moi alors.

J'avais peur de l'entendre dire cela, elle se doutait sûrement que j'avais énormément de mal a avouer mes sentiments comme ça a été le cas avec Chloé, mais je ne comprenais pas pourquoi elle me demandait ça maintenant. Cette fois ci je ne risquais pas d'y échapper.
Mais mon esprit refusant simplement de m’écouter j'esquivai de nouveau la question.

- Je n'ai pas besoin de le dire ou de l’écrire pour savoir ce que je ressens pour toi.

- Je vois. Dit-elle toujours en souriant

Cependant son sourire n’était déjà plus le même, Aëlita était clairement déçue par ma réponse, déçue de voir que je n'assumais toujours pas.
Même après tout ce temps, je ne pouvais pas lui en vouloir, j'avais envie de me frapper moi même mais j’étais incapable de contrôler ça.
Ne sachant pas trop comment rattraper mon erreur je coupai court a la discussion et entraînai Aëlita dehors tentant tant bien que mal de changer de sujet, malheureusement le mal été fait.
Elle ne disait plus rien, se contentant simplement de me suivre et gardant le sourire, ma réponse l'avait clairement plus affecté que je ne le pensais.
C'est comme si elle s’était éteinte, je ne distinguais plus la moindre lueur, ni la moindre émotion dans son regard. C’était comme si je traînais une marionnette. Aëlita avait toujours accordé beaucoup d'importance a mon bien-être et a la manière dont je la percevais. J'aurais pu faire un effort pour une fois, bon sang ce que je peux être idiot.
Qu'est-ce que je pouvais faire désormais ?
Lui dire « je t'aime » ? Elle penserait que je me force.
Je ne pouvais pas supporter de la voir comme ça, après tout ce qu'elle avait mis en œuvre pour m'accueillir chez elle je ne pouvais pas lui faire ça.
Et c'est ainsi que je lui fis cette promesse sans réfléchir aux conséquences.

- Écoute Aëlita, je ne peux pas te dire « je t'aime » mais il y a une raison.

- Ah oui, laquelle ? Répondit Aëlita m'accordant soudainement un peu plus d’intérêt

- Je préfère le dire devant tout le monde juste avant de t'embrasser, que tout le monde le sache.

Et d'un seul coup son visage s'illumina a nouveau, souriant a s'en décrocher la mâchoire, elle demanda la voix tremblante.

- C'est vrai ?

Ne pouvant plus faire marche arrière et ne tenant pas a lui faire encore plus mal je lui répondis.

- Je t'en fais une promesse.

Poussant un cri de joie Aëlita me sauta au coup, suivant le mouvement je la fis tournoyer avant de la déposer sur le sol. Se mettant sur la pointe des pieds elle déposa un baiser sur mon front puis me dit :

- Merci, ça compte beaucoup pour moi.

Lui souriant sans rien dire, je ne me rendais pas bien compte de ce que je venais de faire, je n'avais pas réfléchis, je voulais simplement qu'elle soit heureuse mais je n'ai pas réfléchis a ce que je venais de dire.
Sans le savoir je venais de m'embarquer dans une histoire dont je ne pourrais plus échapper. Le pire dans tout ça c'est que je venais de lui promettre et je tenais toujours mes promesses quoi qu'il arrive.

Bon sang, pourquoi est-ce que cela me faisait si peur ?
Ou était le mal a avouer mon amour pour Aëlita devant tout le monde ?
Elle était la fille la plus prisé de l’école, me voir avec elle plutôt qu'avec Chloé ça allait sans aucun doute changer le regard des autres a jamais.
Cette fête c’était l’occasion rêvé pour frapper un grand coup.
Mais alors qu'est-ce qui me faisait si peur ?
Il n'y avait pas que ma peur de l'amour non, est-ce que ça aurait un rapport avec Chloé ? Non, je n'avais plus a me soucier de cette garce, j'avais vu les photos, j'avais entendu ce qu'Aëlita m'avait dit.
Mais une partie de moi même ne voulait simplement pas reconnaître cette vérité, quelque chose au fond de moi ne voulait pas se laisser mater.
Comme si il y avait plus a découvrir que cela.
Privé de GSM je n'avais pas eu de contacts avec le monde extérieur depuis un bon moment donc je ne savais absolument pas comment les choses avaient évoluées. C’était d'ailleurs dommage pour mon GSM.

- Dommage quand même.

-Quoi donc ? Demanda Aëlita

- Que je n'ai pas pu retrouver mon téléphone, je l'avais payé moi même en plus.

- Je t'en payerais cinq comme ça si tu veux. Dit-elle en souriant

- Oui mais j'avais des photos et des vidéos dessus, ça je ne pourrais pas le récupérer.

-Arrête de bouder un peu, c'est mieux que rien. Déclara-elle en me pinçant la joue comme si elle faisait la moral a un gosse

- Qu'est-ce qu'on attend en fait ?

- Notre chauffeur.

Et a l'instant ou elle prononça son nom une voiture fit irruption devant le portail, le conducteur klaxonna trois fois puis éteint le moteur.
Aëlita me tira par le bras pour accélérer la marche.
Arrivé a la voiture cette dernière était quand même bien plus modeste que ce a quoi on s'attendrait de la part d'une famille riche. Alors bien sur c’était loin d'une simple Lada mais je m'attendais a une limousine ou une Roll royce. La voiture teintée noire me faisait beaucoup penser aux voitures des mafieux qu'on voit dans les films. Je m'attendais a ce que la vitre s'abaisse a tout moment dévoilant un baron de la drogue.
Évidemment, il n'en fut rien. Aëlita m'arracha finalement a mes pensées.

- Bon tu viens ? Dit-elle en pénétrant a l’intérieur.

Posant un pied dans la voiture je me retournai une dernière fois pour observer le manoir une dernière fois. Vue de l’extérieur en pleine nuit il ne semblait plus aussi magique que lors de ma première visite.
J'avais peut être finis par m'y habituer au final.
Soudainement, dans un autre flash aussi rapide que la dernière fois le manoir disparut entièrement ne laissant plus place qu'a un gigantesque terrain vague, me frottant les yeux le manoir avait de nouveau réapparut.
Ça aurait du me surprendre mais je mis ça sur le compte de mes crises hallucinatoires et n'y fit plus attention.

Une fois assis a l’intérieur le chauffeur démarra sans prononcer le moindre mot, je suppose qu'il n’était pas payé pour cela. Assis au centre Aëlita s'appuya contre moi reposant sa tête sur mon épaule. C’était bizarre comme scène, j'avais l'impression d’être un parrain. L’intérieur était tout de même plus luxuriant que je ne l'aurais cru. Des sièges en cuir, un écran a l’arrière de chaque siège, une bouteille de champagne et tout ce qu'on pourrait imaginer se trouver dans une voiture de riche. Le voyage jusqu’à la ville était assez long alors je préférai me reposer un peu. Posant a mon tour ma tête contre celle d'Aëlita je fermai les yeux et fit le vide dans ma tête, Avec la lumière des lampadaires sur l'autoroute comme seul source de lumière. Le voyage se déroula dans le calme, le chauffeur était concentré sur sa conduite et Aëlita et moi étions a moitié conscient.
J’étais encore légèrement anxieux mais j'avais espoir que tout irait bien.
Arrivant enfin en ville, le bruit se fit tout de suite plus présent ainsi que les lumières. Ouvrant les yeux j'observai l’extérieur pour faire passer le temps.
Ça faisait étrange de voir autant d'animations après tout ce temps passé seul avec Aëlita dans ce manoir ou il ne se passait jamais rien.

Finalement, un bâtiment se profila au loin, je ne savais pas dire si c’était une maison ou un bâtiment loué pour l’occasion mais au vu du monde qu'il y avait a l'entrée, je pouvais sans aucun problème dire que nous étions arrivé. Secouant légèrement Aëlita, je lui fis signe que nous étions arrivé.
Cette dernière s’étira un grand coup avant de finalement ouvrir les yeux.

- Déjà ? Dit-elle

- Parle pour toi. Répondis-je en souriant.

Il y avait déjà un paquet de monde se pressant a l'entrée et attendant leurs tours, la soirée avait visiblement déjà commencé au vu du boucan et des lumières qu'on pouvait apercevoir et entendre depuis l’extérieur.
Le chauffeur stoppa la voiture devant l'entrée et tout les regards se tournèrent vers nous. Ils ne pouvaient pas encore nous voir grâce aux vitres teintées. Mais en voyant tout ces regards je fus pris d'un instant d’hésitation. Je sentis alors la main d'Aëlita se poser sur mon épaule.
Me retournant vers elle, elle me gratifia de son plus grand sourire et me dit

- Ne t'en fais pas, tout va bien se passer.

Prenant sa main dans la mienne je lui souris en retour puis saisit la poignée
Avant que j'ouvre la porte le chauffeur finit tout de même par prononcer ses premières paroles.

- Amusez vous bien.

- Merci. Lui répondis-je

Puis ouvrant la porte, je fus le premier a être dehors. Les autres ne semblèrent pas me reconnaître tout de suite. Il faut dire qu'avec les semaines ma barbe avait finit par pousser et je paraissais légèrement différent, surtout avec ce costume. Mais a la réaction de certains je compris bien vite qu'ils m'avaient reconnues. Certains se retournèrent entre eux discutant et me pointant du doigt. Mais quand Aëlita fit elle aussi son apparition les regards des autres m’apportèrent une légère satisfaction.
Ils ne s'attendaient sûrement pas a la voir avec moi. Pour une entrée fracassante je pense que c’était réussi. Joëlle le flippant était accompagné de la plus belle fille de l’école. Je suppose que beaucoup étaient en train de m'envier en ce moment et de se dire « Comment il a fait ? »
La nuit n'en était qu'a son début, il devait être 23 heures et la fête allait s’étendre jusqu'au matin. L'air était frais et bon bien que différent de celui que j'avais l'habitude de ressentir au beau milieu de bois.
Après avoir savouré ce moment, j’étais sur le point de me mettre dans la file quand Aëlita m'attrapa par le bras et se dirigea directement vers l'entrée passant devant tout le monde. En nous voyant passer devant eux certains eurent des réactions indignées et d'autres restèrent silencieux.
Le videur a l'entrée nous voyant arriver réagit immédiatement en voyant Aëlita. Moi qui m'attendais a devoir retourner au début de la file la réalité fut toute autre.

- Bien le bonsoir mademoiselle, c'est lui qui vous accompagne ?

- Oui, il est avec moi. Dit Aëlita en se tournant vers moi.

- Je vous souhaite un bon amusement mademoiselle et vous aussi monsieur

Libérant l'entrée, il nous laissa passer en souriant.
Ce degré de soumission envers Aëlita ça en était impressionnant.
Il faisait bien deux mètres facilement mais il avait pratiquement baisser les yeux en voyant Aëlita, est-ce que sa famille avait autant d'influence ?
On aurait presque dit qu'il avait pris peur, non c’était sûrement juste mon imagination. J’étais sûrement l'un de seuls a connaître le vrai visage d'Aëlita, il n'y avait donc aucune raison pour que le videur prenne peur.
En pénétrant a l’intérieur nous dûmes encore traverser un couloir avant de finalement y être, je pouvais entendre la musique de la ou je me trouvais, cette dernière était si puissante qu'on pouvait presque sentir les murs vibrer. Je croisai quelques personnes en chemin qui ne firent pas attention a moi sûrement déjà bien arrosées. Puis prenant un tournant la salle principal se dévoila enfin ainsi que le monde s'y trouvant.

C’était différent de l'image que je m'en étais fais, moi qui m'attendais a voir un groupe au centre de la salle sautant en rythme sur une musique techno, c’était clairement diffèrent, la salle était gigantesque et des escaliers menaient a un deuxième étage. L'ensemble était vaste et le plafond était si haut qu'on ne le voyait pratiquement pas. La salle était plongé dans l'obscurité et seul des néons et des projecteurs faisaient office de source de lumière. L'arrivée d'Aëlita ne passa pas inaperçu et la plupart des personnes présentes a coté de nous se tournèrent dans notre direction discutant entre eux et certains tentant de comprendre qui je pouvais être.
A une époque, je n'aurais pas supporté ces regards, mais aujourd'hui j'en étais même plutôt fier. J'avais enfin le contrôle sur eux.

Il n'y avait plus de marche arrière possible maintenant, c’était le fameux jour J.


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