Note de la fic :
Chloe et moi
Par : 5xBan
Genre : Sentimental, Horreur
Statut : C'est compliqué
Chapitre 1 : Le jour ou ma vie est partit en fumée.
Publié le 29/08/2015 à 08:22:31 par 5xBan
-Toujours pile a l'heure monsieur Joëlle, je suis au moins content d'avoir dans ma clientèle une personne ayant la courtoisie d’être ponctuelle.
Je lui répondis par un large sourire et pris place dans le siège en face de son bureau comme a mon habitude, en fait il y en avait deux mais j'avais choisis celui de droite pour une raison qui m’échappe et depuis c'est resté.
Un de ces fameux sièges en cuirs hors de prix ou on disparaît littéralement dedans chaque fois qu'on y pose les fesses.
Et pour les flemmards de la veille le dossier pouvait aussi reculer et s’étendre jusque a même le sol ce qui en soit ne m'a jamais plu.
J'aimais venir ici car c’était l'un des rares endroits ou je me sentais réellement au calme et cette quiétude me permettait d'oublier des tas de trucs qui ne sortiraient pas de ma tête ailleurs.
-Eh bien, cette session peut commencer alors. Dit-il en tournant légèrement les stores pour n'en laisser passer qu'un faible rayon de lumière.
Ce même bureau ou je venais si souvent était l'exemple parfait de la pièce ou je pourrais méditer pendant des heures sans rien dire.
La fenêtre se trouvait derrière son bureau légèrement sur la droite, sur son rebord était posé différentes photos de ce qui devait être une famille heureuse, le mur de droite était composé d'une armoire gigantesque qui prenait toute la surface ou était entreposés des livres de différentes époques et temps et d’où l'on pouvait sentir l'odeur de « vieux » qui s'en dégageait sans cesse.
Le mur de droite lui était sobre et ne disposait que d'une unique peinture de Picasso trônant fièrement sur le centre du mur.
Monsieur Clayden m'interrompit dans ma petite réflexion personnelle.
-Bien Joëlle, avant de démarrer je te laisse la parole au cas ou tu aurais quelque chose de spécial a me dire.
J'avais beau me fouiller la tête je ne voyais rien de spécial a lui dire, enfin rien a part la raison pour laquelle je le voyais.
-Non rien, pas que je sache. Lui dis-je en me grattant la tête.
Il m'observa pendant 2 secondes durant lesquelles il ne dit rien puis repris la parole, qu'est ce qu'il y avait a dire de lui ?
Il était comme on pourrait s'imaginer un cliché de psychologue, assis dans son siège un genoux sur l'autre a toiser du regard son client et hochant la tête toutes les 5 secondes comme si pour lui c’était devenu un automatisme.
Pourquoi je me sens obligé de décrire toutes les personnes que je croise ?
-Très bien alors, en fait aujourd'hui j'aimerais aborder un sujet sensible...
« Merde je sais ou tout ça va me mener »
...Je sais que vous n'aimez pas en parlez et je respecte tout a fait ça mais pour votre bien et pour que je puisse faire mon travail il faut que vous me racontiez encore une fois ce qui s'est passé ce jour la.
« Je savais que ça arriverait, j’espérais juste que ça ne serait pas pour aujourd'hui »
-Écoutez je pourrais mais je ne vois pas bien l'inte....
-C'est vital pour la suite croyez moi, je ne le ferais jamais sans raison.
Je soupirai comprenant que je ne pourrais pas y échapper comme je le faisais a chaque fois, il avait raison je n'aimais pas en parler mais qui sait peut être que ça allait vraiment m'aider.
-Par ou commencer alors, et bien comme vous le savez.....
Je n'avais que 11 ans a l’époque quand je fréquentais toujours l’école primaire, une petite école sympathique, un village remplie de bonnes personnes et de quartiers sympa.
Nous étions 4 classe de 5 eme a l’époque et la mienne comptait autant de garçons que de filles chose étonnante puisque on cherchait toujours a nous séparer mais faute de place c'est comme cela que ça avait été choisit.
Pas le plus brillant des élèves pour ma part mais pas le plus stupide non plus, j'entretenais de bonne relation avec tout le monde sauf certaines mauvaises âmes comme ils peut y en avoir dans toutes les écoles.
Et il y avait ce fameux professeur, Monsieur Mars, un gars très sympa mais pas toujours très droit dans sa tête parfois il était de bonne humeur et l'homme le plus heureux du monde parfois il était l'un des plus gros enfoirés qu'on ai jamais vu.
Mais tout le monde l'aimait bien dans le fond et il nous aimait en retour, il organisait des tas de sorties,des jeux, des randonnées,....
Et vint enfin ce jour, le 24 Mai 2011 par une belle journée de printemps comme on en voit souvent ici lorsque il proposa une sorte de barbecue la fin de l'année arrivant a grand pas.
Il sépara la classe en deux groupes distinct, l'un devait rester en classe pour préparer les décorations et l'autre groupe dont je faisais partit devait le suivre pour préparer la table a l’extérieur qui se trouvait pas loin dans les bois a coté de l’école ou nous avions l'habitude d'aller.
Quand j'y repense aujourd'hui j'aurais voulu erre dans l'autre groupe je l'aurais tant voulu mais le sort en a décider autrement.
Après une longue journée de travail le « banquet » était enfin prêt et pour fêter ça le prof proposa de porter un toast a l’occasion.
Il avait acheter du Kidibul pour l’occasion chose que n'importe au quelle n'importe quel gosse de mon age ne pourrait résister.
Nous étions insouciant, qui aurait bien pu se douter du drame qui allait se produire ?
Je suis sur que si j'avais fais plus attention a l’époque notre prof nous observait boire s'assurant que tout le monde prenait son verre.
Il y avait quelque chose de pas net dans ce verre et nous nous en sommes rendu compte trop tard que ma tête se mit a tourner et que je perdis connaissance.
A mon réveil, la fête était devenu un cauchemar, nous étions la tout les six ligotés et alignés contre un mur dans une pièce que nous n'avions jamais vu et au fond de la pièce il y avait notre professeur assis près d'une table.
Il avait un regard, atrocement effrayant, ce n’était plus la même personne ou alors je voyais enfin le vrai monsieur Mars, son regard était vide de toute émotion mais son visage donnait l'impression d'un demi-sourire sadique.
Certains de mes camarades prirent peur et se mirent a pleurer mais ça serait mentir de que de nier le fait que j’étais moi aussi terrorisé.
Certains lui demandèrent pourquoi il faisait ça ou ou nous étions,ce qu'il allait faire mais il ne répondit pas je me demandais même si il nous entendait.
Il saisit de la table un instrument qui se révéla être une lame, a sa vue notre angoisse n'en fut que plus forte, il se rapprocha alors de nous et saisit le premier du groupe, c’était Mattheo, un ami a moi, bon sang nous étions tous amis.
Ce dernier se mit a pleurer et tenta de lui résister, je n'oublierais jamais de la peur que j'ai lu sur son visage.
« Non,non, non, non, pitié, non » il répéta cette phrase en boucle et en boucle pleurant toutes les larmes de son corps.
Notre professeur le coucha par terre sur le dos et s'agenouilla pour être juste a sa hauteur,il leva alors la lame très haut au dessus de lui puis la rapprocha tout doucement de l’œil droit de mon ami.
Les filles qui étaient avec nous hurlaient de terreur, c’était la panique et je l’étais aussi.
A ce moment notre professeur balbutia quelque chose que j’eus peine a entendre mais je pense bien qu'il avait dit « Pardon » après ces mots il enfonça la lame en plein dans l'orbite de Mattheo.
Il poussa un hurlement que je n'oublierais jamais, cette même douleur qui vient du plus profond de son être et se raidit sous l'effet du martyr qu'il endurait.
C’était inhumain, Mars tourna la lame encore et encore dans son œil et moi je regardais mon ami mourir sous mes yeux dans la pire des souffrances possibles.
Et ce cri....son cri.....ce cri que je n'arrive pas a sortir de ma tête.
Je me pris la tête entre les mains a ce passage ressentait cette même douleur qui revenait a chaque fois.
-Faites une pause Joëlle vous n’êtes pas obligez de tout dire en une fois.
-Non ça ira, je veux en finir avec ça.
Nous étions apeurés, qui ne l'aurait pas été, Mattheo était toujours la hurlant a mort quand ce putain de psycho enleva enfin la lame de son œil avant de lui replanta directement dans l’œil gauche qui s'accompagna d'un autre cri.
Putain, c’était pas humain, ça ne pouvait être qu'un cauchemar,un cauchemar putain, putain, putain.
Il souleva la lame a nouveau puis l’enfonça d'un coup sec encore et encore et encore,il s'acharna comme ayant perdu le contrôle de son corps jusque a ce qu'il ne reste plus qu'une « soupe » des yeux de mon ami.
Ses hurlements se firent de moins en moins violents et il rendit l’âme dans un gargouillis de sang et de salive mélanges.
Quand il en eut finit avec lui il vint chercher la deuxième personne du groupe, Lisa, quand elle comprit ce qu'il allait se passer elle se mit a hurler et a se débattre comme un diable.
Tout ce bruit putain, y avait tant de bruits dans cette pièce.
Nous étions six alignés contre le mur,Mattheo, Lisa, Arthur, Moi, Élisabeth et Marie et chacun d'entre nous savait que son tour allait bientôt arriver.
Lisa se débattit tellement que ce putain de psycho du la traîner par les cheveux ou il l’agenouilla devant lui.
Il se servit de la même lame, mais cette fois ci il s'en servit pour sectionna sa langue et quasi tout de suite après il enfonça sa dague en plein dans son ventre.
Je me sentis obligé de fermer les yeux, ce putain de massacre c'en était trop pour moi mais je ne pouvais malheureusement pas devenir sourd.
J'entendais chaque coup de dague, chaque cri de douleurs que ça lui arrachait et ses cris se faisait de moi en moi énergique au fur et a mesure que la vie la quittait.
Après un énième coup de dague j'entendis une sorte de « Splouiiich » comme si quelque chose de sale se déversait par terre.
Je fis l'erreur d'ouvrir les yeux, Lisa était la, morte, et tout son intérieur s’était déversé sur le sol puisque ce fumier l'avait éventré vivante.
S'en fut trop pour mon estomac qui recracha ce que j'avais mangé sur le sol et je ne fus pas le seul dans le cas.
Les filles avait les yeux rougis a force de pleurer et je pouvais en dire la même chose.
Ça ne s’arrêtait pas, lorsque les cris s'estompaient enfin ce n’était que pour laisser place au suivant.
Ce fut au tour d'Arthur et la encore tout ses cris...
Je pensais pour moi même « Merde,mais meurs,meurs, meurs, que tu ne puisse pas sentir la douleur, pourquoi n'arrive il pas a s’évanouir qu'il n'est plus a sentir tout ça ? »
Mon cœur battait a du 100 a l'heure quand vint enfin mon tour, il me train jusqu’à lui ou il m'examina faisant danser sa lame sur mon visage.
J'avais peur, putain j’étais mort de peur.
Après 10 secondes d'observations il enfonça sa lame en plein dans mon ventre et je n'ai aucun mot pour définir la douleur que j'ai ressentis a ce moment la.
C’était si fort que je dirais même que j'avais dépasser le stade de la simple « douleur ».
Pour ma part je me croyais mort, mais je revins a moi un peu plus tard dans une pièce sombre avec Élisabeth et Marie,ce tueur avait visiblement décidé de nous garder pour plus tard.
Ce qui nous sauva heureusement la vie puisque nous fumes retrouvé après ce qui me sembla être une éternité, la nouvelle avait visiblement fait le tour des journaux et les autorités restèrent sans voix quand ils virent cette foutu salle de torture.
Mes parents furent si heureux de me revoir, je n'avais jamais vu mon père pleurer avant ça.
Tout les moyens furent déployés pour retrouver notre bourreau mais peut importe ce que la police mit en place...
On ne revit plus jamais Monsieur Mars....
Je lui répondis par un large sourire et pris place dans le siège en face de son bureau comme a mon habitude, en fait il y en avait deux mais j'avais choisis celui de droite pour une raison qui m’échappe et depuis c'est resté.
Un de ces fameux sièges en cuirs hors de prix ou on disparaît littéralement dedans chaque fois qu'on y pose les fesses.
Et pour les flemmards de la veille le dossier pouvait aussi reculer et s’étendre jusque a même le sol ce qui en soit ne m'a jamais plu.
J'aimais venir ici car c’était l'un des rares endroits ou je me sentais réellement au calme et cette quiétude me permettait d'oublier des tas de trucs qui ne sortiraient pas de ma tête ailleurs.
-Eh bien, cette session peut commencer alors. Dit-il en tournant légèrement les stores pour n'en laisser passer qu'un faible rayon de lumière.
Ce même bureau ou je venais si souvent était l'exemple parfait de la pièce ou je pourrais méditer pendant des heures sans rien dire.
La fenêtre se trouvait derrière son bureau légèrement sur la droite, sur son rebord était posé différentes photos de ce qui devait être une famille heureuse, le mur de droite était composé d'une armoire gigantesque qui prenait toute la surface ou était entreposés des livres de différentes époques et temps et d’où l'on pouvait sentir l'odeur de « vieux » qui s'en dégageait sans cesse.
Le mur de droite lui était sobre et ne disposait que d'une unique peinture de Picasso trônant fièrement sur le centre du mur.
Monsieur Clayden m'interrompit dans ma petite réflexion personnelle.
-Bien Joëlle, avant de démarrer je te laisse la parole au cas ou tu aurais quelque chose de spécial a me dire.
J'avais beau me fouiller la tête je ne voyais rien de spécial a lui dire, enfin rien a part la raison pour laquelle je le voyais.
-Non rien, pas que je sache. Lui dis-je en me grattant la tête.
Il m'observa pendant 2 secondes durant lesquelles il ne dit rien puis repris la parole, qu'est ce qu'il y avait a dire de lui ?
Il était comme on pourrait s'imaginer un cliché de psychologue, assis dans son siège un genoux sur l'autre a toiser du regard son client et hochant la tête toutes les 5 secondes comme si pour lui c’était devenu un automatisme.
Pourquoi je me sens obligé de décrire toutes les personnes que je croise ?
-Très bien alors, en fait aujourd'hui j'aimerais aborder un sujet sensible...
« Merde je sais ou tout ça va me mener »
...Je sais que vous n'aimez pas en parlez et je respecte tout a fait ça mais pour votre bien et pour que je puisse faire mon travail il faut que vous me racontiez encore une fois ce qui s'est passé ce jour la.
« Je savais que ça arriverait, j’espérais juste que ça ne serait pas pour aujourd'hui »
-Écoutez je pourrais mais je ne vois pas bien l'inte....
-C'est vital pour la suite croyez moi, je ne le ferais jamais sans raison.
Je soupirai comprenant que je ne pourrais pas y échapper comme je le faisais a chaque fois, il avait raison je n'aimais pas en parler mais qui sait peut être que ça allait vraiment m'aider.
-Par ou commencer alors, et bien comme vous le savez.....
Je n'avais que 11 ans a l’époque quand je fréquentais toujours l’école primaire, une petite école sympathique, un village remplie de bonnes personnes et de quartiers sympa.
Nous étions 4 classe de 5 eme a l’époque et la mienne comptait autant de garçons que de filles chose étonnante puisque on cherchait toujours a nous séparer mais faute de place c'est comme cela que ça avait été choisit.
Pas le plus brillant des élèves pour ma part mais pas le plus stupide non plus, j'entretenais de bonne relation avec tout le monde sauf certaines mauvaises âmes comme ils peut y en avoir dans toutes les écoles.
Et il y avait ce fameux professeur, Monsieur Mars, un gars très sympa mais pas toujours très droit dans sa tête parfois il était de bonne humeur et l'homme le plus heureux du monde parfois il était l'un des plus gros enfoirés qu'on ai jamais vu.
Mais tout le monde l'aimait bien dans le fond et il nous aimait en retour, il organisait des tas de sorties,des jeux, des randonnées,....
Et vint enfin ce jour, le 24 Mai 2011 par une belle journée de printemps comme on en voit souvent ici lorsque il proposa une sorte de barbecue la fin de l'année arrivant a grand pas.
Il sépara la classe en deux groupes distinct, l'un devait rester en classe pour préparer les décorations et l'autre groupe dont je faisais partit devait le suivre pour préparer la table a l’extérieur qui se trouvait pas loin dans les bois a coté de l’école ou nous avions l'habitude d'aller.
Quand j'y repense aujourd'hui j'aurais voulu erre dans l'autre groupe je l'aurais tant voulu mais le sort en a décider autrement.
Après une longue journée de travail le « banquet » était enfin prêt et pour fêter ça le prof proposa de porter un toast a l’occasion.
Il avait acheter du Kidibul pour l’occasion chose que n'importe au quelle n'importe quel gosse de mon age ne pourrait résister.
Nous étions insouciant, qui aurait bien pu se douter du drame qui allait se produire ?
Je suis sur que si j'avais fais plus attention a l’époque notre prof nous observait boire s'assurant que tout le monde prenait son verre.
Il y avait quelque chose de pas net dans ce verre et nous nous en sommes rendu compte trop tard que ma tête se mit a tourner et que je perdis connaissance.
A mon réveil, la fête était devenu un cauchemar, nous étions la tout les six ligotés et alignés contre un mur dans une pièce que nous n'avions jamais vu et au fond de la pièce il y avait notre professeur assis près d'une table.
Il avait un regard, atrocement effrayant, ce n’était plus la même personne ou alors je voyais enfin le vrai monsieur Mars, son regard était vide de toute émotion mais son visage donnait l'impression d'un demi-sourire sadique.
Certains de mes camarades prirent peur et se mirent a pleurer mais ça serait mentir de que de nier le fait que j’étais moi aussi terrorisé.
Certains lui demandèrent pourquoi il faisait ça ou ou nous étions,ce qu'il allait faire mais il ne répondit pas je me demandais même si il nous entendait.
Il saisit de la table un instrument qui se révéla être une lame, a sa vue notre angoisse n'en fut que plus forte, il se rapprocha alors de nous et saisit le premier du groupe, c’était Mattheo, un ami a moi, bon sang nous étions tous amis.
Ce dernier se mit a pleurer et tenta de lui résister, je n'oublierais jamais de la peur que j'ai lu sur son visage.
« Non,non, non, non, pitié, non » il répéta cette phrase en boucle et en boucle pleurant toutes les larmes de son corps.
Notre professeur le coucha par terre sur le dos et s'agenouilla pour être juste a sa hauteur,il leva alors la lame très haut au dessus de lui puis la rapprocha tout doucement de l’œil droit de mon ami.
Les filles qui étaient avec nous hurlaient de terreur, c’était la panique et je l’étais aussi.
A ce moment notre professeur balbutia quelque chose que j’eus peine a entendre mais je pense bien qu'il avait dit « Pardon » après ces mots il enfonça la lame en plein dans l'orbite de Mattheo.
Il poussa un hurlement que je n'oublierais jamais, cette même douleur qui vient du plus profond de son être et se raidit sous l'effet du martyr qu'il endurait.
C’était inhumain, Mars tourna la lame encore et encore dans son œil et moi je regardais mon ami mourir sous mes yeux dans la pire des souffrances possibles.
Et ce cri....son cri.....ce cri que je n'arrive pas a sortir de ma tête.
Je me pris la tête entre les mains a ce passage ressentait cette même douleur qui revenait a chaque fois.
-Faites une pause Joëlle vous n’êtes pas obligez de tout dire en une fois.
-Non ça ira, je veux en finir avec ça.
Nous étions apeurés, qui ne l'aurait pas été, Mattheo était toujours la hurlant a mort quand ce putain de psycho enleva enfin la lame de son œil avant de lui replanta directement dans l’œil gauche qui s'accompagna d'un autre cri.
Putain, c’était pas humain, ça ne pouvait être qu'un cauchemar,un cauchemar putain, putain, putain.
Il souleva la lame a nouveau puis l’enfonça d'un coup sec encore et encore et encore,il s'acharna comme ayant perdu le contrôle de son corps jusque a ce qu'il ne reste plus qu'une « soupe » des yeux de mon ami.
Ses hurlements se firent de moins en moins violents et il rendit l’âme dans un gargouillis de sang et de salive mélanges.
Quand il en eut finit avec lui il vint chercher la deuxième personne du groupe, Lisa, quand elle comprit ce qu'il allait se passer elle se mit a hurler et a se débattre comme un diable.
Tout ce bruit putain, y avait tant de bruits dans cette pièce.
Nous étions six alignés contre le mur,Mattheo, Lisa, Arthur, Moi, Élisabeth et Marie et chacun d'entre nous savait que son tour allait bientôt arriver.
Lisa se débattit tellement que ce putain de psycho du la traîner par les cheveux ou il l’agenouilla devant lui.
Il se servit de la même lame, mais cette fois ci il s'en servit pour sectionna sa langue et quasi tout de suite après il enfonça sa dague en plein dans son ventre.
Je me sentis obligé de fermer les yeux, ce putain de massacre c'en était trop pour moi mais je ne pouvais malheureusement pas devenir sourd.
J'entendais chaque coup de dague, chaque cri de douleurs que ça lui arrachait et ses cris se faisait de moi en moi énergique au fur et a mesure que la vie la quittait.
Après un énième coup de dague j'entendis une sorte de « Splouiiich » comme si quelque chose de sale se déversait par terre.
Je fis l'erreur d'ouvrir les yeux, Lisa était la, morte, et tout son intérieur s’était déversé sur le sol puisque ce fumier l'avait éventré vivante.
S'en fut trop pour mon estomac qui recracha ce que j'avais mangé sur le sol et je ne fus pas le seul dans le cas.
Les filles avait les yeux rougis a force de pleurer et je pouvais en dire la même chose.
Ça ne s’arrêtait pas, lorsque les cris s'estompaient enfin ce n’était que pour laisser place au suivant.
Ce fut au tour d'Arthur et la encore tout ses cris...
Je pensais pour moi même « Merde,mais meurs,meurs, meurs, que tu ne puisse pas sentir la douleur, pourquoi n'arrive il pas a s’évanouir qu'il n'est plus a sentir tout ça ? »
Mon cœur battait a du 100 a l'heure quand vint enfin mon tour, il me train jusqu’à lui ou il m'examina faisant danser sa lame sur mon visage.
J'avais peur, putain j’étais mort de peur.
Après 10 secondes d'observations il enfonça sa lame en plein dans mon ventre et je n'ai aucun mot pour définir la douleur que j'ai ressentis a ce moment la.
C’était si fort que je dirais même que j'avais dépasser le stade de la simple « douleur ».
Pour ma part je me croyais mort, mais je revins a moi un peu plus tard dans une pièce sombre avec Élisabeth et Marie,ce tueur avait visiblement décidé de nous garder pour plus tard.
Ce qui nous sauva heureusement la vie puisque nous fumes retrouvé après ce qui me sembla être une éternité, la nouvelle avait visiblement fait le tour des journaux et les autorités restèrent sans voix quand ils virent cette foutu salle de torture.
Mes parents furent si heureux de me revoir, je n'avais jamais vu mon père pleurer avant ça.
Tout les moyens furent déployés pour retrouver notre bourreau mais peut importe ce que la police mit en place...
On ne revit plus jamais Monsieur Mars....