Note de la fic :
Chloe et moi
Par : 5xBan
Genre : Sentimental, Horreur
Statut : C'est compliqué
Chapitre 9 : Ne fais confiance a personne.
Publié le 29/08/2015 à 08:43:43 par 5xBan
Je n'arrivais pas totalement bien a comprendre ce qu'il se passait.
Portant ma main a mon visage , une trace de sang s'imprima sur ma paume, je saignais a nouveau, mais cette fois ça ne me terrifiait plus autant qu'avant.
Bien que je devrais être au sol a me plier de douleur je ne ressentais strictement rien, je mis ça sur le compte de l’adrénaline qui devait sûrement fonctionner a plein régime.
-C'est a toi que je parle ! Grogna le mec qui m'avait atteint il y a de cela 2 minutes.
Je ne me rendais même pas compte qu'il me parlait.
Les élèves s’attroupèrent assez vite autour de nous , voyant comme une occasion d'assister a un show improvisé...bande de... je vous aurais tous.
Non après un deuxième coup d’œil je me rendis compte que certains tentaient de me rejoindre mais ils étaient stoppés net par le « bouclier » s’étant formé autour de moi et de mon adversaire.
Il voulait donc me voir mourir.
Je sentis deux mains me saisirent par les épaules et je fus soulevé comme un vulgaire sac de patate, je ne tentai même pas de résister, j'assistai juste a la scène comme si je voyais tout ça de loin.
-Quand je pose une question j'aime qu'on me répond ! Aboya il a quelques mètres de mon visage.
Il était grand, sûrement plus grand que moi d'une tête et demi, il avait des cheveux courts blond coiffés au gel.
J’étais persuadé que ça pouvait être un charmant garçon quand il n'essayait pas de tuer quelqu'un, il portait un t-shirt blanc et une veste par dessus portant le sigle d'une équipe de foot que je ne connaissais pas.
« Un sportif » bien sur pensai-je , les salopes adorent les sportifs.
Bon sang qu'elle idiot j'ai fais, cette salope m'a tendu un piège et j'ai bêtement plongé dedans, je me pensais plus intelligent bon sang.
Ce même sportif qui jusqu’à me tenait bien fermement pivota sur lui même, puisque qu'il agrippait je suivis le mouvement avec lui.
Il fit un demi-cercle puis lâcha prise m'envoya en plein dans les casiers qui étaient juste sur le mur d'en face.
Je percutai les casiers de flanc pris par la vitesse et m’écroulai sur mes genoux.
Autour de moi les élèves filmaient la scène sans dire un mot, comme si ils attendaient une chute spécifique.
« Je t'avais bien dit de ne pas faire confiance a cette fille »
« Ferme la, ferme la » me dis-je a moi même.
J'avais peine a respirer et la douleur se faisait maintenant sentir malgré l’adrénaline, je n'osais pas imaginer comment ça allait être lorsque l’adrénaline aura cessé de faire effet.
-Debout connard ! Clama le sportif.
Tout doucement, m'aidant de mon genoux comme appuie je me relevai tout doucement, mon corps me fit un mal de chien a chaque mouvement.
Quand je parvins enfin a me mettre sur mes deux jambes mon adversaire m’assena un coup de pied en plein dans le ventre.
Je reculai le souffle coupé sous le choc percutant les casiers de nouveau et glissa de tout mon long retombant sur mes fesses.
L'un des cadenas s’enfonça même dans mon dos accentuant la douleur.
Ou était les éducateurs ?
Les profs ?
Pourquoi personne ne venait ?
Soudain je sentis une pulsion me traverser mon corps, cela me fit l'effet d'un choc électrique, une autre pulsion se fit connaître alors que je sentais mon rythme cardiaque augmenter, ma vue devenait de plus en plus claire et « fine » , je retrouvais peu a peu assez de force que pour rester éveillé.
-Stop qu'est ce que tu fais ? Hurla une voix qui m’étais hélas familière.
Chloé apparut dans mon champ de vision alors que j’étais encore adossé contre les casiers reprenant ma respiration.
Elle se plaça entre moi et mon agresseur.
-Qu'est ce qui te prend Vincent ?
-Tu refuse mes avances et tu traîne avec ce genre de connard ? Dit il en me pointant du doigt.
-Ce que je fais ne te regarde pas, et ça ne te donne pas le droit de le battre a mort. Répliqua elle visiblement folle furieuse.
« Vincent » eu un mouvement de recul pendant un instant puis reporta son regard sur moi.
-C'est a cause de toi ça enfoiré, tu veux me la prendre c'est ça ?
Il avança d'un pas vers l'avant.
-Vincent je t'interdis de ...
Chloé fut coupé dans sa phrase, Vincent l’écarta d'un revers de la main .
Elle chuta sur le sol en poussant un petit cri de douleur.
Une autre pulsion, mon cœur, mon corps, j'ai l'impression que ça va exploser.
Vincent arma son pied en vue de me le mettre en plein visage.
Et c'est a ce moment la que ça arriva, mes forces revinrent d'un seul coup et je fus pris comme d'une folie meurtrière.
Je n'avais encore jamais été aussi enragé ça j'en suis certains.
Mon corps était tendu comme un arc, je me relevai sur un genoux et interceptai son pied juste avant qu'il ne me touche.
J'eus l'impression que la scène s’était déroulée au ralentit.
Vincent fut aussi surpris que tout les autres.
Gardant son pied tendu d'une main je me servis de ma main libre pour enfin avoir ma vengeance.
Je pliai ma main et la levai a une certaine hauteur de son genoux.
Puis n'ayant plus conscience de ce que je faisais j'abattis mon coude sur son genoux d'un coup sec.
Un craquement sec se fit entendre et sa jambe se plia dans l'autre sens.
Mon ennemie poussa un hurlement et s’écroula sur le sol.
Je me souviens d'ailleurs d'avoir vu les regards effrayés des élèves du coin de l’œil et surtout celui de Chloé.
J'avais repris l'avantage , il allait payer.
« Va y Joëlle, tuons le ! »
Je me plaçai au dessus de lui, changeant mes mains de positions j'en mis une sur son « genoux » et une autre sous son talon.
J'excercai alors une pression vers le haut, son genoux se tordit encore plus accompagné de bruits de craquements morbides.
-Joëlle, arrête !
Était ce la voix de Chloé ?
Cette salope avait peur pour son copain maintenant que je tenais sa vie entre mes mains.
Ce même copain criait toujours, ses cris étaient un son satisfaisant pour mes oreilles, le doux bruit de ma victoire sur lui.
Lachant son genoux je m’asseyait sur son torse m'assurant un libre accès a son visage.
Serrant les poings je lui portai un coup en plein visage, puis un autre,puis un autre, et un autre.
Je ne contrôlais plus rien, je ressentis juste du ....plaisir.
Je me surpris d'ailleurs quand j'eus un début de rire.
Mais ce n’était plus un rire comme n'importe qui, c’était une hystérie.
Le sang gicla assez vite et bientôt mes mains en furent couvertes.
-Joëlle arrête toi !
Plusieurs mains me saisirent par l’arrière et je fus violemment dégagé.
C’était les éducateurs qui venaient tout juste d’apparaître....quand j'avais l'avantage.
Ils me traînèrent au sol sur quelques mètres pour m’éloigner du corps inerte de Vincent qui gisait sur le sol.
Mes battements du cœur ralentirent, les pulsions cessèrent et je repris peu a peu mes esprits comprenant l'horreur de ce que je venais de faire.
Mais malgré ça j'entendis une voix dire d'un air triomphant.
« Parfait »
Portant ma main a mon visage , une trace de sang s'imprima sur ma paume, je saignais a nouveau, mais cette fois ça ne me terrifiait plus autant qu'avant.
Bien que je devrais être au sol a me plier de douleur je ne ressentais strictement rien, je mis ça sur le compte de l’adrénaline qui devait sûrement fonctionner a plein régime.
-C'est a toi que je parle ! Grogna le mec qui m'avait atteint il y a de cela 2 minutes.
Je ne me rendais même pas compte qu'il me parlait.
Les élèves s’attroupèrent assez vite autour de nous , voyant comme une occasion d'assister a un show improvisé...bande de... je vous aurais tous.
Non après un deuxième coup d’œil je me rendis compte que certains tentaient de me rejoindre mais ils étaient stoppés net par le « bouclier » s’étant formé autour de moi et de mon adversaire.
Il voulait donc me voir mourir.
Je sentis deux mains me saisirent par les épaules et je fus soulevé comme un vulgaire sac de patate, je ne tentai même pas de résister, j'assistai juste a la scène comme si je voyais tout ça de loin.
-Quand je pose une question j'aime qu'on me répond ! Aboya il a quelques mètres de mon visage.
Il était grand, sûrement plus grand que moi d'une tête et demi, il avait des cheveux courts blond coiffés au gel.
J’étais persuadé que ça pouvait être un charmant garçon quand il n'essayait pas de tuer quelqu'un, il portait un t-shirt blanc et une veste par dessus portant le sigle d'une équipe de foot que je ne connaissais pas.
« Un sportif » bien sur pensai-je , les salopes adorent les sportifs.
Bon sang qu'elle idiot j'ai fais, cette salope m'a tendu un piège et j'ai bêtement plongé dedans, je me pensais plus intelligent bon sang.
Ce même sportif qui jusqu’à me tenait bien fermement pivota sur lui même, puisque qu'il agrippait je suivis le mouvement avec lui.
Il fit un demi-cercle puis lâcha prise m'envoya en plein dans les casiers qui étaient juste sur le mur d'en face.
Je percutai les casiers de flanc pris par la vitesse et m’écroulai sur mes genoux.
Autour de moi les élèves filmaient la scène sans dire un mot, comme si ils attendaient une chute spécifique.
« Je t'avais bien dit de ne pas faire confiance a cette fille »
« Ferme la, ferme la » me dis-je a moi même.
J'avais peine a respirer et la douleur se faisait maintenant sentir malgré l’adrénaline, je n'osais pas imaginer comment ça allait être lorsque l’adrénaline aura cessé de faire effet.
-Debout connard ! Clama le sportif.
Tout doucement, m'aidant de mon genoux comme appuie je me relevai tout doucement, mon corps me fit un mal de chien a chaque mouvement.
Quand je parvins enfin a me mettre sur mes deux jambes mon adversaire m’assena un coup de pied en plein dans le ventre.
Je reculai le souffle coupé sous le choc percutant les casiers de nouveau et glissa de tout mon long retombant sur mes fesses.
L'un des cadenas s’enfonça même dans mon dos accentuant la douleur.
Ou était les éducateurs ?
Les profs ?
Pourquoi personne ne venait ?
Soudain je sentis une pulsion me traverser mon corps, cela me fit l'effet d'un choc électrique, une autre pulsion se fit connaître alors que je sentais mon rythme cardiaque augmenter, ma vue devenait de plus en plus claire et « fine » , je retrouvais peu a peu assez de force que pour rester éveillé.
-Stop qu'est ce que tu fais ? Hurla une voix qui m’étais hélas familière.
Chloé apparut dans mon champ de vision alors que j’étais encore adossé contre les casiers reprenant ma respiration.
Elle se plaça entre moi et mon agresseur.
-Qu'est ce qui te prend Vincent ?
-Tu refuse mes avances et tu traîne avec ce genre de connard ? Dit il en me pointant du doigt.
-Ce que je fais ne te regarde pas, et ça ne te donne pas le droit de le battre a mort. Répliqua elle visiblement folle furieuse.
« Vincent » eu un mouvement de recul pendant un instant puis reporta son regard sur moi.
-C'est a cause de toi ça enfoiré, tu veux me la prendre c'est ça ?
Il avança d'un pas vers l'avant.
-Vincent je t'interdis de ...
Chloé fut coupé dans sa phrase, Vincent l’écarta d'un revers de la main .
Elle chuta sur le sol en poussant un petit cri de douleur.
Une autre pulsion, mon cœur, mon corps, j'ai l'impression que ça va exploser.
Vincent arma son pied en vue de me le mettre en plein visage.
Et c'est a ce moment la que ça arriva, mes forces revinrent d'un seul coup et je fus pris comme d'une folie meurtrière.
Je n'avais encore jamais été aussi enragé ça j'en suis certains.
Mon corps était tendu comme un arc, je me relevai sur un genoux et interceptai son pied juste avant qu'il ne me touche.
J'eus l'impression que la scène s’était déroulée au ralentit.
Vincent fut aussi surpris que tout les autres.
Gardant son pied tendu d'une main je me servis de ma main libre pour enfin avoir ma vengeance.
Je pliai ma main et la levai a une certaine hauteur de son genoux.
Puis n'ayant plus conscience de ce que je faisais j'abattis mon coude sur son genoux d'un coup sec.
Un craquement sec se fit entendre et sa jambe se plia dans l'autre sens.
Mon ennemie poussa un hurlement et s’écroula sur le sol.
Je me souviens d'ailleurs d'avoir vu les regards effrayés des élèves du coin de l’œil et surtout celui de Chloé.
J'avais repris l'avantage , il allait payer.
« Va y Joëlle, tuons le ! »
Je me plaçai au dessus de lui, changeant mes mains de positions j'en mis une sur son « genoux » et une autre sous son talon.
J'excercai alors une pression vers le haut, son genoux se tordit encore plus accompagné de bruits de craquements morbides.
-Joëlle, arrête !
Était ce la voix de Chloé ?
Cette salope avait peur pour son copain maintenant que je tenais sa vie entre mes mains.
Ce même copain criait toujours, ses cris étaient un son satisfaisant pour mes oreilles, le doux bruit de ma victoire sur lui.
Lachant son genoux je m’asseyait sur son torse m'assurant un libre accès a son visage.
Serrant les poings je lui portai un coup en plein visage, puis un autre,puis un autre, et un autre.
Je ne contrôlais plus rien, je ressentis juste du ....plaisir.
Je me surpris d'ailleurs quand j'eus un début de rire.
Mais ce n’était plus un rire comme n'importe qui, c’était une hystérie.
Le sang gicla assez vite et bientôt mes mains en furent couvertes.
-Joëlle arrête toi !
Plusieurs mains me saisirent par l’arrière et je fus violemment dégagé.
C’était les éducateurs qui venaient tout juste d’apparaître....quand j'avais l'avantage.
Ils me traînèrent au sol sur quelques mètres pour m’éloigner du corps inerte de Vincent qui gisait sur le sol.
Mes battements du cœur ralentirent, les pulsions cessèrent et je repris peu a peu mes esprits comprenant l'horreur de ce que je venais de faire.
Mais malgré ça j'entendis une voix dire d'un air triomphant.
« Parfait »