Note de la fic :
Le flic, le génie et l'inconnue.
Par : WhatCanIDo
Genre : Polar, Action
Statut : C'est compliqué
Chapitre 7 : 7.
Publié le 18/08/2012 à 02:10:10 par WhatCanIDo
Chapitre 7 : Action.
Le plan d'Elena ne peut pas échouer.
Elle ouvre la porte d'une vitesse monstrueuse et contemple sa cible. Le garde, outré et stupéfait de voir qu'une des fille tente de s'échapper reste bouche bée devant la russe. Avec une violence rare, Elena vient lui enfoncer son petit couteau de cuisine en plein dans son coeur. Aucune réaction n'est pas possible pour lui, même pas un cri. Il meurt dans un silence profond.
La lame qu'a implantée Elena dans son organe vital l'a littéralement abattu.
La jeune fille s'empresse alors de le fouiller. Une arme dans sa poche. C'est la première fois de sa vie qu'elle se retrouve avec un pistolet entre les mains, mais elle ne s'en rend même pas compte. Aucune trouvaille intéressante pour Elena hormis cela.
Elle laisse le cadavre là où il est, puis s'en va vers la sortie qu'elle a installée elle-même.
En toute discrétion, la résistante se dirige vers la cafétéria, laissée bizarrement ouvert. Elle sait qu'il y existe une fenêtre dans les cuisines. Elle l'a déjà aperçue autrefois.
Quand elle préparait son projet, elle a scruté chaque coin du bâtiment dans lequel elle vit et les a tous analysé à un à un. Il s'est avéré que la sortie par la cantine était la moins complexe.
Elena est maintenant prête de son but. Plus qu'à ouvrir cette fenêtre et liberté elle respirera, quinze ans après..
Des coups de poignets inutiles plus tard lui font alors comprendre que la fenêtre est fermée à clef, pas si con que ça Vladimir.
Prise de panique, elle tourne la tête dans tous les sens pour chercher une ultime solution, et bingo ! Une trappe souterraine !
Espérons qu'elle ne soit pas verrouillée, elle aussi. Elena prend sa respiration et tente de l'ouvrir. Toujours pas.
Affolée, elle imagine une arrivée inattendue de Vladimir ou autre bouffon de sa clique. Elle retourne désespérément sur les lieux du crime dans l'espoir infime de retrouver quelque chose chez le garde qu'elle aurait oubliée d'inspecter. Rien dans les poches de son jean, idem pour son blouson de cuir. Ni dans le sous-vêtement (après tout, on sait jamais).. Elena s'apprête à se rendre quand elle voit un objet briller dans ses yeux, illuminant ses pensées et redonnant du peps à son enthousiasme. L'objet qui brillait n'était autre qu'une clé, se trouvant dans les chaussettes du gardien..
Elle retourne en cuisine puis hésite entre examiner cette fameuse trappe ou s'enfuir par la fenêtre. Elle opte finalement pour la deuxième option, ne voulant s'approprier plus d'ennuis. La serrure se débloque une fois la clé insérée à l'intérieur, au plus grand bonheur de Elena. La russe regarde une dernière fois la pièce, puis s'en va courir dans la nuit, alors que le seul lieu faisant partit de sa connaissance est ce fameux trottoir qui l'a tant fait souffrir..
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Aleksandra se réveille en sursaut et constate que Viktoria est également éveillée.
- Vi.. vi.. Viktoria.. T'as pas entendu du bruit ?
- Hmmm.. Si je crois. Ca doit être Vladimir qui est partit pissé.
Aleksandra rétorque cette affirmation en montrant du doigt le matelas de Elena, vide.
- Hmmm, ben c'est elle qui est allée pissée qu'est-ce que tu veux, fit-elle, assoupie et engourdie.
- Non non, ce n'est pas son genre, chuchota Aleksandra. Il est arrivé quelque chose, j'en suis persuadée.
Puis plus un mot. Son amie vient de se rendormir. C'est à son plus grand désarroi et dans un trouble inquiétant que Aleksandra doit retrouver le sommeil, inquiète pour sa copine Elena.
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Mikael a mal à la tête. Son cerveau vient de subir la dure loi de l'alcool. Encore une de ses soirées bombardées d'eau-de-vie qui mettent en danger sa santé. Car s'il n'est pas bourré, Jakobsson se sent absolument irrité, il voit flou dans la rue qu'il remonte à pied pour rejoindre son appartement.
Il se frotte toutes les deux secondes ses yeux qui le brûlent et se touche le front, vraiment mal en point.
Arrivé devant son immeuble, il s'arrête quelques temps pour chercher les clés situées dans sa poche. Puis, dans la rue, il aperçoit une fille.
Dans la nuit, il ne peut pas voir les traits de son visage mais, rien qu'au premier regard, Mikael comprend qu'il s'agit d'une gamine magnifique. Elle mesure pas bien haut.
Ultra-mince, elle court à toute vitesse comme si elle fuyait quelqu'un, quelque chose. Regardant partout autour d'elle, la jeune fille semble totalement perdue.
Mikael lui donne quatorze, quinze ans, pas plus. Elle paraît fragile et affaiblie.
Mais à peine le temps de l'observer, que cette mystérieuse inconnue disparaît dans Paris. Mikael n'a pas le courage de la pourchasser bien que cela l'intrigue de voir une femme de cet âge là roder en pleine capitale à une heure du matin passée.
Une fois installé confortablement dans son lit, il repense à celle-ci. Elle commence à prendre le dessus sur ses pensées et l'obnubiler. Mikael se sent, à sa plus grande surprise, comme attiré par sa petite personne.
Qui est-elle ?
Le plan d'Elena ne peut pas échouer.
Elle ouvre la porte d'une vitesse monstrueuse et contemple sa cible. Le garde, outré et stupéfait de voir qu'une des fille tente de s'échapper reste bouche bée devant la russe. Avec une violence rare, Elena vient lui enfoncer son petit couteau de cuisine en plein dans son coeur. Aucune réaction n'est pas possible pour lui, même pas un cri. Il meurt dans un silence profond.
La lame qu'a implantée Elena dans son organe vital l'a littéralement abattu.
La jeune fille s'empresse alors de le fouiller. Une arme dans sa poche. C'est la première fois de sa vie qu'elle se retrouve avec un pistolet entre les mains, mais elle ne s'en rend même pas compte. Aucune trouvaille intéressante pour Elena hormis cela.
Elle laisse le cadavre là où il est, puis s'en va vers la sortie qu'elle a installée elle-même.
En toute discrétion, la résistante se dirige vers la cafétéria, laissée bizarrement ouvert. Elle sait qu'il y existe une fenêtre dans les cuisines. Elle l'a déjà aperçue autrefois.
Quand elle préparait son projet, elle a scruté chaque coin du bâtiment dans lequel elle vit et les a tous analysé à un à un. Il s'est avéré que la sortie par la cantine était la moins complexe.
Elena est maintenant prête de son but. Plus qu'à ouvrir cette fenêtre et liberté elle respirera, quinze ans après..
Des coups de poignets inutiles plus tard lui font alors comprendre que la fenêtre est fermée à clef, pas si con que ça Vladimir.
Prise de panique, elle tourne la tête dans tous les sens pour chercher une ultime solution, et bingo ! Une trappe souterraine !
Espérons qu'elle ne soit pas verrouillée, elle aussi. Elena prend sa respiration et tente de l'ouvrir. Toujours pas.
Affolée, elle imagine une arrivée inattendue de Vladimir ou autre bouffon de sa clique. Elle retourne désespérément sur les lieux du crime dans l'espoir infime de retrouver quelque chose chez le garde qu'elle aurait oubliée d'inspecter. Rien dans les poches de son jean, idem pour son blouson de cuir. Ni dans le sous-vêtement (après tout, on sait jamais).. Elena s'apprête à se rendre quand elle voit un objet briller dans ses yeux, illuminant ses pensées et redonnant du peps à son enthousiasme. L'objet qui brillait n'était autre qu'une clé, se trouvant dans les chaussettes du gardien..
Elle retourne en cuisine puis hésite entre examiner cette fameuse trappe ou s'enfuir par la fenêtre. Elle opte finalement pour la deuxième option, ne voulant s'approprier plus d'ennuis. La serrure se débloque une fois la clé insérée à l'intérieur, au plus grand bonheur de Elena. La russe regarde une dernière fois la pièce, puis s'en va courir dans la nuit, alors que le seul lieu faisant partit de sa connaissance est ce fameux trottoir qui l'a tant fait souffrir..
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Aleksandra se réveille en sursaut et constate que Viktoria est également éveillée.
- Vi.. vi.. Viktoria.. T'as pas entendu du bruit ?
- Hmmm.. Si je crois. Ca doit être Vladimir qui est partit pissé.
Aleksandra rétorque cette affirmation en montrant du doigt le matelas de Elena, vide.
- Hmmm, ben c'est elle qui est allée pissée qu'est-ce que tu veux, fit-elle, assoupie et engourdie.
- Non non, ce n'est pas son genre, chuchota Aleksandra. Il est arrivé quelque chose, j'en suis persuadée.
Puis plus un mot. Son amie vient de se rendormir. C'est à son plus grand désarroi et dans un trouble inquiétant que Aleksandra doit retrouver le sommeil, inquiète pour sa copine Elena.
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Mikael a mal à la tête. Son cerveau vient de subir la dure loi de l'alcool. Encore une de ses soirées bombardées d'eau-de-vie qui mettent en danger sa santé. Car s'il n'est pas bourré, Jakobsson se sent absolument irrité, il voit flou dans la rue qu'il remonte à pied pour rejoindre son appartement.
Il se frotte toutes les deux secondes ses yeux qui le brûlent et se touche le front, vraiment mal en point.
Arrivé devant son immeuble, il s'arrête quelques temps pour chercher les clés situées dans sa poche. Puis, dans la rue, il aperçoit une fille.
Dans la nuit, il ne peut pas voir les traits de son visage mais, rien qu'au premier regard, Mikael comprend qu'il s'agit d'une gamine magnifique. Elle mesure pas bien haut.
Ultra-mince, elle court à toute vitesse comme si elle fuyait quelqu'un, quelque chose. Regardant partout autour d'elle, la jeune fille semble totalement perdue.
Mikael lui donne quatorze, quinze ans, pas plus. Elle paraît fragile et affaiblie.
Mais à peine le temps de l'observer, que cette mystérieuse inconnue disparaît dans Paris. Mikael n'a pas le courage de la pourchasser bien que cela l'intrigue de voir une femme de cet âge là roder en pleine capitale à une heure du matin passée.
Une fois installé confortablement dans son lit, il repense à celle-ci. Elle commence à prendre le dessus sur ses pensées et l'obnubiler. Mikael se sent, à sa plus grande surprise, comme attiré par sa petite personne.
Qui est-elle ?