Note de la fic :
Les Zombies n'existent pas : Partie I
Par : 17XX
Genre : Horreur
Statut : C'est compliqué
Chapitre 10 : Découverte
Publié le 22/05/2011 à 18:56:18 par 17XX
Après discussion on a décidés de finir la journée ici afin de trouver d'autres objets utiles puis de partir le lendemain vers Paris. C'était une grave erreur...
Nous nous sommes donc séparés avec à chacun un périmètre défini. Moi j'etais à l'Eplanade. Lorsque je vis une silhouette au loin. Féminine à première vue, elle est assises, sous un arbre, des cheveux ébouriffés et des griffures ou coupures sur le corps et le visage. Je me méfie et m'approche d'elle, l'interpelant :
-Excuse moi ? Qu'est-ce que tu fais ici toute seule ?
Elle se retourna, elle devait avoir environ 18 ans. Elle s'est contenté de me fixer avec les larmes aux yeux, sans rien dire.
-Allez viens, je t'emmène en sécurité.
Elle se laissa faire, je la pris par la main délicatement, cette fille semblait vraiment choquée... Je remarque une entaille bien profonde sur son avant bras, on dirait même une morsure.
J'ai été le premier à rentrer. J'ai allongé ma protégée, je lui donne de l'eau et un peu à grignoter. Puis j'essaye d'en savoir plus sur elle.
-Dis moi, qu'est-ce qu'il t'es arrivé ?
Une fois encore, elle me regarda avec des yeux larmoyants, semblant vouloir parler mais n'y arrivant pas.
-Ecoute c'est pas grave, t'es en sécurité maintenant d'accord ? Viens dans la chambre il te faut du repos.
Là son regard changea totalement, elle semblait terrorisé par le fait de rester seule, car elle me tenait fermement le bras avec des yeux implorants.
-D'accord, je vais te tenir un peu compagnie.
Je m'allonge alors avec elle, lui nettoie un peu le visage et elle finit par s'endormir dans mes bras.
Une heure plus tard, Cédric et Nathan sont rentrés, j'etais sur le canapé, pensif, une cigarette à la main. Cette fille me trouble. Elle à l'air tellement fragile, ça vous donne une énorme envie de la protéger et on se demande quel enfoiré ferait du mal à une fille pareille. La définition même de la féminité. Oui elle est jolie, mais ce n'est pas ça qui m'interesse, je veux en savoir plus sur elle. Je veux connaître son histoire, le regard de cette fille s'imprime dans votre cerveau, tellement rempli de tristesse, de vulnérabilité... Non je la laisserai pas tomber.
Cédric et nathan arrive donc dans le salon, le sourire au lèvres.
-On a trouvé d'autres trousses de soins, un flingue correct sur l'uniforme d'un flic, quelques munitions pour les famas, et un plein avec 15 litres de reserve dans le coffre.
-Moi j'ai trouvé quelqu'un.
-Quoi ?! S'exclama Nathan
-Ouais, une fille, sur l'esplanade, elle à l'air sous le choc, elle était là sous un arbre, le regard vide. Elle pouvait mourir à tout moment. Elle dors dans ta chambre Cédric.
-Qu'est-ce qu'on fait alors, dis Cédric, on part toujours demain ? Si on en trouve une, on en trouvera d'autres.
Je réfléchis puis lui réponds :
-On peut plus penser aux autres, il va falloir penser un peu à nous, sortir d'ici c'est notre seul objectif, on va chercher une voiture plus solide demain matin et on forçera le barrage de l'armée.
Nous nous sommes donc séparés avec à chacun un périmètre défini. Moi j'etais à l'Eplanade. Lorsque je vis une silhouette au loin. Féminine à première vue, elle est assises, sous un arbre, des cheveux ébouriffés et des griffures ou coupures sur le corps et le visage. Je me méfie et m'approche d'elle, l'interpelant :
-Excuse moi ? Qu'est-ce que tu fais ici toute seule ?
Elle se retourna, elle devait avoir environ 18 ans. Elle s'est contenté de me fixer avec les larmes aux yeux, sans rien dire.
-Allez viens, je t'emmène en sécurité.
Elle se laissa faire, je la pris par la main délicatement, cette fille semblait vraiment choquée... Je remarque une entaille bien profonde sur son avant bras, on dirait même une morsure.
J'ai été le premier à rentrer. J'ai allongé ma protégée, je lui donne de l'eau et un peu à grignoter. Puis j'essaye d'en savoir plus sur elle.
-Dis moi, qu'est-ce qu'il t'es arrivé ?
Une fois encore, elle me regarda avec des yeux larmoyants, semblant vouloir parler mais n'y arrivant pas.
-Ecoute c'est pas grave, t'es en sécurité maintenant d'accord ? Viens dans la chambre il te faut du repos.
Là son regard changea totalement, elle semblait terrorisé par le fait de rester seule, car elle me tenait fermement le bras avec des yeux implorants.
-D'accord, je vais te tenir un peu compagnie.
Je m'allonge alors avec elle, lui nettoie un peu le visage et elle finit par s'endormir dans mes bras.
Une heure plus tard, Cédric et Nathan sont rentrés, j'etais sur le canapé, pensif, une cigarette à la main. Cette fille me trouble. Elle à l'air tellement fragile, ça vous donne une énorme envie de la protéger et on se demande quel enfoiré ferait du mal à une fille pareille. La définition même de la féminité. Oui elle est jolie, mais ce n'est pas ça qui m'interesse, je veux en savoir plus sur elle. Je veux connaître son histoire, le regard de cette fille s'imprime dans votre cerveau, tellement rempli de tristesse, de vulnérabilité... Non je la laisserai pas tomber.
Cédric et nathan arrive donc dans le salon, le sourire au lèvres.
-On a trouvé d'autres trousses de soins, un flingue correct sur l'uniforme d'un flic, quelques munitions pour les famas, et un plein avec 15 litres de reserve dans le coffre.
-Moi j'ai trouvé quelqu'un.
-Quoi ?! S'exclama Nathan
-Ouais, une fille, sur l'esplanade, elle à l'air sous le choc, elle était là sous un arbre, le regard vide. Elle pouvait mourir à tout moment. Elle dors dans ta chambre Cédric.
-Qu'est-ce qu'on fait alors, dis Cédric, on part toujours demain ? Si on en trouve une, on en trouvera d'autres.
Je réfléchis puis lui réponds :
-On peut plus penser aux autres, il va falloir penser un peu à nous, sortir d'ici c'est notre seul objectif, on va chercher une voiture plus solide demain matin et on forçera le barrage de l'armée.