Note de la fic :
Les Zombies n'existent pas : Partie I
Par : 17XX
Genre : Horreur
Statut : C'est compliqué
Chapitre 14 : Observés
Publié le 23/05/2011 à 22:12:55 par 17XX
-Nath', combien de temps il va nous falloir avant d'être à Paris ?
-7h, à peu près.
-Mais va y'avoir un problème les gars, dit Benjamin, Les autoroutes seront toutes bouchées. Tout le monde à fuis de sa ville et s'est retrouvé sur les autoroutes.
-Conclusion, va falloir prendre des nationales ?, répondis-je, fatigué d'avance. Combien ça va prendre temps donc ?
-Le double répondis Nathan, impassible.
12h de route dans une France infestée de fous furieux, je me demande si on y arrivera un jour.
On a roulé pendant 2h30 sur les nationales, bien qu'elles étaient pas mal bouchées elles aussi. Jusqu'à ce que quelque chose nous interpelle.
-Hé Bastien, fait Nathan, regarde là bas ! À coté du pont éclairé par la lune à gauche.
Un feu. Un feu de camp on dirait bien, je distingue la forme pointues de quelque tentes.
-Arrête toi, dis-je à Nathan.
-Laissez moi passer devant. J'ai hâte de venger mes hommes. Prenez vos armes, allumez pas vos lampes !
On s'aventura alors dans ces petits bosqués touffues longeant la route. Le feu doit être à 300m à peu près. Chaque bruit nocturne me fait sursauter. On arrive au feu. C'est pas des tentes. C'est des préfabriqués appartenant à l'OMS.
-Merde, un campement mobile. Y'a un véhicule de l'armée là bas. C'est pas pour rien. Restez sur vos garde, dit Benjamin.
Le campement faiblement éclairé par le feu laisse découvrir des traces de sang un peu partout, ce petit campement à été complètement submergé, alors qu'on est en pleine campagne...
Je finis par m'exclamer :
-Allez, on bouge !
-Attends, réponds Nathan, y'a peut être des infos là dedans !
-On s'en fout ! J'le sens pas ce coin !
-Il faut qu'on en sache plus pour pouvoir survivre.
Là il marque un point. On entre donc dans le premier petit batiment. En éclairant avec des lampes torches. Benjamin se mit à chercher fébrilement des journaux de bords ou des notes, lorsqu'un petit panneau attire mon attention. Et merde.
-Putain ! Regardez ce panneau ! Faut se casser !
Sur le panneau est dessiné un petit masque à gaz avec écris en gros, en lettre rouge : Port du masque obligatoire, risque morte. Salle préssurisé.
-Putain ils peuvent pas le mettre dehors ça !
-Il doit y être mais il fait trop sombre, répondis Benjamin, allez vite on sors d'ici.
-7h, à peu près.
-Mais va y'avoir un problème les gars, dit Benjamin, Les autoroutes seront toutes bouchées. Tout le monde à fuis de sa ville et s'est retrouvé sur les autoroutes.
-Conclusion, va falloir prendre des nationales ?, répondis-je, fatigué d'avance. Combien ça va prendre temps donc ?
-Le double répondis Nathan, impassible.
12h de route dans une France infestée de fous furieux, je me demande si on y arrivera un jour.
On a roulé pendant 2h30 sur les nationales, bien qu'elles étaient pas mal bouchées elles aussi. Jusqu'à ce que quelque chose nous interpelle.
-Hé Bastien, fait Nathan, regarde là bas ! À coté du pont éclairé par la lune à gauche.
Un feu. Un feu de camp on dirait bien, je distingue la forme pointues de quelque tentes.
-Arrête toi, dis-je à Nathan.
-Laissez moi passer devant. J'ai hâte de venger mes hommes. Prenez vos armes, allumez pas vos lampes !
On s'aventura alors dans ces petits bosqués touffues longeant la route. Le feu doit être à 300m à peu près. Chaque bruit nocturne me fait sursauter. On arrive au feu. C'est pas des tentes. C'est des préfabriqués appartenant à l'OMS.
-Merde, un campement mobile. Y'a un véhicule de l'armée là bas. C'est pas pour rien. Restez sur vos garde, dit Benjamin.
Le campement faiblement éclairé par le feu laisse découvrir des traces de sang un peu partout, ce petit campement à été complètement submergé, alors qu'on est en pleine campagne...
Je finis par m'exclamer :
-Allez, on bouge !
-Attends, réponds Nathan, y'a peut être des infos là dedans !
-On s'en fout ! J'le sens pas ce coin !
-Il faut qu'on en sache plus pour pouvoir survivre.
Là il marque un point. On entre donc dans le premier petit batiment. En éclairant avec des lampes torches. Benjamin se mit à chercher fébrilement des journaux de bords ou des notes, lorsqu'un petit panneau attire mon attention. Et merde.
-Putain ! Regardez ce panneau ! Faut se casser !
Sur le panneau est dessiné un petit masque à gaz avec écris en gros, en lettre rouge : Port du masque obligatoire, risque morte. Salle préssurisé.
-Putain ils peuvent pas le mettre dehors ça !
-Il doit y être mais il fait trop sombre, répondis Benjamin, allez vite on sors d'ici.