Note de la fic :
Publié le 21/05/2011 à 11:11:22 par 17XX
Ce qui mettait 15 minutes nous a pris une heure. On approche de la plus grande cité de montpellier, La Paillade.
C: On va se séparer. Chacun prends une direction.
-...
N: Ok.
Je m'aventurais donc seule dans cette cité abandonnée. La différence entre ici et le centre, c'est que le centre, malgès les véhicules en flammes, les traces de sangs et les immeubles desertés, il gardait sa beauté. Tandis qu'ici, c'est encore plus laid et déprimant, si c'est possible.
Je pris par la gauche dans une rue un peu plus petite, et extrêmement sombre, malgès le fait qu'il soit 8h du matin.
Le famas me faisait un peu mal à l'épaule. Puis j'entendis un bruit sec se répétant, toujours plus vite, quelqu'un qui court on dirait. Les pas se rapprochait de moi. Puis les hurlements revinrent. Putain, c'est exactement comme dans mon rêve, faut que je dégage d'ici. Je fais demi tour et me dirige vers l'endroit ou on s'est séparé, mais quelque chose m'arreta net. Ma peur tout simplement. Je suis paralysé par les bruits de pas que j'entends foncer sur moi par derrière.
-AARG !
Quelque chose se jeta sur moi, me jeta à terre, je me retourne et distingue... Son visage. Noir, très noir, comme calciné par le feu. Des lambeaux de chairs se détachait de son visage.
Tout en le retenant j'empoigne mon Famas et tente tant bien que mal de le diriger vers sa tête. J'appuie sur la gachette. Les tirs fusent. Son crâne explose.
C'est exactement au moment des tirs que des dizaines de cris retentirent dans toutes la cité.
-PUTAAAAAAIN
J'ai jamais couru aussi vite de ma vie, on est tous arrivés au même moment à la voiture.
N: Putain qu'est-ce qui se passe !
-J'suis tombé sur une de ces choses !
En securité dans la voiture s'éloignant à toute vitesse, je pus reprendre mes esprits et mon souffle.
-Son visage était noir comme si il avait brulé, mais il était bien vivant. Et on aurait dit qu'il voulait me bouffer. Je crois que j'ai compris un truc. Il faut éviter la nuit, mais aussi les endroits sombres. Il faut pas faire de bruits non plus, dès que je tirais, des dizaines d'autres accouraient.
C: On a pas le choix. Faut qu'on se barre d'ici. On s'en fout des recherches, c'est clair et net y'a plus de survivants. On va à Paris.
C: On va se séparer. Chacun prends une direction.
-...
N: Ok.
Je m'aventurais donc seule dans cette cité abandonnée. La différence entre ici et le centre, c'est que le centre, malgès les véhicules en flammes, les traces de sangs et les immeubles desertés, il gardait sa beauté. Tandis qu'ici, c'est encore plus laid et déprimant, si c'est possible.
Je pris par la gauche dans une rue un peu plus petite, et extrêmement sombre, malgès le fait qu'il soit 8h du matin.
Le famas me faisait un peu mal à l'épaule. Puis j'entendis un bruit sec se répétant, toujours plus vite, quelqu'un qui court on dirait. Les pas se rapprochait de moi. Puis les hurlements revinrent. Putain, c'est exactement comme dans mon rêve, faut que je dégage d'ici. Je fais demi tour et me dirige vers l'endroit ou on s'est séparé, mais quelque chose m'arreta net. Ma peur tout simplement. Je suis paralysé par les bruits de pas que j'entends foncer sur moi par derrière.
-AARG !
Quelque chose se jeta sur moi, me jeta à terre, je me retourne et distingue... Son visage. Noir, très noir, comme calciné par le feu. Des lambeaux de chairs se détachait de son visage.
Tout en le retenant j'empoigne mon Famas et tente tant bien que mal de le diriger vers sa tête. J'appuie sur la gachette. Les tirs fusent. Son crâne explose.
C'est exactement au moment des tirs que des dizaines de cris retentirent dans toutes la cité.
-PUTAAAAAAIN
J'ai jamais couru aussi vite de ma vie, on est tous arrivés au même moment à la voiture.
N: Putain qu'est-ce qui se passe !
-J'suis tombé sur une de ces choses !
En securité dans la voiture s'éloignant à toute vitesse, je pus reprendre mes esprits et mon souffle.
-Son visage était noir comme si il avait brulé, mais il était bien vivant. Et on aurait dit qu'il voulait me bouffer. Je crois que j'ai compris un truc. Il faut éviter la nuit, mais aussi les endroits sombres. Il faut pas faire de bruits non plus, dès que je tirais, des dizaines d'autres accouraient.
C: On a pas le choix. Faut qu'on se barre d'ici. On s'en fout des recherches, c'est clair et net y'a plus de survivants. On va à Paris.