Note de la fic :
Les Zombies n'existent pas : Partie I
Par : 17XX
Genre : Horreur
Statut : C'est compliqué
Chapitre 8 : Mort au coin de la rue
Publié le 21/05/2011 à 11:10:39 par 17XX
Cette nuit là, personne n'a réussi à se rendormir. On a barricadé la porte lorsqu'on a entendu des bruits sourds dans l'immeuble. J'ai jamais eu aussi peur de ma vie. Et c'était que le début.
Deuxième jour, début de matinée.
C: Allez il fait jour, on sort !
-J'propose d'aller voir ce qu'il s'est passé à la gare.
C: Bonne idée peut être qu'on y trouvera l'armée ?
N: A ta place, j'me ferais pas trop d'espoir...
On se mit donc en route, à pieds. Un spectacle d'apocalypse nous attendait.
Certaines voitures étaient en flammes, il y a avait des douilles partout par terre, parfois accompagnées de taches de sang, mais aucun corps. Nulle part. L'avenue gambetta est devastée, les portes de certains immeubles résidentiels on été forcées. Au loin, près de la gare routière nous apercevons quelque chose. De gros.
-C'est... C'est un char ?!
C: Je crois bien.
S'approchant du char français, nous pouvons voir qu'il ya toujours plus de douilles par terre, mais toujours pas de soldats...
N: Si y'a des douilles il doit y avoir des armes ! Ils ont quoi l'armée ?
C: FA-MAS, P226 des vraies armes quoi.
-Cherchons en.
Nous passons devant la gare SNCF puis remontons en direction de la comédie.
J'ai jamais vu quelque chose d'aussi horrible.
Des corps de militaires gisaient par dizaines, leurs armes à la main et parfois les yeux figés vers leur agresseurs d'un air suppliant.
C: Ramassez leurs armes.
C'était trop. On en a trop vu, plus personne ne dit rien, on se contente de ramasser ce qu'on a besoin.
C'est lourd un famas quand même. Puis nous avons continué en direction du Corum pour trouver toute trace d'habitants. Mais rien. Desert.
C: Et si on allait en dehors de la ville ? Peut-être que les banlieues sont moins touchées ?
-J'suis partant. On va chercher la voiture.
N: Je veux qu'on trouve un moyen de se barrer d'ici dès que y'aura plus d'espoir de trouver des survivants.
-Il a raison. On survivra pas longtemps ici. Si l'armée se fait décimer, alors nous...
C: Apparemment c'est la nuit que tout se passe. Il suffit de faire nos recherches le jour, et de se cloisoner la nuit.
C'est à ce moment là que j'ai repensé à tout mes proches. J'avais pas eu une seconde à moi depuis cette fameuse matinée de mai.
Mes cousins, mais quelques amis, ma mère qui ne répondait pas au téléphone...
On arrive enfin à la voiture, posons les armes à l'arrière et nous mettons en route.
Peut-être qu'on aura plus de chances là bas.
Deuxième jour, début de matinée.
C: Allez il fait jour, on sort !
-J'propose d'aller voir ce qu'il s'est passé à la gare.
C: Bonne idée peut être qu'on y trouvera l'armée ?
N: A ta place, j'me ferais pas trop d'espoir...
On se mit donc en route, à pieds. Un spectacle d'apocalypse nous attendait.
Certaines voitures étaient en flammes, il y a avait des douilles partout par terre, parfois accompagnées de taches de sang, mais aucun corps. Nulle part. L'avenue gambetta est devastée, les portes de certains immeubles résidentiels on été forcées. Au loin, près de la gare routière nous apercevons quelque chose. De gros.
-C'est... C'est un char ?!
C: Je crois bien.
S'approchant du char français, nous pouvons voir qu'il ya toujours plus de douilles par terre, mais toujours pas de soldats...
N: Si y'a des douilles il doit y avoir des armes ! Ils ont quoi l'armée ?
C: FA-MAS, P226 des vraies armes quoi.
-Cherchons en.
Nous passons devant la gare SNCF puis remontons en direction de la comédie.
J'ai jamais vu quelque chose d'aussi horrible.
Des corps de militaires gisaient par dizaines, leurs armes à la main et parfois les yeux figés vers leur agresseurs d'un air suppliant.
C: Ramassez leurs armes.
C'était trop. On en a trop vu, plus personne ne dit rien, on se contente de ramasser ce qu'on a besoin.
C'est lourd un famas quand même. Puis nous avons continué en direction du Corum pour trouver toute trace d'habitants. Mais rien. Desert.
C: Et si on allait en dehors de la ville ? Peut-être que les banlieues sont moins touchées ?
-J'suis partant. On va chercher la voiture.
N: Je veux qu'on trouve un moyen de se barrer d'ici dès que y'aura plus d'espoir de trouver des survivants.
-Il a raison. On survivra pas longtemps ici. Si l'armée se fait décimer, alors nous...
C: Apparemment c'est la nuit que tout se passe. Il suffit de faire nos recherches le jour, et de se cloisoner la nuit.
C'est à ce moment là que j'ai repensé à tout mes proches. J'avais pas eu une seconde à moi depuis cette fameuse matinée de mai.
Mes cousins, mais quelques amis, ma mère qui ne répondait pas au téléphone...
On arrive enfin à la voiture, posons les armes à l'arrière et nous mettons en route.
Peut-être qu'on aura plus de chances là bas.