Note de la fic : 
Les Zombies n'existent pas : Partie I
Par : 17XX
Genre : Horreur
Statut : C'est compliqué
Chapitre 7 : Dérapage
Publié le 20/05/2011 à 23:27:22 par 17XX
C: J'sais pas vous mais moi j'suis crevé... J'vais fumer un joint et dormir.
N: Roule le ici faut que je me détende. Bastien ?
-Non merci faut que je gardes les idées claires, répondis-je.
On est restés une bonne demie heure devant cette télé noire à essayer de parler d'autres choses mais ça fonctionne pas vraiment. Plus l'heure passe, plus la nuit est sombre, l'éclairage de la ville ne marche plus, j'ai jamais vu une nuit aussi noire d'encre.
C: Cette fois c'est la bonne, j'y vais les gars. Y'a qu'une chambre alors euh, essayez de vous partager le canapé il est assez grand.
N: Ca c'est Vraiment PD !
-
Première fois que je ris depuis ce matin. Ca fait du bien. Ah ce Nathan...
Comme prévu on partage le canapé. Nathan s'endort vite. Moi je met bien une bonne heure... Toutes ces pensées dans ma tête...
C'est ce bruit horrible qui m'a réveillé. Comme un cochon qu'on égorge mais en plus grave. Des dizaines. Des centaines.
-Putain !
N : Quoooi, dit il endormi, oh merde c'est quoi ça !
Cédric rentre en courant avec sa 22 à la main et regarde par la fenêtre.
C: J'vois rien, juste quelques ombres éclairées par lune.
Je m'approche de la fenêtre et regarde à mon tour. C'était pas quelques ombres, des dizaines, des centaines courent dans la rue. En poussant ce cri inhumain.
N: Hé ! Vous entendez ? On dirait des coups de feu !
Je tends l'oreille et j'arrive aussi à distinguer des tirs, des tirs automatiques et en grand nombres.
Puis une explosion, au loin, on dirait que c'est vers la gare saint roch.
-Putain ! L'armée ?
N : Je pense, ils doivent...
Un cri l'interrompit. Un cri humain cette fois. Un cri de femme.
C: Faut aller l'aider ! Dit-il en se précipitant vers la porte.
Nathan se précipita sur lui et le retiens par la bras.
N: Arrête mec ! T'as pas vu les infos ? Putain on sait pas ce que c'est, alors c'est pas le moment de sortir gambader !
C: c'est que des connneries ! Elle a besoin de nous !
N: Et les ombres qu'on voit et ces tirs qu'on entends c'est des conneries ? ? Putain réflechis, ce truc qu'il y a dehors, il nous veut pas du bien !
-Ca prouve une chose. On est pas seuls. Le jour personne, et la nuit des centaines de euh « choses » qui crient ?
C: vous pouvez me dire ce que vous voulez mais je laisserai pas une bonne femme crever dehors ! Laissez moi partir putain !
N: ARRETE tes conneries PUTAIN ! Tu veux crever ou quoi ? On attends qu'il fasse jour et on ira sortir voir ce qu'il y a.
N: Roule le ici faut que je me détende. Bastien ?
-Non merci faut que je gardes les idées claires, répondis-je.
On est restés une bonne demie heure devant cette télé noire à essayer de parler d'autres choses mais ça fonctionne pas vraiment. Plus l'heure passe, plus la nuit est sombre, l'éclairage de la ville ne marche plus, j'ai jamais vu une nuit aussi noire d'encre.
C: Cette fois c'est la bonne, j'y vais les gars. Y'a qu'une chambre alors euh, essayez de vous partager le canapé il est assez grand.
N: Ca c'est Vraiment PD !
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Première fois que je ris depuis ce matin. Ca fait du bien. Ah ce Nathan...
Comme prévu on partage le canapé. Nathan s'endort vite. Moi je met bien une bonne heure... Toutes ces pensées dans ma tête...
C'est ce bruit horrible qui m'a réveillé. Comme un cochon qu'on égorge mais en plus grave. Des dizaines. Des centaines.
-Putain !
N : Quoooi, dit il endormi, oh merde c'est quoi ça !
Cédric rentre en courant avec sa 22 à la main et regarde par la fenêtre.
C: J'vois rien, juste quelques ombres éclairées par lune.
Je m'approche de la fenêtre et regarde à mon tour. C'était pas quelques ombres, des dizaines, des centaines courent dans la rue. En poussant ce cri inhumain.
N: Hé ! Vous entendez ? On dirait des coups de feu !
Je tends l'oreille et j'arrive aussi à distinguer des tirs, des tirs automatiques et en grand nombres.
Puis une explosion, au loin, on dirait que c'est vers la gare saint roch.
-Putain ! L'armée ?
N : Je pense, ils doivent...
Un cri l'interrompit. Un cri humain cette fois. Un cri de femme.
C: Faut aller l'aider ! Dit-il en se précipitant vers la porte.
Nathan se précipita sur lui et le retiens par la bras.
N: Arrête mec ! T'as pas vu les infos ? Putain on sait pas ce que c'est, alors c'est pas le moment de sortir gambader !
C: c'est que des connneries ! Elle a besoin de nous !
N: Et les ombres qu'on voit et ces tirs qu'on entends c'est des conneries ? ? Putain réflechis, ce truc qu'il y a dehors, il nous veut pas du bien !
-Ca prouve une chose. On est pas seuls. Le jour personne, et la nuit des centaines de euh « choses » qui crient ?
C: vous pouvez me dire ce que vous voulez mais je laisserai pas une bonne femme crever dehors ! Laissez moi partir putain !
N: ARRETE tes conneries PUTAIN ! Tu veux crever ou quoi ? On attends qu'il fasse jour et on ira sortir voir ce qu'il y a.