Note de la fic :
Les Zombies n'existent pas : Partie I
Par : 17XX
Genre : Horreur
Statut : C'est compliqué
Chapitre 17 : Rencontre.
Publié le 24/05/2011 à 23:28:43 par 17XX
-Alors, demanda Patrick, comment tu t'appelles ?
-Mika. Je suis caméraman. J'étais entrain de faire un reportage avec mon équipe, à Montpellier. Puis, ces... choses ont débarqués. Personne n'a survécu.
-On est de Montpellier aussi ! Moi c'est Bastien, lui c'est Nathan. Le militaire avec une tête de Rambo c'est Benjamin, il était aussi en mission à Montpellier. Comment tu as fais pour sortir ?
-L'hélicoptère de la chaîne. Mais très vite il est tombé à court.
-Un hélico ?? s'exclama le lieutenant, on peut peut-être trouver du carburant ?
-Je sais pas, mais pas ici en tout cas. J'ai cherché partout jusqu'à ce qu'ils me trouvent. Je suis même pas armé... Une chance que vous étiez dans le coin. Je me suis servi de la radio de la ferme, une vraie antiquité.
-C'est l'avantage des ondes courtes, répondis Benjamin.
-Mais, vous avez un camp, quelque chose ?
-Ouais, répondis le lieutenant. Mais il va falloir qu'on tarde pas à bouger, ils peuvent nous retrouver.
Nous sommes donc rentrés au camp, le reste de la journée s'est passé sans problèmes. J'ai un peu parlé avec Mika.
-Tu peux pas savoir comment je suis heureux d'avoir trouvé des êtres humains, me dit-il.
-T'inquiètes pas, on va se serrer les coudes et trouver une solution.
-J'ai tout filmé.
-Quoi ? Le massacre. A Montpellier, j'ai tout. C'est pour ça que je garde la caméra. Les gens auront besoin de voir, quand tout sera terminé.
-Au point ou on en est...
-Qu'est-ce que tu veux dire ?
-Pourquoi n'as tu pas cherché d'arme ?
-Je sais pas. J'ai eu pas mal de chance. Je me suis réfugiés dans un tram à l'arrêt. Une seule porte s'ouvrait alors je l'ai bloqué. Puis au bout de quelques nuits je me suis dit qu'il fallait peut être que je partes de là-bas, surtout quand j'ai vu une soixantaine de soldats se faire tuer. De toute ma vie de cameraman de terrain, jamais, jamais j'ai vu quelque chose d'aussi horrible. Pourtant je suis allé en Irak, au Kosovo, Afghanistan... Mais ça... Jamais. Ils en tuaient 10, 20 arrivaient, de nulle part.
-Notre objectif, c'est d'aller à Paris, logiquement si il reste une quelquonque forme d'autorité, ça doit être là bas.
-C'est pas une mauvaise idée. Mais si c'est pas le cas, qu'est-ce qu'on fera ?
-Bonne question...
-Je me demande ce qu'on va devenir, me dit-il d'un air las. Je vais me reposer un peu.
-D'accord, pas de soucis.
Je rejoins alors le petit groupe habituel autour du feu, Benjamin, le lieutenant, Nathan, Patrick et sa femme.
-Alors ? Il à l'air de quoi ? Me demanda Nathan.
-L'air de quelqu'un qui en a bavé.
La nuit tombe. Le groupe spécule sur ce que l'on va trouver à Paris. Mais la priorité, c'est de trouver un véhicule supplémentaire pour pouvoir tous se déplacer. Et en pleine campagne, c'est pas chose facile.
-On y réfléchira demain, conclua le lieutenant. Je vous conseille d'aller dormir.
Sur ce, Nathan et moi allons dormir, Benjamin et le Lieutenant restent dehors pour surveiller.
-Hé les gars, demain c'est vous le tour de garde !
Oh non, tout seul, dehors en pleine nuit, je sais pas si j'aurais la force. M'enfin...
-Mika. Je suis caméraman. J'étais entrain de faire un reportage avec mon équipe, à Montpellier. Puis, ces... choses ont débarqués. Personne n'a survécu.
-On est de Montpellier aussi ! Moi c'est Bastien, lui c'est Nathan. Le militaire avec une tête de Rambo c'est Benjamin, il était aussi en mission à Montpellier. Comment tu as fais pour sortir ?
-L'hélicoptère de la chaîne. Mais très vite il est tombé à court.
-Un hélico ?? s'exclama le lieutenant, on peut peut-être trouver du carburant ?
-Je sais pas, mais pas ici en tout cas. J'ai cherché partout jusqu'à ce qu'ils me trouvent. Je suis même pas armé... Une chance que vous étiez dans le coin. Je me suis servi de la radio de la ferme, une vraie antiquité.
-C'est l'avantage des ondes courtes, répondis Benjamin.
-Mais, vous avez un camp, quelque chose ?
-Ouais, répondis le lieutenant. Mais il va falloir qu'on tarde pas à bouger, ils peuvent nous retrouver.
Nous sommes donc rentrés au camp, le reste de la journée s'est passé sans problèmes. J'ai un peu parlé avec Mika.
-Tu peux pas savoir comment je suis heureux d'avoir trouvé des êtres humains, me dit-il.
-T'inquiètes pas, on va se serrer les coudes et trouver une solution.
-J'ai tout filmé.
-Quoi ? Le massacre. A Montpellier, j'ai tout. C'est pour ça que je garde la caméra. Les gens auront besoin de voir, quand tout sera terminé.
-Au point ou on en est...
-Qu'est-ce que tu veux dire ?
-Pourquoi n'as tu pas cherché d'arme ?
-Je sais pas. J'ai eu pas mal de chance. Je me suis réfugiés dans un tram à l'arrêt. Une seule porte s'ouvrait alors je l'ai bloqué. Puis au bout de quelques nuits je me suis dit qu'il fallait peut être que je partes de là-bas, surtout quand j'ai vu une soixantaine de soldats se faire tuer. De toute ma vie de cameraman de terrain, jamais, jamais j'ai vu quelque chose d'aussi horrible. Pourtant je suis allé en Irak, au Kosovo, Afghanistan... Mais ça... Jamais. Ils en tuaient 10, 20 arrivaient, de nulle part.
-Notre objectif, c'est d'aller à Paris, logiquement si il reste une quelquonque forme d'autorité, ça doit être là bas.
-C'est pas une mauvaise idée. Mais si c'est pas le cas, qu'est-ce qu'on fera ?
-Bonne question...
-Je me demande ce qu'on va devenir, me dit-il d'un air las. Je vais me reposer un peu.
-D'accord, pas de soucis.
Je rejoins alors le petit groupe habituel autour du feu, Benjamin, le lieutenant, Nathan, Patrick et sa femme.
-Alors ? Il à l'air de quoi ? Me demanda Nathan.
-L'air de quelqu'un qui en a bavé.
La nuit tombe. Le groupe spécule sur ce que l'on va trouver à Paris. Mais la priorité, c'est de trouver un véhicule supplémentaire pour pouvoir tous se déplacer. Et en pleine campagne, c'est pas chose facile.
-On y réfléchira demain, conclua le lieutenant. Je vous conseille d'aller dormir.
Sur ce, Nathan et moi allons dormir, Benjamin et le Lieutenant restent dehors pour surveiller.
-Hé les gars, demain c'est vous le tour de garde !
Oh non, tout seul, dehors en pleine nuit, je sais pas si j'aurais la force. M'enfin...
Commentaires
- Pseudo supprimé
25/05/2011 à 00:08:41
Sweet + Lol, j'habite à Montpellier, ça fais bizarre de connaître par coeur chaque endroit que tu donnes