Note de la fic :
Je te vends mon âme.
Par : Juny
Genre : Sentimental, Réaliste
Statut : C'est compliqué
Chapitre 7 : Caliel
Publié le 28/04/2011 à 16:04:46 par Juny
[c]Dans la peau de Caliel. [/c]
Je vis alors sur son visage passer plusieurs expressions. Et je pouvais comprendre qu’elle était perdue. Je l’avais moi-même été. Je voyais alors passer de l’incompréhension, de la surprise… Et puis finalement quelque chose qui ressemblait à du bonheur. Comme celui que j’éprouvais intérieurement de savoir que je l’aimais, de savoir que maintenant, je ne lui ferais plus mal. De voir tant de choses. De rattraper le passé pour qu’il se mélange avec le présent. De voir l’avenir aussi. Parce qu’aujourd’hui, je le voyais. Avant, je ne le voyais pas parce que je n’y avais jamais pensé en fait. Mais il avait fallu qu’aujourd’hui, sous cette pluie battante et près d’elle, je l’entrevoie, je le conçois. Et ça, c’était la plus belle chose qui pouvait arriver. Aller vers l’avenir avec elle. Avec mon âme sœur. Avec celle que j’aimais.
C’était beau d’entrevoir une bride de notre avenir. Parce que c’était important pour moi de le faire avec elle. J’avais essayé de le voir avec Danaé. Mais je crois que je me faisais des illusions. Soudain, une douleur me transperça le ventre. Danaé. La culpabilité arriva… Danaé. Je voulais tant qu’elle me pardonne. Qu’elle me pardonne de l’avoir trompé et de mettre tromper. Je ne lui demande pas de bien m’aimer. Juste de me pardonner. Assez penser à elle. J’étais là, avec Madenn , sous la pluie et je venais de lui dire que je l’aimais. Oui, je l’aimais. Comme un fou. Comme un roi. Comme une star de cinéma. Comme un homme que je ne suis pas. Mais elle, allait-elle me pardonner de lui avoir dit tout ça. De lui avoir dit qu’elle n’était plus rien pour moi alors quand en fait, elle était quelqu’un. Elle était mon Âme sœur. Celle que j’aimais. Celle pour qui je tuerais. Celle dont mon amour n’a aucun égal. Je al vis alors pleurer. De joie. Je lui souris timidement. Et soudainement, elle s’approcha de moi et nos lèvres se rencontrèrent. Oh que cette sensation était douce et belle. Que sentir ses lèvres sur les miennes était bon. Jamais je n’avais pensé que ceci se reproduirait un jour. Et aujourd’hui, c’était le cas. Sous cette pluie battante.
Je posais mes mains sur son visage. J’étais heureux. Oh oui, que j’étais heureux. C’était la plus belle chose qui me soit arrivée durant la journée. La plus belle d’entre toutes. Nous nous embrassâmes plusieurs fois. Je ne voulais plus quitter ses lèvres. Je voulais toujours l’embrasser. L’embrasser jusqu’à ce qu’on meurt tous les deux. Qu’on meurt, le souffle court à force de s’être embrassé. Ce serait la plus belle des morts. Mourir près d’elle aurait été un honneur pour moi. Mais ce n’était pas aujourd’hui que nous allions mourir. J’entendis alors tes « je t’aime » et j’eus chaud au cœur. Je débordais de joie. J’étais heureux d’entendre ses mots de ta bouche que j’embrassais. J’entendis aussi tout ce que tu me dis et j’ai cru que j’allais encore pleurer. C’était tellement beau. C’était la plus belle déclaration d’amour qu’on ne m’avait fait. C’était magnifique. Toi tu étais femme de ma vie, tu étais celle avec qui je voudrais des enfants, tu étais celle qui portera mon nom et tu étais celle qui possédait la moitié de mon cœur. A tes côtés, il était complet.
Maman avait raison : il suffisait de trouver son âme sœur pour redevenir ses êtres que nous avions jadis été. Ses êtres avec deux têtes, quatre jambes, quatre bras mais un seul cœur… un cœur complet cette fois-ci. J’entendis alors que tu me pardonnais. Seigneur, je n’avais plus de poids sur les épaules. Je pouvais penser tranquillement et m’envoler dans les airs avec elle dans mes bras. J’étais libre. Libre d’un poids. Tous mes poids avaient disparu. Pouf ! Parti ! Tu pris alors mon visage entre tes mains pour effacer les larmes qui y coulaient. Que tu étais belle cette nuit-là, sous la pluie et sous la lumière des éclairs qui zébraient le ciel. Que tu étais belle avec tes yeux bleus. Que tu étais belle avec tes cheveux qui te collaient à la peau. Que tu étais belle. J’en avais le souffle coupé. Tes lèvres se posèrent sur mon front. Mes mains entourèrent ta taille. Elle était fine. Très fine. Elle avait toujours été fine. Enfin, il me semble. Notre passé me semblait être à une éternité. Il me semblait loin, si loin. J’allais la redécouvrir. Je le savais. J’aurais tout le temps pour la redécouvrir. J’aurais toute ma vie pour l’aimer. Et puis tu te séparas alors légèrement de moi et tu posas ta main sur mon torse au niveau de mon cœur. Celui-ci s’emballa immédiatement. Tu me rendais fou, ma Madenn. Totalement fou de toi.
« Pardonne-moi, mon Prince… Pardonne-moi d’avoir fait de ta vie un enfer… Pardonne-moi de nous avoir séparés. Ca n'a jamais été ce que j'ai voulu. Je voulais te rendre heureux, pardonne-moi d'avoir échoué. Tu as toujours été le seul, et tu le resteras. Je serai prête à te laisser mon cœur, à te vendre mon âme, pour que tu me pardonnes de t'avoir fait autant souffrir... »
Je la regardais dans les yeux. Elle était sincère. Je le savais, je le sentais. Et je ne pouvais que la croire. Parce qu’aujourd’hui, elle était pardonnée. Oui, depuis que j’avais trompé Danaé, je lui avais pardonné. Parce que je ne pouvais pas concevoir un avenir avec elle, sans lui avoir pardonné. Impossible. J’étais prêt à tout effacer. Tout. J’étais prêt à oublier le passé pour nous. Je le devais. Nous le devions. Pour nous deux. Pour elle. Pour moi. Je m’approchais alors d’elle doucement. Ma main vint se poser sur sa joue et la caressa doucement. Je la regardais dans les yeux. L’appel de ses lèvres était irrésistible. Ma tête vint alors près de son coup. Mon souffle s’écrasa contre sa peau qui sentait bon. Et je remontais alors, sans jamais que mes lèvres ne touchent sa peau. J’arrivais à son oreille. Et je lui soufflais alors :
« Te pardonner ? Mais pourquoi ? Qu’est ce que tu m’as fait ? Je ne me souviens de rien ! »
Je souris alors doucement. Elle avait compris le message, je crois. Elle était pardonnée. Elle était lavée de tous ses péchés. Je recroisais alors son regard. Et je lui souris alors innocemment. Ma main vint alors dans son dos pour l’attirer vers moi et je l’embrassais longuement.
Je vis alors sur son visage passer plusieurs expressions. Et je pouvais comprendre qu’elle était perdue. Je l’avais moi-même été. Je voyais alors passer de l’incompréhension, de la surprise… Et puis finalement quelque chose qui ressemblait à du bonheur. Comme celui que j’éprouvais intérieurement de savoir que je l’aimais, de savoir que maintenant, je ne lui ferais plus mal. De voir tant de choses. De rattraper le passé pour qu’il se mélange avec le présent. De voir l’avenir aussi. Parce qu’aujourd’hui, je le voyais. Avant, je ne le voyais pas parce que je n’y avais jamais pensé en fait. Mais il avait fallu qu’aujourd’hui, sous cette pluie battante et près d’elle, je l’entrevoie, je le conçois. Et ça, c’était la plus belle chose qui pouvait arriver. Aller vers l’avenir avec elle. Avec mon âme sœur. Avec celle que j’aimais.
C’était beau d’entrevoir une bride de notre avenir. Parce que c’était important pour moi de le faire avec elle. J’avais essayé de le voir avec Danaé. Mais je crois que je me faisais des illusions. Soudain, une douleur me transperça le ventre. Danaé. La culpabilité arriva… Danaé. Je voulais tant qu’elle me pardonne. Qu’elle me pardonne de l’avoir trompé et de mettre tromper. Je ne lui demande pas de bien m’aimer. Juste de me pardonner. Assez penser à elle. J’étais là, avec Madenn , sous la pluie et je venais de lui dire que je l’aimais. Oui, je l’aimais. Comme un fou. Comme un roi. Comme une star de cinéma. Comme un homme que je ne suis pas. Mais elle, allait-elle me pardonner de lui avoir dit tout ça. De lui avoir dit qu’elle n’était plus rien pour moi alors quand en fait, elle était quelqu’un. Elle était mon Âme sœur. Celle que j’aimais. Celle pour qui je tuerais. Celle dont mon amour n’a aucun égal. Je al vis alors pleurer. De joie. Je lui souris timidement. Et soudainement, elle s’approcha de moi et nos lèvres se rencontrèrent. Oh que cette sensation était douce et belle. Que sentir ses lèvres sur les miennes était bon. Jamais je n’avais pensé que ceci se reproduirait un jour. Et aujourd’hui, c’était le cas. Sous cette pluie battante.
Je posais mes mains sur son visage. J’étais heureux. Oh oui, que j’étais heureux. C’était la plus belle chose qui me soit arrivée durant la journée. La plus belle d’entre toutes. Nous nous embrassâmes plusieurs fois. Je ne voulais plus quitter ses lèvres. Je voulais toujours l’embrasser. L’embrasser jusqu’à ce qu’on meurt tous les deux. Qu’on meurt, le souffle court à force de s’être embrassé. Ce serait la plus belle des morts. Mourir près d’elle aurait été un honneur pour moi. Mais ce n’était pas aujourd’hui que nous allions mourir. J’entendis alors tes « je t’aime » et j’eus chaud au cœur. Je débordais de joie. J’étais heureux d’entendre ses mots de ta bouche que j’embrassais. J’entendis aussi tout ce que tu me dis et j’ai cru que j’allais encore pleurer. C’était tellement beau. C’était la plus belle déclaration d’amour qu’on ne m’avait fait. C’était magnifique. Toi tu étais femme de ma vie, tu étais celle avec qui je voudrais des enfants, tu étais celle qui portera mon nom et tu étais celle qui possédait la moitié de mon cœur. A tes côtés, il était complet.
Maman avait raison : il suffisait de trouver son âme sœur pour redevenir ses êtres que nous avions jadis été. Ses êtres avec deux têtes, quatre jambes, quatre bras mais un seul cœur… un cœur complet cette fois-ci. J’entendis alors que tu me pardonnais. Seigneur, je n’avais plus de poids sur les épaules. Je pouvais penser tranquillement et m’envoler dans les airs avec elle dans mes bras. J’étais libre. Libre d’un poids. Tous mes poids avaient disparu. Pouf ! Parti ! Tu pris alors mon visage entre tes mains pour effacer les larmes qui y coulaient. Que tu étais belle cette nuit-là, sous la pluie et sous la lumière des éclairs qui zébraient le ciel. Que tu étais belle avec tes yeux bleus. Que tu étais belle avec tes cheveux qui te collaient à la peau. Que tu étais belle. J’en avais le souffle coupé. Tes lèvres se posèrent sur mon front. Mes mains entourèrent ta taille. Elle était fine. Très fine. Elle avait toujours été fine. Enfin, il me semble. Notre passé me semblait être à une éternité. Il me semblait loin, si loin. J’allais la redécouvrir. Je le savais. J’aurais tout le temps pour la redécouvrir. J’aurais toute ma vie pour l’aimer. Et puis tu te séparas alors légèrement de moi et tu posas ta main sur mon torse au niveau de mon cœur. Celui-ci s’emballa immédiatement. Tu me rendais fou, ma Madenn. Totalement fou de toi.
« Pardonne-moi, mon Prince… Pardonne-moi d’avoir fait de ta vie un enfer… Pardonne-moi de nous avoir séparés. Ca n'a jamais été ce que j'ai voulu. Je voulais te rendre heureux, pardonne-moi d'avoir échoué. Tu as toujours été le seul, et tu le resteras. Je serai prête à te laisser mon cœur, à te vendre mon âme, pour que tu me pardonnes de t'avoir fait autant souffrir... »
Je la regardais dans les yeux. Elle était sincère. Je le savais, je le sentais. Et je ne pouvais que la croire. Parce qu’aujourd’hui, elle était pardonnée. Oui, depuis que j’avais trompé Danaé, je lui avais pardonné. Parce que je ne pouvais pas concevoir un avenir avec elle, sans lui avoir pardonné. Impossible. J’étais prêt à tout effacer. Tout. J’étais prêt à oublier le passé pour nous. Je le devais. Nous le devions. Pour nous deux. Pour elle. Pour moi. Je m’approchais alors d’elle doucement. Ma main vint se poser sur sa joue et la caressa doucement. Je la regardais dans les yeux. L’appel de ses lèvres était irrésistible. Ma tête vint alors près de son coup. Mon souffle s’écrasa contre sa peau qui sentait bon. Et je remontais alors, sans jamais que mes lèvres ne touchent sa peau. J’arrivais à son oreille. Et je lui soufflais alors :
« Te pardonner ? Mais pourquoi ? Qu’est ce que tu m’as fait ? Je ne me souviens de rien ! »
Je souris alors doucement. Elle avait compris le message, je crois. Elle était pardonnée. Elle était lavée de tous ses péchés. Je recroisais alors son regard. Et je lui souris alors innocemment. Ma main vint alors dans son dos pour l’attirer vers moi et je l’embrassais longuement.