Note de la fic :
Je te vends mon âme.
Par : Juny
Genre : Sentimental, Réaliste
Statut : C'est compliqué
Chapitre 9 : Caliel
Publié le 01/05/2011 à 01:34:51 par Juny
[c]Dans la peau de Caliel[/c]
« Je t’aime »
« Moi aussi »
Trois mots. Trois syllabes. Sept lettres. Et mon cœur s’emballa. J’étais heureux. J’étais comblé. J’étais amoureux. Amoureux d’une fée. D’une fée magnifique. Une fée qui avait le pouvoir de me soumettre à tout ce qu’elle voulait. Oui, oui, elle pouvait faire de moi ce qu’elle voulait, je l’aimerais tout pareil. C’est comme ça. J’étais amoureux de la plus belle fille du monde. La plus belle. La plus fragile aussi. Surtout quand c’était moi qui lui faisait du mal. La plus gentille aussi. Et la plus décalée aussi. Pas grand monde ne la comprenait. Moi aussi j’avais du mal parfois. Mais c’était ça qui me charmait. Et son regard alors. Son regard, il brillait comme des rubis. Oui, elle avait des rubis aux yeux. Et ses cheveux. Ses cheveux ils étaient blonds, beaux, doux. Et sa petite taille aussi. J’aimais quand sa tête arrivait dans mon cou. Et ses mains. Douces, belles, habiles. Et ses pieds aussi. Petits. Ses joues rougies par le froid. Elles ressemblaient à deux pommes d’api. C’est bon les pommes. Et puis ses lèvres. Douces et que j’avais envie d’embrasser, de mordre. Et son cou que je voulais embrasser et mordre. Et ses épaules, fermes et rondes. Et ses formes alors que je pouvais épouser et faire le contour avec mes mains sans aucunes retenues. Elle m’attirait irrésistiblement. Comme un aimant. Comme-ci la gravitation nous propulsait l’un vers l’autre. Je l’aimais. Oh que oui je l’aimais. En fait, dés le premier regard. Mais à l’époque nous étions encore jeunes et nous ne pouvions pas savoir ce que nous ressentions.
Aujourd’hui c’est différent… on est plus adulte, on comprend mieux les choses. Et puis dans quelques mois nous devrions sortir de ce cocon que forme Winside et affronter le monde extérieur. Mais nous n’en étions pas là encore. Nous étions sous la pluie, elle et moi, enlacer l’un dans l’autre, le sourire aux lêvres et on se regardait. Et puis soudainement, tu me demandas de te pincer. Je te regardais surprise. Et tu ajoutas que tu voulais que je lui prouve que tout ceci était la réalité. J’avoue, moi aussi j’avais du mal à y croire. Beaucoup de mal même. Mais c’était bel et bien la vérité. Et je n’étais pas dans ma bulle aujourd’hui. Ma bulle avait été transpercée le jour où j’ai voulu avancer. Je la regardais alors surpris. Je n’allais pas la pincer. Je ne martyrisais pas les gens moi ! Nan mais oh ! Encore moins ma copine… Cette idée me fit sourire. Madenn était ma copine. Madenn était ma petite amie. Madenn était la femme de ma vie. Et je me mis alors à sourire bêtement devant elle. Rien qu’à cette pensée. Oh douce jeunesse amoureuse !
« Je ne vais pas te pincer Mad’ ! Je ne t’ai pas dit que j’étais entré dans la ligue des gens pacifique ? Ah ? Bah maintenant tu le sais ! »
Je me mis à rire. On aura tout entendu. Moi dans la ligue des gens pacifiques… la bonne blague. Bon, je n’étais pas non plus le garçon bagarreur. Mais quand on me cherche des noises… On me les trouve ! Parce que je n’étais pas non plus d’une patiente à toute épreuve loin de là ! J’étais plutôt impétueux comme garçon et impulsif… ce qui m’avait valut quelques heures de colles durant ma scolarité à Winside. Mais il faut croire que l’âge assagit… Ou pas. C’est à voir. Parce que quand j’étais avec Nathaniel ou Eléa, ma petite « sœur », j’étais intenable voir même insupportable. En même temps, je me fondais dans la foule et adoptait l’attitude des gens assez facilement. Bref, je lui souris alors, m’approchais d’elle et l’embrassais fougueusement. Et puis vers la fin du baisé je lui mordis la langue. Elle sursauta. Je rigolais alors et lui répondit :
« J’espère que tu réalises maintenant ! »
Je lui souris alors innocemment. Mes mains caressèrent ses épaules et son cou, en passant par sa nuque. Non, elle ne se réveillerait plus jamais seule. Il en était hors de question. Ce serait toujours à mes côtés et rien d’autre. Elle n’aura même pas un amant parce que sinon je le tue et je la séquestre chez moi. Ouais, j’allais la séquestrer pour ne plus qu’elle s’échappe… Bon ok, j’arrête mon délire. Je caressais sa joue doucement et je lui souris alors tendrement.
« Non, Mad’, tu ne te réveilleras plus jamais seule. Je serais toujours à tes côtés. Tous les matins, jusqu’à c que nos cœurs s’arrête de battre. Je te le promets mon amour. »
« Je t’aime »
« Moi aussi »
Trois mots. Trois syllabes. Sept lettres. Et mon cœur s’emballa. J’étais heureux. J’étais comblé. J’étais amoureux. Amoureux d’une fée. D’une fée magnifique. Une fée qui avait le pouvoir de me soumettre à tout ce qu’elle voulait. Oui, oui, elle pouvait faire de moi ce qu’elle voulait, je l’aimerais tout pareil. C’est comme ça. J’étais amoureux de la plus belle fille du monde. La plus belle. La plus fragile aussi. Surtout quand c’était moi qui lui faisait du mal. La plus gentille aussi. Et la plus décalée aussi. Pas grand monde ne la comprenait. Moi aussi j’avais du mal parfois. Mais c’était ça qui me charmait. Et son regard alors. Son regard, il brillait comme des rubis. Oui, elle avait des rubis aux yeux. Et ses cheveux. Ses cheveux ils étaient blonds, beaux, doux. Et sa petite taille aussi. J’aimais quand sa tête arrivait dans mon cou. Et ses mains. Douces, belles, habiles. Et ses pieds aussi. Petits. Ses joues rougies par le froid. Elles ressemblaient à deux pommes d’api. C’est bon les pommes. Et puis ses lèvres. Douces et que j’avais envie d’embrasser, de mordre. Et son cou que je voulais embrasser et mordre. Et ses épaules, fermes et rondes. Et ses formes alors que je pouvais épouser et faire le contour avec mes mains sans aucunes retenues. Elle m’attirait irrésistiblement. Comme un aimant. Comme-ci la gravitation nous propulsait l’un vers l’autre. Je l’aimais. Oh que oui je l’aimais. En fait, dés le premier regard. Mais à l’époque nous étions encore jeunes et nous ne pouvions pas savoir ce que nous ressentions.
Aujourd’hui c’est différent… on est plus adulte, on comprend mieux les choses. Et puis dans quelques mois nous devrions sortir de ce cocon que forme Winside et affronter le monde extérieur. Mais nous n’en étions pas là encore. Nous étions sous la pluie, elle et moi, enlacer l’un dans l’autre, le sourire aux lêvres et on se regardait. Et puis soudainement, tu me demandas de te pincer. Je te regardais surprise. Et tu ajoutas que tu voulais que je lui prouve que tout ceci était la réalité. J’avoue, moi aussi j’avais du mal à y croire. Beaucoup de mal même. Mais c’était bel et bien la vérité. Et je n’étais pas dans ma bulle aujourd’hui. Ma bulle avait été transpercée le jour où j’ai voulu avancer. Je la regardais alors surpris. Je n’allais pas la pincer. Je ne martyrisais pas les gens moi ! Nan mais oh ! Encore moins ma copine… Cette idée me fit sourire. Madenn était ma copine. Madenn était ma petite amie. Madenn était la femme de ma vie. Et je me mis alors à sourire bêtement devant elle. Rien qu’à cette pensée. Oh douce jeunesse amoureuse !
« Je ne vais pas te pincer Mad’ ! Je ne t’ai pas dit que j’étais entré dans la ligue des gens pacifique ? Ah ? Bah maintenant tu le sais ! »
Je me mis à rire. On aura tout entendu. Moi dans la ligue des gens pacifiques… la bonne blague. Bon, je n’étais pas non plus le garçon bagarreur. Mais quand on me cherche des noises… On me les trouve ! Parce que je n’étais pas non plus d’une patiente à toute épreuve loin de là ! J’étais plutôt impétueux comme garçon et impulsif… ce qui m’avait valut quelques heures de colles durant ma scolarité à Winside. Mais il faut croire que l’âge assagit… Ou pas. C’est à voir. Parce que quand j’étais avec Nathaniel ou Eléa, ma petite « sœur », j’étais intenable voir même insupportable. En même temps, je me fondais dans la foule et adoptait l’attitude des gens assez facilement. Bref, je lui souris alors, m’approchais d’elle et l’embrassais fougueusement. Et puis vers la fin du baisé je lui mordis la langue. Elle sursauta. Je rigolais alors et lui répondit :
« J’espère que tu réalises maintenant ! »
Je lui souris alors innocemment. Mes mains caressèrent ses épaules et son cou, en passant par sa nuque. Non, elle ne se réveillerait plus jamais seule. Il en était hors de question. Ce serait toujours à mes côtés et rien d’autre. Elle n’aura même pas un amant parce que sinon je le tue et je la séquestre chez moi. Ouais, j’allais la séquestrer pour ne plus qu’elle s’échappe… Bon ok, j’arrête mon délire. Je caressais sa joue doucement et je lui souris alors tendrement.
« Non, Mad’, tu ne te réveilleras plus jamais seule. Je serais toujours à tes côtés. Tous les matins, jusqu’à c que nos cœurs s’arrête de battre. Je te le promets mon amour. »
Commentaires
- Tazouza
22/05/2011 à 12:54:36
Oh yeah o/