Note de la fic : 
Publié le 19/08/2013 à 01:10:42 par Globax
Voici un nouveau chapitre de L'Autre Monde, je ne sais pas s'il y en aura un nouveau demain, donc profitez bien. Bonne lecture.
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Sultano se propulsa en arrière d’un bond, regardant avec stupéfaction Steit qui gisait au sol, une dague lui sortant du ventre.
« Bordel, qu’es ce qu’il c’est passé !? » Se demanda t-il, les yeux écarquillés.
Une détonation avait retenti et… il s’était effondré… transpercé…
Se retournant, Sultano put constater que le fils du Duc n’était plus à sa place. Il avait peut être jeté sa dague pour faire diversion et profité de ce moment pour disparaitre… Non… d’où proviendrait se bruit sourd alors ?
Tout en se posant ces questions il parvint enfin à le repérer, au fin fond de l’arène.
« Comment à t-il fait pour se retrouver aussi loin ??!»
Avant même de pouvoir y répondre, le même son démesuré retentit une seconde fois. La poussière décolla à nouveau, sous le dégagement d’air, recouvrant ainsi la totalité du champ de bataille en quelques secondes.
Se surprenant entrain de se boucher les oreilles, pour protéger ses tympans, Sultano se reprit et saisi précipitamment sa guitare. D’un coup sec, les cordes se mirent à vibrer, provoquant une rafale de lames d’air qui fendirent le nuage de poussière et éparpillèrent le sable aux quatre coins de l’arène.
La vue dégagée, il put constater avec horreur que son ennemi s’était à nouveau volatilisé… pire encore… la dague n’était plus sur le cadavre...
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Maxime s’arrêta, en prenant appui sur un des murs et se permit un court moment de pause.
« Un de moins. » pensa t-il en passant la dague ensanglanté dans sa main droite.
Mais son repos fut de courte durée, car interrompu par une fine et puissante bourrasque, qui trancha le sable en suspension, dévoilant ainsi la totalité du terrain.
Soupirant, il se prépara rapidement pour sa nouvelle attaque. Il savait que, s’il voulait conserver l’effet de surprise, il lui fallait garder le rythme et éviter de se faire repérer.
Se positionnant en direction de son ennemi, il posa un pied sur la paroi et se pencha froidement en avant.
D’un bond fulgurant, d’une poussée surhumaine, il s’arracha au mur et fusa dans les airs. Une formidable détonation retenti tandis qu’il perçait le mur du son.
Parvenant en une fraction de seconde au niveau de son adversaire, il brandit sa lame étincelante en se fendant… portant un coup mortel….
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« Merde, merde, merde il a encore disparu…. Et il a reprit son arme en plus ! Ou es-ce qu’il est passé ?!
…..
…….
La ! »
Sultano eu à peine le temps de repérer son adversaire qu’un bruit phénoménale l’assourdit de nouveau. D’un réflexe, il se laissa chuter à terre, ébloui par le reflet du soleil.
Une lame froide siffla à ses oreilles. Courant sur sa joue, elle laissa derrière elle une longue trainée rouge.
Maxime, surprit de l’esquive, tenta de s’arrêter, mais glissa sur le sol.
A cause de son surplus d’élan, il manqua de s’étaler dans la poussière. Mais se servant brillamment de sa main pour prendre appui sur le sable, il parvint à se propulser dans les airs d’une détente formidable. Effectuant un demi-tour au dessus de l’arène, il retomba sur ses deux pieds, face à son ennemi.
Sultano se releva d’un bond. Prenant rapidement son instrument, il en frotta les cordes. L’air vibra et un souffle concentré en fusa, tranchant le sol sur son passage.
Maxime se jeta sur le coté, esquivant de peut ce souffle meurtrier. Il se reçut d’une roulade et fit de nouveau face attendant une nouvelle attaque qui ne manqua pas d’arriver.
Une rafale de projectiles invisibles qui transpercèrent l’air. Fusant de toutes parts, ils laminèrent le sol, fendirent les cieux et soulevèrent d’importants volutes de poussières.
Le rugissement strident se répandait en tous points de l’arène, cherchant une cible à mutiler, cherchant quelqu’un à transpercer… mais en vain.
Des fantastiques bruits sourds surgissaient de tous cotés. Maxime semblait être partout, et nulle part à la fois. Se propulsant sur tous les appuis qu’il pouvait trouver, que se soit mur, rocher ou même la plus petite pierre, il devenait par sa rapidité, aussi imperceptible que les monstrueuses lames venteuses.
Les spectateurs, effrayés par un tel déferlement de force et de vitesse, ne dirent pas mots. D’ailleurs même s’ils s’y étaient essayés le son se serait inévitablement perdu dans un tel vacarme.
Soudain, une gigantesque bourrasque sortit d’un nuage de sable, contraignant le fils du Duc à se propulser dans les airs. Profitant de ses cinquante mètres de hauteurs, il s’assura que Marine n’avait rien. Celle-ci le regardait d’un air inquiet.
« Ne t’en fait pas, pensa t-il, le combat se termine maintenant ! »
Arrivant au plus haut point, il saisi sa dague. Un geste sec et puissant l’envoya fuser en direction de son ennemi. Accompagnée par une détonation titanesque, l’éclat d’argent fendit les cieux en deux, tel un châtiment divin. L’éclair foudroyant traversa l’espace en une fraction de seconde et s’abattit fatalement sur sa cible.
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Sultano s’acharnait sur les cordes de sa guitare.
« Mais ce n’est pas possible, il parvient à esquiver toutes mes attaques !! C’est à peine si j’arrive à le suivre des yeux ! »
Décidant de changer de méthode, le guitariste envoya une rapide lame d’air qui souleva un nuage de poussière. Nuage de poussière qui camouflait une seconde lame, la plus destructrice jusqu’ici.
Un souffle gigantesque fusa dans la direction du nuage, avalant par sa masse et sa vitesse des quantités énormes de sable. Le déferlement de puissance transperça la nuée de poussière et manqua de pulvériser son adversaire.
Celui-ci pour esquiver, fut contraint de se projeter dans les airs et emporté par la puissance de sa poussée, il parvint rapidement jusqu’à des hauteurs inimaginables.
De là haut, il était vulnérable. Mais, à la grande surprise de Sultano, il sembla faire un geste. Geste suivi d’une énorme détonation.
« NON !! »
Sultano fut cloué au sol.
La dague avait littéralement explosé sa guitare avant de venir se ficher dans sa jambe. La blessure était présente des deux cotés et saignait à flots.
Se tordant de douleur, il eut tout de même le réflexe de décrocher une corde de sa guitare. Tout en créant un nuage de sable, pour se cacher de la vue de son adversaire, il parvint à se calmer.
Il n’avait pas encore perdu…
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Maxime atterri sur le sol dans un dégagement de poussière. Sa dague avait touché sa cible, mais pas au bon endroit… Il se retrouvait à présent sans armes, tout comme son adversaire qui était en plus blessé fatalement. Un certain avantage lui appartenait donc toujours.
Plissant les yeux, il essayait de voir à travers la poussière, sans résultat. De toute manière, plus le temps passerait, plus son ennemi perdrait de son sang et donc faiblirait.
Décidant d’attendre, il resta tout de même sur ses gardes…
Soudain un cri strident retentit…
« Merde ! Marine ! »
Courant en direction du son, il tomba nez à nez avec Sultano.
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Sultano se propulsa en arrière d’un bond, regardant avec stupéfaction Steit qui gisait au sol, une dague lui sortant du ventre.
« Bordel, qu’es ce qu’il c’est passé !? » Se demanda t-il, les yeux écarquillés.
Une détonation avait retenti et… il s’était effondré… transpercé…
Se retournant, Sultano put constater que le fils du Duc n’était plus à sa place. Il avait peut être jeté sa dague pour faire diversion et profité de ce moment pour disparaitre… Non… d’où proviendrait se bruit sourd alors ?
Tout en se posant ces questions il parvint enfin à le repérer, au fin fond de l’arène.
« Comment à t-il fait pour se retrouver aussi loin ??!
»Avant même de pouvoir y répondre, le même son démesuré retentit une seconde fois. La poussière décolla à nouveau, sous le dégagement d’air, recouvrant ainsi la totalité du champ de bataille en quelques secondes.
Se surprenant entrain de se boucher les oreilles, pour protéger ses tympans, Sultano se reprit et saisi précipitamment sa guitare. D’un coup sec, les cordes se mirent à vibrer, provoquant une rafale de lames d’air qui fendirent le nuage de poussière et éparpillèrent le sable aux quatre coins de l’arène.
La vue dégagée, il put constater avec horreur que son ennemi s’était à nouveau volatilisé… pire encore… la dague n’était plus sur le cadavre...
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Maxime s’arrêta, en prenant appui sur un des murs et se permit un court moment de pause.
« Un de moins. » pensa t-il en passant la dague ensanglanté dans sa main droite.
Mais son repos fut de courte durée, car interrompu par une fine et puissante bourrasque, qui trancha le sable en suspension, dévoilant ainsi la totalité du terrain.
Soupirant, il se prépara rapidement pour sa nouvelle attaque. Il savait que, s’il voulait conserver l’effet de surprise, il lui fallait garder le rythme et éviter de se faire repérer.
Se positionnant en direction de son ennemi, il posa un pied sur la paroi et se pencha froidement en avant.
D’un bond fulgurant, d’une poussée surhumaine, il s’arracha au mur et fusa dans les airs. Une formidable détonation retenti tandis qu’il perçait le mur du son.
Parvenant en une fraction de seconde au niveau de son adversaire, il brandit sa lame étincelante en se fendant… portant un coup mortel….
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« Merde, merde, merde il a encore disparu…. Et il a reprit son arme en plus ! Ou es-ce qu’il est passé ?!
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…….
La ! »
Sultano eu à peine le temps de repérer son adversaire qu’un bruit phénoménale l’assourdit de nouveau. D’un réflexe, il se laissa chuter à terre, ébloui par le reflet du soleil.
Une lame froide siffla à ses oreilles. Courant sur sa joue, elle laissa derrière elle une longue trainée rouge.
Maxime, surprit de l’esquive, tenta de s’arrêter, mais glissa sur le sol.
A cause de son surplus d’élan, il manqua de s’étaler dans la poussière. Mais se servant brillamment de sa main pour prendre appui sur le sable, il parvint à se propulser dans les airs d’une détente formidable. Effectuant un demi-tour au dessus de l’arène, il retomba sur ses deux pieds, face à son ennemi.
Sultano se releva d’un bond. Prenant rapidement son instrument, il en frotta les cordes. L’air vibra et un souffle concentré en fusa, tranchant le sol sur son passage.
Maxime se jeta sur le coté, esquivant de peut ce souffle meurtrier. Il se reçut d’une roulade et fit de nouveau face attendant une nouvelle attaque qui ne manqua pas d’arriver.
Une rafale de projectiles invisibles qui transpercèrent l’air. Fusant de toutes parts, ils laminèrent le sol, fendirent les cieux et soulevèrent d’importants volutes de poussières.
Le rugissement strident se répandait en tous points de l’arène, cherchant une cible à mutiler, cherchant quelqu’un à transpercer… mais en vain.
Des fantastiques bruits sourds surgissaient de tous cotés. Maxime semblait être partout, et nulle part à la fois. Se propulsant sur tous les appuis qu’il pouvait trouver, que se soit mur, rocher ou même la plus petite pierre, il devenait par sa rapidité, aussi imperceptible que les monstrueuses lames venteuses.
Les spectateurs, effrayés par un tel déferlement de force et de vitesse, ne dirent pas mots. D’ailleurs même s’ils s’y étaient essayés le son se serait inévitablement perdu dans un tel vacarme.
Soudain, une gigantesque bourrasque sortit d’un nuage de sable, contraignant le fils du Duc à se propulser dans les airs. Profitant de ses cinquante mètres de hauteurs, il s’assura que Marine n’avait rien. Celle-ci le regardait d’un air inquiet.
« Ne t’en fait pas, pensa t-il, le combat se termine maintenant ! »
Arrivant au plus haut point, il saisi sa dague. Un geste sec et puissant l’envoya fuser en direction de son ennemi. Accompagnée par une détonation titanesque, l’éclat d’argent fendit les cieux en deux, tel un châtiment divin. L’éclair foudroyant traversa l’espace en une fraction de seconde et s’abattit fatalement sur sa cible.
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Sultano s’acharnait sur les cordes de sa guitare.
« Mais ce n’est pas possible, il parvient à esquiver toutes mes attaques !! C’est à peine si j’arrive à le suivre des yeux !
»Décidant de changer de méthode, le guitariste envoya une rapide lame d’air qui souleva un nuage de poussière. Nuage de poussière qui camouflait une seconde lame, la plus destructrice jusqu’ici.
Un souffle gigantesque fusa dans la direction du nuage, avalant par sa masse et sa vitesse des quantités énormes de sable. Le déferlement de puissance transperça la nuée de poussière et manqua de pulvériser son adversaire.
Celui-ci pour esquiver, fut contraint de se projeter dans les airs et emporté par la puissance de sa poussée, il parvint rapidement jusqu’à des hauteurs inimaginables.
De là haut, il était vulnérable. Mais, à la grande surprise de Sultano, il sembla faire un geste. Geste suivi d’une énorme détonation.
« NON !! »
Sultano fut cloué au sol.
La dague avait littéralement explosé sa guitare avant de venir se ficher dans sa jambe. La blessure était présente des deux cotés et saignait à flots.
Se tordant de douleur, il eut tout de même le réflexe de décrocher une corde de sa guitare. Tout en créant un nuage de sable, pour se cacher de la vue de son adversaire, il parvint à se calmer.
Il n’avait pas encore perdu…
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Maxime atterri sur le sol dans un dégagement de poussière. Sa dague avait touché sa cible, mais pas au bon endroit… Il se retrouvait à présent sans armes, tout comme son adversaire qui était en plus blessé fatalement. Un certain avantage lui appartenait donc toujours.
Plissant les yeux, il essayait de voir à travers la poussière, sans résultat. De toute manière, plus le temps passerait, plus son ennemi perdrait de son sang et donc faiblirait.
Décidant d’attendre, il resta tout de même sur ses gardes…
Soudain un cri strident retentit…
« Merde ! Marine ! »
Courant en direction du son, il tomba nez à nez avec Sultano.
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