Note de la fic :
Publié le 19/08/2013 à 01:10:42 par Globax
Courant en direction du son, il tomba nez à nez avec Sultano :
– Plus un geste ! Tonna ce dernier.
Maxime, choqué, fut contraint d’obéir à son adversaire alors que celui-ci se trouvait à seulement quelques mètres de lui.
Malgré l’énorme plaie suintante dans sa jambe, il parvenait encore à tenir debout et saisissait Marine d’une main pour l’empêcher de s’échapper. Tandis que de l’autre, il lui plaquait la dague contre sa gorge, caressant doucement son cou du fil de la lame. D’un léger frottement, une goute de sang perla, chuta et partit se noyer dans le sable sec de l’arène.
Exposant son visage d’une pâleur lunaire, Sultano s’adressa de nouveau à Maxime, d’une voix faible.
– Si tu tente quoi que ce soit… tu seras seul à finir ce combat… alors….
Sultano s’interrompit, et manqua de perdre connaissance. S’il était tombé en arrière, sa lame aurait glissée le long de du cou de son otage tranchant ainsi peau, veines, artères…
Maxime se tendit, il lui fallait faire quelque chose, et vite… Mais quoi ? S’il intervenait se serait pire… sans aucuns doutes…
– Maintenant, lève…. Lève lentement le bras…
« Non, pensa Maxime, cette enflure veut me contraindre à abandonner ! »
Marine le fixait d’un air désolé, d’un regard emplit de peur.
« Ce n’est pas grave… Je ne t’en veux pas… »
Hésitant, il leva lentement le bras, pointant les cieux de sa main. Stupéfiant ainsi le public par ce retournement de situation. Un silence commença à peser. Les spectateurs, surpris, ne laissaient plus un bruit s’échapper des gradins.
Finalement, une voix surgissant de nulle part, se décida à le rompre.
– Sultano remporte la rencontre par abandon, il accédera donc au deuxième tour ! Les combattants sont à présents priés de faire place !
Cette déclaration fut suivit d’un fantastique mouvement de foule. Les spectateurs se levèrent tous, comme un seul homme, afin de saluer, dans un tonnerre d’applaudissement le combat qui touchait à sa fin.
Desserrant son étreinte, Sultano laissa tomber la dague, rouge de sang, à terre. Libérant ainsi Marine, qui partit se réfugier dans les bras de Maxime.
D’une voix lointaine et absente, il parvint à articuler quelques mots à ses adversaires.
– J’ai gagné… Sales… racl’s…
Tournant de l’œil, il s’effondra en percutant le sol dans un ultime dégagement de poussière.
– Là… C’est fini, rassura Maxime tout en caressant la douce chevelure de sa partenaire.
Tremblante, celle-ci se dégagea de l’étreinte et effectua lentement quelques pas, en direction du corps à terre. Hésitante, elle le regarda un moment, avant de se décider enfin à le recouvrir d’un bouclier brillant.
Restant la, le regard vide, elle fut rejointe par son protecteur dans les bras duquel elle se replongea, frissonnante.
– Il ne méritait pas de mourir ici…se justifia t’elle.
– Non… Il ne le méritait pas.
– ….
– Allons-y.
-------------------------------------------------------------------------------------------
Un bruit de cliquetis retentit dans la pièce, une clé tourna dans la serrure.
La porte métallique s’ouvrit lentement en grinçant, laissant ainsi apparaitre les deux survivants du combat. Ils rentrèrent dans la salle, sous les regards de leurs compagnons, tandis que l’ouverture se refermait derrière eux dans un claquement sourd.
Le silence persistant voulu tout dire. Le soulagement de se retrouver mais également le désespoir de la situation, la peur d’être appeler, la peur de ne pas revenir. De rester… là bas… au milieu de l’arène.
Traversant la pièce, Maxime vint s’asseoir avec Marine contre le mur. Leurs doigts s’entrecroisèrent, tandis qu’Eniarel prenait la parole.
– Il faut faire quelque chose… nous sommes à peine à notre deuxième combat que déjà notre moral est au plus bas. Sans compter la crainte de ne pas survivre. On peut dire qu’on a eu de la chance jusqu’ici, personne n’est encore mort. Alors je propose que l’on essaye de s’enfuir avant que l’un d’entre nous ne le devienne.
La Horde semblait méditer ces propos… Un nouveau vide se créa, jusqu’à ce que Robert se décide à répondre d’un ton sérieux.
– Je crois que nous somme tous d’accord avec ça, mais la question est : De quel manière s’enfuir ? Il n’y à la que quelques gardes derrière la porte, mais celle-ci est blindée. Même en imaginant qu’on la perce, n’y aurait-il pas des dizaines de soldats, prêt à tout pour nous arrêter, en ville ?
Maxime secoua doucement la tête avant d’ajouter sa voix à la discutions :
– Pas seulement en ville. N’avez vous donc pas vus l’ampleur de ce tournois ? Le Roi lui-même y est présent c’est pour vous dire. Des centaines d’hommes en armes assurent une parfaite sécurité. Sans compter les soldats noirs du Duc et la légendaire Garde Imperial. Non, nous ne pourrons pas nous enfuir si ce n’est discrètement. Il nous faut donc une aide extérieure…
L’ambiance commençait à devenir dramatique, tous semblaient résignés, comme l’avait fait remarquer Eniarel. Chacun se renfermait dans ses pensées, pour mieux se préparer au combat qu’il aurait à mener. Ce fut Eniarel qui décida d’apporter une once d’espoir :
– Ecoutez, nous avons une quête à accomplir, et se n’est pas en restant ici, à nous faire tuer un par un, que nous allons y parvenir.
De plus, même en imaginant un seul instant que l’un de nous gagne tous les combats, et devienne l’homme le plus puissant du royaume, pensez vous que le Duc nous laisserait partir ? Pensez vous qu’il tiendrait parole ? Il n’hésitera pas à nous tuer, à tuer les quelques survivants restants pour assurer sa sécurité.
Il laissa un silence, comme pour bien faire comprendre cette évidence. S’enfuir, ou mourir… rien d’autre. Puis, se levant, il reprit d’une voix vive.
– Non ! Vous l’avez compris, il nous faut nous échapper, et ce, le plus rapidement possible. Chaque combat ne fera que nous affaiblir un peu plus. Et comme nous n’avons personne pour nous aider, je propose que l’on tente tout de même de s’enfuir de force, le plus rapidement possible…
Maxime ne se contenait plus. D’une voix tranchante, il coupa Eniarel dans son discours.
– Ne va pas plus loin, si on essaye de s’échapper de cette manière, il y aura des morts. Et pas seulement dans le camp adverse ! Je ne sais pas encore comment nous échapper, mais il faut qu’on puisse le faire sans se retrouver immédiatement après avec toute la garde armée, d’une des plus grandes villes du royaume, au trousse.
– Wesh mai vazy tageule ! S’emporta Hamed. Eniarel lui o moin il a un plan tavu ! en plus ta perdu ton comba donc tu la ferme fil de pute !
– Klèr ta tro raison Hamed !!! S’écria Abdel. Faut lui pété sa race, genre il ouvre sa grande geule comme sa alor qu’il cé fé niquer !! Et a cause de cette sale Tepu de merde !! vazy moi j’dit on leur défonce leur race d’enculés et on se casse sans eu !!! Sans ce sale enculé et cette putain de fille de pute !! (">
Maxime se leva, lentement, jetant un regard emplit de haine, au wesh qui venaient d’oser prononcer ces paroles. Marine le regardait d’un air triste et essaya de lui attraper le bras dans un élan de désespoir. Il le repoussa, et avança en serrant le poing.
– Toi, si tu ne retire pas immédiatement tes propos, je t’explose ta sale tête de soumis contre le mur !
Abdel, qui avait vu le combat, regarda derrière lui. C’est bon il n’était pas seul. Se retournant de nouveau il fit face.
– Vazy genre tu va méclater. T qu’un sale fils de pute qu’a pas réussi son combat ! Et sa à cause de la salope derrière toi que…
Une détonation phénoménale surgit dans la salle. Les murs vibrèrent, les dalles se craquelèrent, des pierres chutèrent. Abdel s’écrasa contre la paroi dans un dégagement de plâtre. Maxime le prit par le cou, le souleva et le plaqua de nouveau.
Les pieds du wesh pendaient mollement dans le vide tandis qu’il essayait désespérément de se dégager pour reprendre un peu d’air. Son visage commençait déjà à virer au bleu. Il s’agitait de moins en moins. Quand soudain, il disparut inexplicablement, ne laissant que le vide entre la main et la paroi.
Maxime poussa un cri de rage.
– BORDEL !!!! Ne te fous pas de moi, enfoiré !!!!
Une nouvelle détonation assourdissante retentit. Le mur éclata un peut plus. Puis une troisième explosion, une quatrième, cinquième ! La puissance des coups était hallucinante, le mur se creusait chaque fois un peut plus.
Un nuage blanc se forma, cachant la vue, tandis que les explosions se succédaient, projetant des débris dans toute la pièce.
Finalement, Maxime se calma. La nuée de plâtre retomba, révélant Abdel, dégoulinant de sang, toujours collé à la paroi.
– Pfft…
Ecartant la main, il laissa Abdel chuter, et s’écraser mollement sur le sol de poudre blanche. Puis, se retournant, il tourna le dos à sa victime, et repartit de l’autre coté de la pièce, sous le regard consterné des membres de la Horde.
Marine courut jusqu’au corps ensanglanté et se laissa tomber à coté. Pendant qu’elle le soignait, une nouvelle voix sortit de nulle part.
– Les combats vont reprendre ! Pour commencer, voici à nouveau deux membres de la grande Horde ! J’ai le grand honneur de vous présenter le grand Robert et le très puissant Rodolphe !!!
....
– Plus un geste ! Tonna ce dernier.
Maxime, choqué, fut contraint d’obéir à son adversaire alors que celui-ci se trouvait à seulement quelques mètres de lui.
Malgré l’énorme plaie suintante dans sa jambe, il parvenait encore à tenir debout et saisissait Marine d’une main pour l’empêcher de s’échapper. Tandis que de l’autre, il lui plaquait la dague contre sa gorge, caressant doucement son cou du fil de la lame. D’un léger frottement, une goute de sang perla, chuta et partit se noyer dans le sable sec de l’arène.
Exposant son visage d’une pâleur lunaire, Sultano s’adressa de nouveau à Maxime, d’une voix faible.
– Si tu tente quoi que ce soit… tu seras seul à finir ce combat… alors….
Sultano s’interrompit, et manqua de perdre connaissance. S’il était tombé en arrière, sa lame aurait glissée le long de du cou de son otage tranchant ainsi peau, veines, artères…
Maxime se tendit, il lui fallait faire quelque chose, et vite… Mais quoi ? S’il intervenait se serait pire… sans aucuns doutes…
– Maintenant, lève…. Lève lentement le bras…
« Non, pensa Maxime, cette enflure veut me contraindre à abandonner ! »
Marine le fixait d’un air désolé, d’un regard emplit de peur.
« Ce n’est pas grave… Je ne t’en veux pas… »
Hésitant, il leva lentement le bras, pointant les cieux de sa main. Stupéfiant ainsi le public par ce retournement de situation. Un silence commença à peser. Les spectateurs, surpris, ne laissaient plus un bruit s’échapper des gradins.
Finalement, une voix surgissant de nulle part, se décida à le rompre.
– Sultano remporte la rencontre par abandon, il accédera donc au deuxième tour ! Les combattants sont à présents priés de faire place !
Cette déclaration fut suivit d’un fantastique mouvement de foule. Les spectateurs se levèrent tous, comme un seul homme, afin de saluer, dans un tonnerre d’applaudissement le combat qui touchait à sa fin.
Desserrant son étreinte, Sultano laissa tomber la dague, rouge de sang, à terre. Libérant ainsi Marine, qui partit se réfugier dans les bras de Maxime.
D’une voix lointaine et absente, il parvint à articuler quelques mots à ses adversaires.
– J’ai gagné… Sales… racl’s…
Tournant de l’œil, il s’effondra en percutant le sol dans un ultime dégagement de poussière.
– Là… C’est fini, rassura Maxime tout en caressant la douce chevelure de sa partenaire.
Tremblante, celle-ci se dégagea de l’étreinte et effectua lentement quelques pas, en direction du corps à terre. Hésitante, elle le regarda un moment, avant de se décider enfin à le recouvrir d’un bouclier brillant.
Restant la, le regard vide, elle fut rejointe par son protecteur dans les bras duquel elle se replongea, frissonnante.
– Il ne méritait pas de mourir ici…se justifia t’elle.
– Non… Il ne le méritait pas.
– ….
– Allons-y.
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Un bruit de cliquetis retentit dans la pièce, une clé tourna dans la serrure.
La porte métallique s’ouvrit lentement en grinçant, laissant ainsi apparaitre les deux survivants du combat. Ils rentrèrent dans la salle, sous les regards de leurs compagnons, tandis que l’ouverture se refermait derrière eux dans un claquement sourd.
Le silence persistant voulu tout dire. Le soulagement de se retrouver mais également le désespoir de la situation, la peur d’être appeler, la peur de ne pas revenir. De rester… là bas… au milieu de l’arène.
Traversant la pièce, Maxime vint s’asseoir avec Marine contre le mur. Leurs doigts s’entrecroisèrent, tandis qu’Eniarel prenait la parole.
– Il faut faire quelque chose… nous sommes à peine à notre deuxième combat que déjà notre moral est au plus bas. Sans compter la crainte de ne pas survivre. On peut dire qu’on a eu de la chance jusqu’ici, personne n’est encore mort. Alors je propose que l’on essaye de s’enfuir avant que l’un d’entre nous ne le devienne.
La Horde semblait méditer ces propos… Un nouveau vide se créa, jusqu’à ce que Robert se décide à répondre d’un ton sérieux.
– Je crois que nous somme tous d’accord avec ça, mais la question est : De quel manière s’enfuir ? Il n’y à la que quelques gardes derrière la porte, mais celle-ci est blindée. Même en imaginant qu’on la perce, n’y aurait-il pas des dizaines de soldats, prêt à tout pour nous arrêter, en ville ?
Maxime secoua doucement la tête avant d’ajouter sa voix à la discutions :
– Pas seulement en ville. N’avez vous donc pas vus l’ampleur de ce tournois ? Le Roi lui-même y est présent c’est pour vous dire. Des centaines d’hommes en armes assurent une parfaite sécurité. Sans compter les soldats noirs du Duc et la légendaire Garde Imperial. Non, nous ne pourrons pas nous enfuir si ce n’est discrètement. Il nous faut donc une aide extérieure…
L’ambiance commençait à devenir dramatique, tous semblaient résignés, comme l’avait fait remarquer Eniarel. Chacun se renfermait dans ses pensées, pour mieux se préparer au combat qu’il aurait à mener. Ce fut Eniarel qui décida d’apporter une once d’espoir :
– Ecoutez, nous avons une quête à accomplir, et se n’est pas en restant ici, à nous faire tuer un par un, que nous allons y parvenir.
De plus, même en imaginant un seul instant que l’un de nous gagne tous les combats, et devienne l’homme le plus puissant du royaume, pensez vous que le Duc nous laisserait partir ? Pensez vous qu’il tiendrait parole ? Il n’hésitera pas à nous tuer, à tuer les quelques survivants restants pour assurer sa sécurité.
Il laissa un silence, comme pour bien faire comprendre cette évidence. S’enfuir, ou mourir… rien d’autre. Puis, se levant, il reprit d’une voix vive.
– Non ! Vous l’avez compris, il nous faut nous échapper, et ce, le plus rapidement possible. Chaque combat ne fera que nous affaiblir un peu plus. Et comme nous n’avons personne pour nous aider, je propose que l’on tente tout de même de s’enfuir de force, le plus rapidement possible…
Maxime ne se contenait plus. D’une voix tranchante, il coupa Eniarel dans son discours.
– Ne va pas plus loin, si on essaye de s’échapper de cette manière, il y aura des morts. Et pas seulement dans le camp adverse ! Je ne sais pas encore comment nous échapper, mais il faut qu’on puisse le faire sans se retrouver immédiatement après avec toute la garde armée, d’une des plus grandes villes du royaume, au trousse.
– Wesh mai vazy tageule ! S’emporta Hamed. Eniarel lui o moin il a un plan tavu ! en plus ta perdu ton comba donc tu la ferme fil de pute !
– Klèr ta tro raison Hamed !!! S’écria Abdel. Faut lui pété sa race, genre il ouvre sa grande geule comme sa alor qu’il cé fé niquer !! Et a cause de cette sale Tepu de merde !! vazy moi j’dit on leur défonce leur race d’enculés et on se casse sans eu !!! Sans ce sale enculé et cette putain de fille de pute !! (">
Maxime se leva, lentement, jetant un regard emplit de haine, au wesh qui venaient d’oser prononcer ces paroles. Marine le regardait d’un air triste et essaya de lui attraper le bras dans un élan de désespoir. Il le repoussa, et avança en serrant le poing.
– Toi, si tu ne retire pas immédiatement tes propos, je t’explose ta sale tête de soumis contre le mur !
Abdel, qui avait vu le combat, regarda derrière lui. C’est bon il n’était pas seul. Se retournant de nouveau il fit face.
– Vazy genre tu va méclater. T qu’un sale fils de pute qu’a pas réussi son combat ! Et sa à cause de la salope derrière toi que…
Une détonation phénoménale surgit dans la salle. Les murs vibrèrent, les dalles se craquelèrent, des pierres chutèrent. Abdel s’écrasa contre la paroi dans un dégagement de plâtre. Maxime le prit par le cou, le souleva et le plaqua de nouveau.
Les pieds du wesh pendaient mollement dans le vide tandis qu’il essayait désespérément de se dégager pour reprendre un peu d’air. Son visage commençait déjà à virer au bleu. Il s’agitait de moins en moins. Quand soudain, il disparut inexplicablement, ne laissant que le vide entre la main et la paroi.
Maxime poussa un cri de rage.
– BORDEL !!!! Ne te fous pas de moi, enfoiré !!!!
Une nouvelle détonation assourdissante retentit. Le mur éclata un peut plus. Puis une troisième explosion, une quatrième, cinquième ! La puissance des coups était hallucinante, le mur se creusait chaque fois un peut plus.
Un nuage blanc se forma, cachant la vue, tandis que les explosions se succédaient, projetant des débris dans toute la pièce.
Finalement, Maxime se calma. La nuée de plâtre retomba, révélant Abdel, dégoulinant de sang, toujours collé à la paroi.
– Pfft…
Ecartant la main, il laissa Abdel chuter, et s’écraser mollement sur le sol de poudre blanche. Puis, se retournant, il tourna le dos à sa victime, et repartit de l’autre coté de la pièce, sous le regard consterné des membres de la Horde.
Marine courut jusqu’au corps ensanglanté et se laissa tomber à coté. Pendant qu’elle le soignait, une nouvelle voix sortit de nulle part.
– Les combats vont reprendre ! Pour commencer, voici à nouveau deux membres de la grande Horde ! J’ai le grand honneur de vous présenter le grand Robert et le très puissant Rodolphe !!!
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