Note de la fic :
Publié le 19/08/2013 à 01:10:42 par Globax
Voila, donc après moultes batailles acharnées, j'ai réussi à rétablir une connexion stable à internet. ( Bien que faible à cause de putain d'anti virus et de pare feu mal réglés ) Triomphant du célèbre traitement de texte open office, j'ai finalement pus vous concocter la suite de ma magnifique histoire.
Bonne lecture à vous !
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– Les combats vont reprendre ! Pour commencer, voici à nouveau deux membres de la grande Horde ! J’ai le l'immense honneur de vous présenter le grand Robert et le très puissant Rodolphe !!!
....
La figure du pédobear se fendit d'un large sourire. Il se dirigea vers la porte, qui venait de s'ouvrir, tout en parlant d'un ton joyeux, contrastant étrangement avec la gravité de la situation.
- Et bien mon petit, je crois que c'est à nous cette fois. A tout à l'heure les enfants, ne faites pas de bêtises durant mon absence et vous aurez le droit de gouter à ma sucette géante !
L'assistance resta sans voix, n'ayant pas la moindre envie de rigoler... Surtout si l'on savait que ce n'était pas une blague...
Robert, mine de rien, se pencha et prit carrément Rodolphe sur son épaule droite. Ils franchirent ainsi le passage sous le regard étonné des gardes, qui partirent d'un grand éclat de rire. S'éloignant, ils disparurent au coin du couloir, laissant la porte blindée se refermer lentement derrière eux dans un grand claquement métallique sinistre.
Une seule question résonnait à présent dans toutes les têtes : Allaient-ils revenir ?
.....
La foule hurlait, criait comme à chaque début de combats. Elle rugissait de ce même bruit titanesque qui résonnait, rebondissait sur les parois, se glissait entre les fissures, s'installait de partout pour nous faire paraître ridicule face à sa puissance. La puissance de tout un peuple réuni en un seul endroit, de tout un peuple qui hurlait d'une seul voix.
Robert qui contemplait l'énormité du moment, daigna enfin poser l'autiste sur le sable. S'écrasant au sol, ce dernier se releva avant de se mettre à marteler le pédobear de coups de poings ridicules. Ridicules à tel points qui n'eurent aucun autres effets notables que d'énormes rebonds sur sa graisse. Chatouilleux, l'énorme bonhomme en eu rapidement marre. S'élançant, il parvint à sauter dans les airs en baissant du même coup son pantalon. Il retomba lourdement, les fesses en premières, en plein sur la tête de Rodolphe.
Touchant terre, il grimaça, avant d'afficher un sourire béat. Aux anges, il se leva, laissant ainsi découvrir un abominable spectacle ; deux jambes sortaient à peine de son fantastique derrière. Ces deux petites jambes qui gigotaient dans tous les sens, c'était tout ce qu'il restait de l'autiste.
Voyant cela, plus un bruit ne sortit des gradins. Des personnes s'évanouirent, d'autres vomirent sur le crane de leurs voisins du dessous tandis qu'une voix retentissait, dominant les bruits écœurants qui retentissaient de toutes parts.
- Voici maintenant venir d'un autre coté, des personnes que vous connaissez tous pour leurs exploits de chasseurs de primes. Ils viennent de nos contrées. De l'extrême ouest plus précisément ! Voilà le légendaire samouraï Naon, et sa disciple, la jeune Julia, fille du grand Duc d'Idrangar !!!
Quelques vivats fusèrent, mais peu. La foule étant toujours sous le choc de ce qui était en train de se passer de l'autre coté de l'Arène.
….
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Un samouraï en armure, accompagné d'une petite fille vêtu d'une tenue en cuire, posa son pied sur le sable chaud. Le premier semblait avoisiner les trente ans tandis que la petite devait en avoir seulement dix. Ils s'avancèrent tous deux sous un soleil de plomb, prenant leurs armes en main. Un sabre coréen et un long bâton métallique. Naon s'interrogea, et regarda autours de lui ce qu'il se passait. Finalement, il explosa en comprenant enfin pourquoi ils n'étaient pas salués.
- Mais gu'es ze gu'ils zont en train de faire zes con !?!
- Je ne sais pas, vous croyez que c'est du théâtre ?
- Ze n'est bas l'imbrezion qu'ils fazent zemblant
- C'est horrible !!
- Tu ne beut bas zimaginer à guel boint ! Il faudra faire très zattenzion de ne bas ze faire attraber !!!
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Quatre personnes arrivèrent sur le haut balcon, réservé habituellement aux organisateurs du tournois. Le duc, accompagné de trois gens de sa garde personnel, s'approcha lentement du héraut. Il l'interpella d'une voix grave :
- Vous là bas ! Ma personne est lasse de toute cette attente ! Sonnez dés à présent le début du combat ! C'est un ordre !
- Je regrette, commença l'annonciateur hésitant, mais par ordre du roi, je ne doit donner le départ qu'une fois tous les belligérants prêts. Or, la ils ne le sont visiblement pas...
- Justement, répondit-il d'une voix ténébreuse. Justement...
D'un geste de la main, les gardes entourèrent le héraut en sortant de long couteaux. Celui-ci pâlit soudainement et se mit à trembler. D'une voix paniqué, il parvint à balbutier quelques mots.
- D'a... d'accord... c... c'est d'accord...
- Bien ! Approuva le duc, maintenant, sonne donc le début de cette bataille !
L'homme se tourna vers l'arène, et laissa échapper un long rire gras. Le visage tordu en une mimique démoniaque.
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Robert fixait Julia d'un air ahuri... Elle était... elle était... sublime !!!! Ses petites mains, son doux visage... Et sa magnifique petite bouche en forme de cul de poule serait parfaite pour...
Ho ! Maurice en demandait encore ! Il était temps, ça devait faire au moins trois bonne heures, depuis la dernière fois !
Non mais franchement cette petite...
Robert saisi les deux jambes qui dépassaient de son énorme derrière et tira un grand coup. Rodolphe fut jeté au sol, recouvert de la tête aux pieds, d'une étrange matière marron. Une terrible odeur s'en dégageait, tandis qui essayait de reprendre son souffle entre deux vomissements.
Une voix surgit soudain du néant, de partout et de nulle part à la fois.
- Attention....
Un vent chaud traversait le terrain, soulevant le sable et la poussière, mais charriant également la terrible odeur jusqu'à l'autre bout de l'arène. Sur le coup, Naon posa un genoux au sol, et rendit lamentablement son déjeuner.
- Partez !!!
Robert laissa tomber au sol une lourde hache qu'il avait prit dans la salle d'entrainement, salle qui était également leur cellule. Il ne prit pas la peine de remettre son pantalon, pour ce qu'il avait à faire, ça ne lui serait d'aucunes utilités de toutes manières !
- Mon petit, dit-il d'une voix sournoise, je te laisse t'occuper du vieux, moi je vais me faire la petite... Ho oui ! je vais me la faire !!
Sans lui laisser le temps de répondre, il se précipita en direction de sa proie. Maurice ne pouvait plus attendre !
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Se relevant, Naon s'essuya d'un geste sec le coin de la bouche.
- Ze bais l'éxblozer zet enculé !!!
Julia reprit précipitamment son maitre en récitant une de ses nombreuses leçons.
- Attendez, vous êtes sous le coup de la colère, or, vous m'avez toujours appris qu'il ne fallait pas se laisser dominer par les sentiments ! Le mieux, c'est que je m'en occupe et que vous affrontiez l'autre adversaire. Qu'en pensez vous ?
- Oui... z'est brais gue z'est mieux gomme za ! Mais fait attenzion zurtout !! Regarde, il court à boiles dans notre diréczion !!
- J'y vais, restez sur vos gardes également !
Tenant fermement son bâton argenté, Julia attira l'énorme pédobear dans un coin de l'arène tandis que son maitre partait en direction de l'autiste, qui se relevait péniblement, une hache à la main. Concentrant toute son attention sur son ennemis, la petite fille distingua quelque chose de bizarre à mesure que son ennemi avançait en remuant sa graisse. Mais quel était donc cette chose ? A la place d'une fente comme la sienne, il y avait... un gigantesque tuyau qui sortait de son entre-jambe !!! Alors c'était à ça que ça ressemblait un garçons !?
Il fallait absolument qu'elle arrive à le toucher, au moins pour savoir à quoi ça sert !!
Elle s'arrêta, pour laisser le temps à Robert d'arriver. Mais il se passa soudain quelque chose d'étrange. Il n'y eu plus un pédobear, mais deux, puis quatre, huit.... Ils étaient la, partout à la fois, ils l'encerclait.... Et se jetèrent sur elle.
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Rodolphe parvint difficilement à se relever. La hache était tellement lourde !!! Pas moins de 2 kilos !!!
L'odeur était affreuse, mais il était persuadé que sa lui donnait un charme incontestable, déjà tout à l'heure il avait fait tomber le samouraï. Oui, il serait maintenant, Rodolphe le tombeur !
Mais il fut interrompu dans ses pensés en voyant Naon arriver vers lui, il était si imposant avec son armure, brillante, lumineuse, éblouissante... au moins autant qu'un paquet de pim's tout neuf !! Et grand comme une coccinelle !!!
Mais bien sur, ce n'était rien comparé à l'incommensurable grandeur de la puissance divine qui se dégageait de Rodolphe, depuis son pèlerinage dans la grotte ténébreuse.
Convaincu de cette affirmation, l'autiste ramena la hache derrière sa tête, manquant de tomber en arrière, et partit en courant vers son ennemis, tout en lançant son célèbre cri de beau gosse.
- YAAahAaaaAaaAAhAAaaAAaaa!!!
Bonne lecture à vous !
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– Les combats vont reprendre ! Pour commencer, voici à nouveau deux membres de la grande Horde ! J’ai le l'immense honneur de vous présenter le grand Robert et le très puissant Rodolphe !!!
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La figure du pédobear se fendit d'un large sourire. Il se dirigea vers la porte, qui venait de s'ouvrir, tout en parlant d'un ton joyeux, contrastant étrangement avec la gravité de la situation.
- Et bien mon petit, je crois que c'est à nous cette fois. A tout à l'heure les enfants, ne faites pas de bêtises durant mon absence et vous aurez le droit de gouter à ma sucette géante !
L'assistance resta sans voix, n'ayant pas la moindre envie de rigoler... Surtout si l'on savait que ce n'était pas une blague...
Robert, mine de rien, se pencha et prit carrément Rodolphe sur son épaule droite. Ils franchirent ainsi le passage sous le regard étonné des gardes, qui partirent d'un grand éclat de rire. S'éloignant, ils disparurent au coin du couloir, laissant la porte blindée se refermer lentement derrière eux dans un grand claquement métallique sinistre.
Une seule question résonnait à présent dans toutes les têtes : Allaient-ils revenir ?
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La foule hurlait, criait comme à chaque début de combats. Elle rugissait de ce même bruit titanesque qui résonnait, rebondissait sur les parois, se glissait entre les fissures, s'installait de partout pour nous faire paraître ridicule face à sa puissance. La puissance de tout un peuple réuni en un seul endroit, de tout un peuple qui hurlait d'une seul voix.
Robert qui contemplait l'énormité du moment, daigna enfin poser l'autiste sur le sable. S'écrasant au sol, ce dernier se releva avant de se mettre à marteler le pédobear de coups de poings ridicules. Ridicules à tel points qui n'eurent aucun autres effets notables que d'énormes rebonds sur sa graisse. Chatouilleux, l'énorme bonhomme en eu rapidement marre. S'élançant, il parvint à sauter dans les airs en baissant du même coup son pantalon. Il retomba lourdement, les fesses en premières, en plein sur la tête de Rodolphe.
Touchant terre, il grimaça, avant d'afficher un sourire béat. Aux anges, il se leva, laissant ainsi découvrir un abominable spectacle ; deux jambes sortaient à peine de son fantastique derrière. Ces deux petites jambes qui gigotaient dans tous les sens, c'était tout ce qu'il restait de l'autiste.
Voyant cela, plus un bruit ne sortit des gradins. Des personnes s'évanouirent, d'autres vomirent sur le crane de leurs voisins du dessous tandis qu'une voix retentissait, dominant les bruits écœurants qui retentissaient de toutes parts.
- Voici maintenant venir d'un autre coté, des personnes que vous connaissez tous pour leurs exploits de chasseurs de primes. Ils viennent de nos contrées. De l'extrême ouest plus précisément ! Voilà le légendaire samouraï Naon, et sa disciple, la jeune Julia, fille du grand Duc d'Idrangar !!!
Quelques vivats fusèrent, mais peu. La foule étant toujours sous le choc de ce qui était en train de se passer de l'autre coté de l'Arène.
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Un samouraï en armure, accompagné d'une petite fille vêtu d'une tenue en cuire, posa son pied sur le sable chaud. Le premier semblait avoisiner les trente ans tandis que la petite devait en avoir seulement dix. Ils s'avancèrent tous deux sous un soleil de plomb, prenant leurs armes en main. Un sabre coréen et un long bâton métallique. Naon s'interrogea, et regarda autours de lui ce qu'il se passait. Finalement, il explosa en comprenant enfin pourquoi ils n'étaient pas salués.
- Mais gu'es ze gu'ils zont en train de faire zes con !?!
- Je ne sais pas, vous croyez que c'est du théâtre ?
- Ze n'est bas l'imbrezion qu'ils fazent zemblant
- C'est horrible !!
- Tu ne beut bas zimaginer à guel boint ! Il faudra faire très zattenzion de ne bas ze faire attraber !!!
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Quatre personnes arrivèrent sur le haut balcon, réservé habituellement aux organisateurs du tournois. Le duc, accompagné de trois gens de sa garde personnel, s'approcha lentement du héraut. Il l'interpella d'une voix grave :
- Vous là bas ! Ma personne est lasse de toute cette attente ! Sonnez dés à présent le début du combat ! C'est un ordre !
- Je regrette, commença l'annonciateur hésitant, mais par ordre du roi, je ne doit donner le départ qu'une fois tous les belligérants prêts. Or, la ils ne le sont visiblement pas...
- Justement, répondit-il d'une voix ténébreuse. Justement...
D'un geste de la main, les gardes entourèrent le héraut en sortant de long couteaux. Celui-ci pâlit soudainement et se mit à trembler. D'une voix paniqué, il parvint à balbutier quelques mots.
- D'a... d'accord... c... c'est d'accord...
- Bien ! Approuva le duc, maintenant, sonne donc le début de cette bataille !
L'homme se tourna vers l'arène, et laissa échapper un long rire gras. Le visage tordu en une mimique démoniaque.
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Robert fixait Julia d'un air ahuri... Elle était... elle était... sublime !!!! Ses petites mains, son doux visage... Et sa magnifique petite bouche en forme de cul de poule serait parfaite pour...
Ho ! Maurice en demandait encore ! Il était temps, ça devait faire au moins trois bonne heures, depuis la dernière fois !
Non mais franchement cette petite...
Robert saisi les deux jambes qui dépassaient de son énorme derrière et tira un grand coup. Rodolphe fut jeté au sol, recouvert de la tête aux pieds, d'une étrange matière marron. Une terrible odeur s'en dégageait, tandis qui essayait de reprendre son souffle entre deux vomissements.
Une voix surgit soudain du néant, de partout et de nulle part à la fois.
- Attention....
Un vent chaud traversait le terrain, soulevant le sable et la poussière, mais charriant également la terrible odeur jusqu'à l'autre bout de l'arène. Sur le coup, Naon posa un genoux au sol, et rendit lamentablement son déjeuner.
- Partez !!!
Robert laissa tomber au sol une lourde hache qu'il avait prit dans la salle d'entrainement, salle qui était également leur cellule. Il ne prit pas la peine de remettre son pantalon, pour ce qu'il avait à faire, ça ne lui serait d'aucunes utilités de toutes manières !
- Mon petit, dit-il d'une voix sournoise, je te laisse t'occuper du vieux, moi je vais me faire la petite... Ho oui ! je vais me la faire !!
Sans lui laisser le temps de répondre, il se précipita en direction de sa proie. Maurice ne pouvait plus attendre !
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Se relevant, Naon s'essuya d'un geste sec le coin de la bouche.
- Ze bais l'éxblozer zet enculé !!!
Julia reprit précipitamment son maitre en récitant une de ses nombreuses leçons.
- Attendez, vous êtes sous le coup de la colère, or, vous m'avez toujours appris qu'il ne fallait pas se laisser dominer par les sentiments ! Le mieux, c'est que je m'en occupe et que vous affrontiez l'autre adversaire. Qu'en pensez vous ?
- Oui... z'est brais gue z'est mieux gomme za ! Mais fait attenzion zurtout !! Regarde, il court à boiles dans notre diréczion !!
- J'y vais, restez sur vos gardes également !
Tenant fermement son bâton argenté, Julia attira l'énorme pédobear dans un coin de l'arène tandis que son maitre partait en direction de l'autiste, qui se relevait péniblement, une hache à la main. Concentrant toute son attention sur son ennemis, la petite fille distingua quelque chose de bizarre à mesure que son ennemi avançait en remuant sa graisse. Mais quel était donc cette chose ? A la place d'une fente comme la sienne, il y avait... un gigantesque tuyau qui sortait de son entre-jambe !!! Alors c'était à ça que ça ressemblait un garçons !?
Il fallait absolument qu'elle arrive à le toucher, au moins pour savoir à quoi ça sert !!
Elle s'arrêta, pour laisser le temps à Robert d'arriver. Mais il se passa soudain quelque chose d'étrange. Il n'y eu plus un pédobear, mais deux, puis quatre, huit.... Ils étaient la, partout à la fois, ils l'encerclait.... Et se jetèrent sur elle.
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Rodolphe parvint difficilement à se relever. La hache était tellement lourde !!! Pas moins de 2 kilos !!!
L'odeur était affreuse, mais il était persuadé que sa lui donnait un charme incontestable, déjà tout à l'heure il avait fait tomber le samouraï. Oui, il serait maintenant, Rodolphe le tombeur !
Mais il fut interrompu dans ses pensés en voyant Naon arriver vers lui, il était si imposant avec son armure, brillante, lumineuse, éblouissante... au moins autant qu'un paquet de pim's tout neuf !! Et grand comme une coccinelle !!!
Mais bien sur, ce n'était rien comparé à l'incommensurable grandeur de la puissance divine qui se dégageait de Rodolphe, depuis son pèlerinage dans la grotte ténébreuse.
Convaincu de cette affirmation, l'autiste ramena la hache derrière sa tête, manquant de tomber en arrière, et partit en courant vers son ennemis, tout en lançant son célèbre cri de beau gosse.
- YAAahAaaaAaaAAhAAaaAAaaa!!!