Note de la fic :
Publié le 19/08/2013 à 01:10:42 par Globax
Une brise légère souffla sur les rues de la ville d’Hérasme.
Arrivant en vue du « Laboratoire Hight tech », Maxime se tourna vers moi :
Maxime – Bon, alors tout comme je te l’ai dit, l’approche de cette zone est strictement interdite, sous peine de mort pour cause de recherches confidentiel. Donc à partir d’ici il faudra faire extrêmement attention… D’ailleurs, si je puis me permettre, que viens-tu chercher ici ?
Moi – Je viens chercher un PC bien entendu !
Maxime – Un PC ?... C’est une potion ?
Moi – Tu… tu ne sais pas ce qu’est un PC ??
Maxime – Je l’ignore… C’est une arme ?
Moi – OMG !!!! Hahahaha !!!
Maxime – Mais dis-moi, qu’est-ce donc ?
Après un petit moment passé à contrôler mon fou rire, je parvins à lui répondre :
Moi – Alors vois-tu, un PC… C’est l’ouverture vers un autre monde, la source de toutes les merveilles. C’est la création ultime de Dieu !
Grâce à cet objet, on peut accéder à toutes les informations ! Toutes les connaissances du monde ! On peut parler avec quelqu’un qui se trouve à l’autre bout du monde par télépathie ! Le calcul de n’importe quel nombre quasi instantanément est rendu possible !
Un PC… un PC… C’est… Le Saint-Graal !
Maxime – Whouhaaaa ! Mais es-tu au moins sûr que cela existe sur notre monde ?
Moi – Cela, c’est à toi de me le dire.
Maxime – Et bien, si une telle merveille se devait d’exister en notre univers, elle se trouverait à l’intérieur.
Moi – Alors, ne perdons pas un instant, allons voir !
Maxime – Attend, comme je te l’ai dit, il n’y a guerre moins d’un instant, l’approcher est punie de mort… Donc, je recommande fortement la discrétion. MAIS …
Moi – Quoi ?
Maxime – J’ai omis d’informer les autres de ce détail…
Moi – …
Maxime – Mais bon qu’iraient-ils faire dedans en même temps ?
Moi – Je ne sais pas… mais en même temps ils sont surement assez cons pour y rentrer.
…..
Maxime – …. Donc nous on est quoi ? …
Moi – Ba… disons… que c’est toi qui m’as amené ici.
Maxime – ….
Vérifiant que personne ne se trouvait devant le Bâtiment, nous pénétrâmes furtivement à l’intérieur.
Immédiatement après, Maxime me saisit par le bras et me tira dans l’ombre en mettant un doigt devant sa bouche pour me faire comprendre. Me faire comprendre qu’il y avait quelqu’un.
Celui-ci se tenait droit devant nous, vêtu d’une longue cape noire et encapuchonné par un chaperon pointu de la même couleur. Il ne semblait pas nous avoir remarqués.
Nous étions donc, tel splinter cell, collés au mur dans un coin d’ombre en train d’attendre que ce vigile daigne nous tourner le dos.
La pièce était en faite un hall traversé par deux rangés de piliers en bois. Les parois se trouvaient être en pierre brute, et s’éclairaient d’une douce, mais faible, lumière orange par les quelques chandeliers qui y étaient accrochés. La salle se prolongeait sur la longueur par sa vingtaine de mètres, laissant à son extrémité une large ouverture conduisant probablement à une nouvelle pièce.
Finalement, comme ayant reçu un ordre, le vigile partit précipitamment vers celle-ci. Nous laissant ainsi seuls.
On avança donc, le plus rapidement possible en direction de cette fameuse salle. Au bout d’un temps en terrain découvert, qui nous parut durer une éternité, nous parvînmes enfin à l’embrasure de la porte.
Le spectacle était choquant. L’endroit sur lequel nous avions vue était immense et possédait de nombreuses tables. Celles-ci, couvertes d’objets, de papiers et de verreries à n’en plus pouvoir, semblaient appartenir à d’horribles savants fous.
Des rats morts, des grenouilles plongées dans des liquides visqueux, des préparations en train de bouillir en dégageant une fumée nauséabonde, tout cela contribuait à l’aspect lugubre de la pièce.
Mais cela n’était rien comparé aux rangées entières de cages qui se trouvaient dans le fond de la salle. Ces cages étaient pleines d’humains de tous âges en piteux état. Vêtus seulement de pagnes en lambeaux, ils nous regardèrent, le visage dénudé de toutes expressions, comme s’ils étaient déjà morts. Et à leurs pieds reposaient neuf personnes inconscientes, et attachés par de lourdes chaines… La Horde… ou ce qu’il en restait.
Je voulus me précipiter pour aller les détacher quand je sentis une force me stopper. Maxime m’attrapait par le bras et me tirait vers lui.
Immédiatement après, une lourde pierre tomba du plafond, pour aller exploser une dalle au sol. Juste à mes pieds.
Soudain, un applaudissement retentit. Un homme, habillé en tenue d’apparat, entra dans la salle par une entrée située devant nous en claquant dans ses mains.
??? – Très joli réflexe jeune homme.
Je contemplais sans voix Maxime qui venait de me sauver d’un sort peu désirable. Puis, me reprenant :
Moi – Maxime… Tu le connais… ?
Maxime – De nom seulement… C’est le Duc de Maldrake, et un éternel ennemi de mon père. Cette ville lui appartient.
Maxime semblait réfléchir. Que le Duc ait tenté de lui retirer la vie ne l’étonnait point… Mais quels pouvaient donc être ses motifs ? Là était la question…
Duc – À vrai dire, je vous attendais…
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----- quelques minutes auparavant -----
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Eniarel revint lentement à lui et parvint doucement à ouvrir les yeux. Heureusement, il avait réussi à prévoir le coup et à l’éviter en partie.
Son crâne le lança soudain, voulant porter la main à sa blessure des chaines l’arrêtèrent en cliquetant. Sa tête lui fessait de ces maux !
Il était en train de se repasser les derniers événements lorsque des bruits de pas résonnèrent sur les dalles.
….
…….
??? – Le produit est-il prêt ?
??? – Il l’est.
??? – Réveillez-le !
??? – Bien.
Au grincement métallique qui emplit la salle, l’elfe devina qu’une porte de cage venait de s’ouvrir. La scène qui se déroulait était hors de sa portée de vision, il ferma donc de nouveau les yeux. Autant que ses geôliers ne sachent pas qu’il était revenu à lui…
Puis vint le bruit d’une giclée d’eau. Surement un seau d’eau…suivi d’une quinte de toux.
Puis la première voix reprit :
??? – Très bien… maintenant… commencez l’injection !
??? – …. Hein ? Où suis-je, qui êtes-vous, et pourquoi suis-je attaché ??...
L’homme commençait à paniquer, sa voix tremblait :
??? – … C’est quoi cette histoire de… haaaaaa
La personne terrorisée, gémit, se débâtit et commença à hurler :
??? – .. NON !!! N’APPROCHEZ PAS ÇA DE MOI !!!! NE ME……
HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA……
Un cri d’épouvante pur retenti. Puis ce rugissement muta en une tempête de haine, une colère absolue. De là où il se trouvait, Eniarel en ressentait les effets, c’était à peine s’il parvenait à respirer dans cette atmosphère oppressante, une force énorme semblait le clouer au sol.
Il lui sembla vaguement entendre les deux témoins commenter et approuver…
Mais le hurlement de haine prit soudain fin, aussi vite qu’il avait commencé pour se transformer en un braillement de désespoir, un beuglement reflétant une douleur infinie. Tout le poids du monde semblait reposer sur les épaules de ce pauvre homme…
C’était insupportable, intenable… L’elfe s’évanouit à nouveau.
…..
……..
……..
…..
??? – L’expérience est encore un échec, le cobaye n’a pas survécu…
…..
??? – RHAAAAAAA ! Je veux qu’un nouveau produit soit prés à être testé dès demain !
??? – Bien duc… Et pour le cadavre ?
…..
Duc – BRULEZ-LE !!!!
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----- quelques minutes plus tard ------
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Duc – A vrai dire, je vous attendais…
L’homme fit une pause, ses traits se crispèrent et il sembla se perdre dans ses pensées. Puis soupirant, il revint à lui et nous dit d’un ton désolé :
Duc – Ecoutez…. Vous me posez un grave problème… Maintenant que vous avez vu ce laboratoire et ces cages, je ne peux vous laisser en vie…
Il se tut de nouveau et fit quelques pas dans la salle, avant de reprendre sur le même ton :
Duc – Non pas que je veuille en finir avec vous comprenez-le… Si je l’avais voulu, je ne serais pas en train de vous parler… Le roi tient énormément à la Horde et si je vous nuis, je risque de m’attirer ses foudres… Voyez dans quel dilemme je me trouve…
…
…
Un silence de mort s’installa. Des questions se bousculèrent dans ma tête. Ce mec est un malade, il n’hésiterait pas à nous massacrer sans sommations si nous n’étions aussi connus… Comment se sortir de ce mauvais pas ?
Bon déjà… ya pas de PC…
Ensuite, si on s’enfuit il n’hésitera pas à tuer les autres pour éviter qu’on parle.
Enfin, si on essayait de le tuer, on pourrait s’enfuir… mais pendant combien de temps en étant recherchés comme des criminels ?...
Non, il n’y a rien à faire… Nous sommes à sa merci…
J’étais à mes sinistres pensés lorsqu’il reprit la parole :
Duc – Ecoutez… J’ai peut-être une solution… mais elle risque de ne pas vous plaire...
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H.S. Voila, j’en profite pour dire qu’il me faut toujours de nouveaux noms, une dizaine environ, pour dans quelques chapitres. Donc si vous êtes intéressés, faite une légère description du perso tel que vous le voulez… (Ce ne sera qu’une courte apparition, je le répète… … Sauf pour un… que je tirerais au sort et qui se verra confié un poste très important dans suite de la fic ! )
Encore une chose, vous préférez que je relate l’histoire,
1)A la première personne (comme je le fais en majorité)
2)A la troisième (comme je m’y essaie depuis 2 ou 3 chapitres)
3)Pas du tout.
A vos claviers donc, j’attends des noms. ( Et des n°)
Arrivant en vue du « Laboratoire Hight tech », Maxime se tourna vers moi :
Maxime – Bon, alors tout comme je te l’ai dit, l’approche de cette zone est strictement interdite, sous peine de mort pour cause de recherches confidentiel. Donc à partir d’ici il faudra faire extrêmement attention… D’ailleurs, si je puis me permettre, que viens-tu chercher ici ?
Moi – Je viens chercher un PC bien entendu !
Maxime – Un PC ?... C’est une potion ?
Moi – Tu… tu ne sais pas ce qu’est un PC ??
Maxime – Je l’ignore… C’est une arme ?
Moi – OMG !!!! Hahahaha !!!
Maxime – Mais dis-moi, qu’est-ce donc ?
Après un petit moment passé à contrôler mon fou rire, je parvins à lui répondre :
Moi – Alors vois-tu, un PC… C’est l’ouverture vers un autre monde, la source de toutes les merveilles. C’est la création ultime de Dieu !
Grâce à cet objet, on peut accéder à toutes les informations ! Toutes les connaissances du monde ! On peut parler avec quelqu’un qui se trouve à l’autre bout du monde par télépathie ! Le calcul de n’importe quel nombre quasi instantanément est rendu possible !
Un PC… un PC… C’est… Le Saint-Graal !
Maxime – Whouhaaaa ! Mais es-tu au moins sûr que cela existe sur notre monde ?
Moi – Cela, c’est à toi de me le dire.
Maxime – Et bien, si une telle merveille se devait d’exister en notre univers, elle se trouverait à l’intérieur.
Moi – Alors, ne perdons pas un instant, allons voir !
Maxime – Attend, comme je te l’ai dit, il n’y a guerre moins d’un instant, l’approcher est punie de mort… Donc, je recommande fortement la discrétion. MAIS …
Moi – Quoi ?
Maxime – J’ai omis d’informer les autres de ce détail…
Moi – …
Maxime – Mais bon qu’iraient-ils faire dedans en même temps ?
Moi – Je ne sais pas… mais en même temps ils sont surement assez cons pour y rentrer.
…..
Maxime – …. Donc nous on est quoi ? …
Moi – Ba… disons… que c’est toi qui m’as amené ici.
Maxime – ….
Vérifiant que personne ne se trouvait devant le Bâtiment, nous pénétrâmes furtivement à l’intérieur.
Immédiatement après, Maxime me saisit par le bras et me tira dans l’ombre en mettant un doigt devant sa bouche pour me faire comprendre. Me faire comprendre qu’il y avait quelqu’un.
Celui-ci se tenait droit devant nous, vêtu d’une longue cape noire et encapuchonné par un chaperon pointu de la même couleur. Il ne semblait pas nous avoir remarqués.
Nous étions donc, tel splinter cell, collés au mur dans un coin d’ombre en train d’attendre que ce vigile daigne nous tourner le dos.
La pièce était en faite un hall traversé par deux rangés de piliers en bois. Les parois se trouvaient être en pierre brute, et s’éclairaient d’une douce, mais faible, lumière orange par les quelques chandeliers qui y étaient accrochés. La salle se prolongeait sur la longueur par sa vingtaine de mètres, laissant à son extrémité une large ouverture conduisant probablement à une nouvelle pièce.
Finalement, comme ayant reçu un ordre, le vigile partit précipitamment vers celle-ci. Nous laissant ainsi seuls.
On avança donc, le plus rapidement possible en direction de cette fameuse salle. Au bout d’un temps en terrain découvert, qui nous parut durer une éternité, nous parvînmes enfin à l’embrasure de la porte.
Le spectacle était choquant. L’endroit sur lequel nous avions vue était immense et possédait de nombreuses tables. Celles-ci, couvertes d’objets, de papiers et de verreries à n’en plus pouvoir, semblaient appartenir à d’horribles savants fous.
Des rats morts, des grenouilles plongées dans des liquides visqueux, des préparations en train de bouillir en dégageant une fumée nauséabonde, tout cela contribuait à l’aspect lugubre de la pièce.
Mais cela n’était rien comparé aux rangées entières de cages qui se trouvaient dans le fond de la salle. Ces cages étaient pleines d’humains de tous âges en piteux état. Vêtus seulement de pagnes en lambeaux, ils nous regardèrent, le visage dénudé de toutes expressions, comme s’ils étaient déjà morts. Et à leurs pieds reposaient neuf personnes inconscientes, et attachés par de lourdes chaines… La Horde… ou ce qu’il en restait.
Je voulus me précipiter pour aller les détacher quand je sentis une force me stopper. Maxime m’attrapait par le bras et me tirait vers lui.
Immédiatement après, une lourde pierre tomba du plafond, pour aller exploser une dalle au sol. Juste à mes pieds.
Soudain, un applaudissement retentit. Un homme, habillé en tenue d’apparat, entra dans la salle par une entrée située devant nous en claquant dans ses mains.
??? – Très joli réflexe jeune homme.
Je contemplais sans voix Maxime qui venait de me sauver d’un sort peu désirable. Puis, me reprenant :
Moi – Maxime… Tu le connais… ?
Maxime – De nom seulement… C’est le Duc de Maldrake, et un éternel ennemi de mon père. Cette ville lui appartient.
Maxime semblait réfléchir. Que le Duc ait tenté de lui retirer la vie ne l’étonnait point… Mais quels pouvaient donc être ses motifs ? Là était la question…
Duc – À vrai dire, je vous attendais…
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----- quelques minutes auparavant -----
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Eniarel revint lentement à lui et parvint doucement à ouvrir les yeux. Heureusement, il avait réussi à prévoir le coup et à l’éviter en partie.
Son crâne le lança soudain, voulant porter la main à sa blessure des chaines l’arrêtèrent en cliquetant. Sa tête lui fessait de ces maux !
Il était en train de se repasser les derniers événements lorsque des bruits de pas résonnèrent sur les dalles.
….
…….
??? – Le produit est-il prêt ?
??? – Il l’est.
??? – Réveillez-le !
??? – Bien.
Au grincement métallique qui emplit la salle, l’elfe devina qu’une porte de cage venait de s’ouvrir. La scène qui se déroulait était hors de sa portée de vision, il ferma donc de nouveau les yeux. Autant que ses geôliers ne sachent pas qu’il était revenu à lui…
Puis vint le bruit d’une giclée d’eau. Surement un seau d’eau…suivi d’une quinte de toux.
Puis la première voix reprit :
??? – Très bien… maintenant… commencez l’injection !
??? – …. Hein ? Où suis-je, qui êtes-vous, et pourquoi suis-je attaché ??...
L’homme commençait à paniquer, sa voix tremblait :
??? – … C’est quoi cette histoire de… haaaaaa
La personne terrorisée, gémit, se débâtit et commença à hurler :
??? – .. NON !!! N’APPROCHEZ PAS ÇA DE MOI !!!! NE ME……
HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA……
Un cri d’épouvante pur retenti. Puis ce rugissement muta en une tempête de haine, une colère absolue. De là où il se trouvait, Eniarel en ressentait les effets, c’était à peine s’il parvenait à respirer dans cette atmosphère oppressante, une force énorme semblait le clouer au sol.
Il lui sembla vaguement entendre les deux témoins commenter et approuver…
Mais le hurlement de haine prit soudain fin, aussi vite qu’il avait commencé pour se transformer en un braillement de désespoir, un beuglement reflétant une douleur infinie. Tout le poids du monde semblait reposer sur les épaules de ce pauvre homme…
C’était insupportable, intenable… L’elfe s’évanouit à nouveau.
…..
……..
……..
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??? – L’expérience est encore un échec, le cobaye n’a pas survécu…
…..
??? – RHAAAAAAA ! Je veux qu’un nouveau produit soit prés à être testé dès demain !
??? – Bien duc… Et pour le cadavre ?
…..
Duc – BRULEZ-LE !!!!
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----- quelques minutes plus tard ------
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Duc – A vrai dire, je vous attendais…
L’homme fit une pause, ses traits se crispèrent et il sembla se perdre dans ses pensées. Puis soupirant, il revint à lui et nous dit d’un ton désolé :
Duc – Ecoutez…. Vous me posez un grave problème… Maintenant que vous avez vu ce laboratoire et ces cages, je ne peux vous laisser en vie…
Il se tut de nouveau et fit quelques pas dans la salle, avant de reprendre sur le même ton :
Duc – Non pas que je veuille en finir avec vous comprenez-le… Si je l’avais voulu, je ne serais pas en train de vous parler… Le roi tient énormément à la Horde et si je vous nuis, je risque de m’attirer ses foudres… Voyez dans quel dilemme je me trouve…
…
…
Un silence de mort s’installa. Des questions se bousculèrent dans ma tête. Ce mec est un malade, il n’hésiterait pas à nous massacrer sans sommations si nous n’étions aussi connus… Comment se sortir de ce mauvais pas ?
Bon déjà… ya pas de PC…
Ensuite, si on s’enfuit il n’hésitera pas à tuer les autres pour éviter qu’on parle.
Enfin, si on essayait de le tuer, on pourrait s’enfuir… mais pendant combien de temps en étant recherchés comme des criminels ?...
Non, il n’y a rien à faire… Nous sommes à sa merci…
J’étais à mes sinistres pensés lorsqu’il reprit la parole :
Duc – Ecoutez… J’ai peut-être une solution… mais elle risque de ne pas vous plaire...
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H.S. Voila, j’en profite pour dire qu’il me faut toujours de nouveaux noms, une dizaine environ, pour dans quelques chapitres. Donc si vous êtes intéressés, faite une légère description du perso tel que vous le voulez… (Ce ne sera qu’une courte apparition, je le répète… … Sauf pour un… que je tirerais au sort et qui se verra confié un poste très important dans suite de la fic ! )
Encore une chose, vous préférez que je relate l’histoire,
1)A la première personne (comme je le fais en majorité)
2)A la troisième (comme je m’y essaie depuis 2 ou 3 chapitres)
3)Pas du tout.
A vos claviers donc, j’attends des noms. ( Et des n°)