Note de la fic :
Publié le 19/08/2013 à 01:10:42 par Globax
Le soleil brillait, nous réchauffant de ses rayons.
Nous étions de retours sur la place principale. Je vais devoir me séparer de mes précieuses pièces
Mais je compte bien en garder une bonne partie !
Moi – Bon, alors je propose que l’on se sépare pour visiter la ville et prendre l’équipement nécessaire à notre voyage. On se retrouve ici, notre point de rendez-vous au coucher du soleil. Voila salut !
Je commençais à partir, quand Robert me saisi par le col de ma chemise.
Robert – Tu n’oublierais pas quelque chose ?
Moi – Heu …. Comme quoi ?
Robert – Comme les 200 pièces que tu m’as promis peut être.
Moi – Bon, ok je vous passe vos sous…
Sortant la bourse, je tendis 50 pièces à chacun. Puis, réfléchissant un moment, je me tournai vers Rodolphe et lui reprit les sous.
Moi – Donc vingt-quatorze pièces hein ?
Rodolphe – hA oUiiiii, Tu aS fAiLlIt M’aVoIr En mE DoNnAnt 50 PieCes D’Or !!
Moi – Parfait, donc une pièce, deux pièces et vingt-quatorze pièces. C’est bon ?
Rodolphe – HeUuUu…
Moi – Oui c’est bon.
Puis me tournant vers Robert :
Moi – Tiens, je sais que je devais te donner 200 pièces mais en voila 100. C’est le Capitaine à l’entrée qui m’à pris le reste.
Robert – Ok ! Ce n’est pas dans mes habitudes, mais je vais me le faire… Si tu me ment tu ne pourra plus jamais t’asseoir !
Hamed – Vazy c’est quoi c’tarnaque la pkoi il a deux fois plus de sous que nous tavu !
Moi – Par ce que toi tu as eu le droit à une b*** dans le c**
Knil – Hey, mais nous on n’a pas eu ça et on a que 50 pièces…
Robert – Si tu en veux une, ça peut s’arranger mon enfant…
Knil – Heu …. En faite ça me va 50 pièces
Moi – Bon maintenant que tout est réglé, je propose qu’on se sépare en plusieurs groupes. Maxime, tu connais la ville ?
Maxime – Pour sur, c’est ici que j’ai vécu durant ma plus tendre enfance.
Moi – Génial, alors tu viens avec moi
La Horde se sépara donc. Les quatre wesh partirent ensembles. Robert quand à lui sortit en direction des portes de la ville… Pauvre garde.
Eniarel se dirigea vers une armurerie qu’il avait repéré hier, suivit de près par Marine, elle-même coursé par …. Un Rodolphe en chaleur.
Knil quand à lui, m’annonça qu’il chercherait des informations sur la localisation de son ennemis juré. Me laissant ainsi seul avec Maxime.
En marchant, je comptais les pièces qu’il me restait. 1000 moins 603… 397…. Il me reste quand même assez de sous pour m’acheter un pc
Soudain, mon compagnon me sortit de mes pensées :
Maxime – Pour quelles raisons désirais-tu que je vienne avec toi ?
Moi – Es-ce que tu peux me montrer à quel endroit trouver les objets les plus avancés de se monde, dans cette ville, niveau recherche technologique ?
Maxime – Pour sur… je peux te le montrer… c’est l’immense bâtiment métallique la haut, celui qui domine la ville et laisse apercevoir un télescope sortant du toit…. toutefois l’approcher est interdit… sous peine de mort…
Moi – … parfait ça me va, allons-y !
------------------------
Les quatre wesh s’arrêtèrent soudain frappés par une évidence.
Hamed – Wesh… eu Wesh… on fait quoi maintenant ?
Ali – Vazy ché pas, chui a cour d’idé tavu !
Abdel – Tu peu pas etre a court ten a jamais eu!! Xd
Hamed – OLOLOL kom ta tro raison cousin !!
Habibou – Wesh tro des bar !! Xd
*quelques minutes plus tard*
Abdel – Vazy j’ai trouvé !!
Ali – Wesh cousin c’est quoi ton idée !
Abdel – Vazy ques ta ouver ta geule ! a cause de toi j’ai oublier ! j’vais tniqué ta race !! (">
Hamed – OLOLOL genre ta eu une idée ! Xd
Habibou – Lol tro des bar tavu !
Ali – Oé tavu ! Xd
*quelques dizaines de minutes plus tard*
Hamed – Wesh je sais !
Adbel – Vazy dit nous c’est quoi !
Hamed – On va fair com pour la foret tavu ! On va trouver le plus grand batiment et on va le cramer !! Xd
Ali – Vazy c une tro bonne idée cousin Xd
Hamed – OLOLOL tavu kom sa va être tro marrant !
Habibou – Wesh grave !! Xd
Abdel – Vazy mé c’est ou le plus grand batiment ?
Hamed – Heu …. La ba, tavu!
Le wesh désigna du doigt un grand bâtiment en métal qui dominait la ville. Un large télescope sortait du toit.
Abdel – Vazy sa gere on va fair cramer la ville Xd
Hamed – Wesh kom j’ai des idée tro marrante tavu !
Ali – Tro des bar ! Xd
Habibou – Xd
--------------------------
Robert marchait depuis un moment quand il arriva en vu des portes de la ville. Ses pulsions commençaient à remonter… Il fallait qu’il fasse pleurer Maurice… Et vite ! Ça faisait tout de même depuis hier soir avec Hamed…. « Ho Hamed », soit prés de 12h qu’il n’avait pas étalé sa semence chaude sur le corps d’un de ses victimes.
S’arrêtant, il vit le capitaine de l’autre fois sortir des portes de la cité et rentrer dans une petite maison, juste à droite des portes, collée à la muraille.
C’était parfait ! Il était seul.
L’énorme pedobear fit trembler sa graisse sous ses pas de course. Il arriva rapidement devant la porte et la défonça d’un coup de bedaine. Ce qu’il vit le rempli de joie.
« Wouaaaaaaa »
Le capitaine était entrain de se changer. Il avait fini de retirer son armure et s’apprêtait à enfiler un pantalon quand un civil défonça la porte. Le soldat paniqua et se dépêcha de remettre son caleçon en vitesse. Mais l’énorme pedobear était rapide, en une fraction de seconde, il se jeta sur lui et le cloua à terre, l’ensevelissant ainsi sous sa graisse.
Baissant son bas, il sortit sa verge, devenue énorme sous l’excitation et la plongea délicatement dans les profondeurs de son humide g…..
*contenue non conforme à la loi Française, envoyez un commentaire avec votre mail si vous voulez découvrir cette scène hot non censuré *
-------------------------
Le petit groupe rentra dans l’armurerie de la grande place. Elle était vaste et ses murs cachés derrière des rangés d’armes. L’Elfe s’avança en direction du comptoir. Le commerçant, assez âgé l’aborda :
Commerçant – Bien le bonjour messieurs.
Puis se rendant compte de son erreur, il se tourna vers Marine.
Commerçant – Et madame, ajouta t-il en s’inclinant.
Rodolphe – Je SuIs PaS UnE MaDaMe !
… *toc*…
Rodolphe – …
Eniarel – Bonjours à vous, je cherche une épée courte de forte bonne facture ainsi que des cordes et flèches de qualités pour mon arc. Au passage, si vous aviez un carquois de bonne contenance et des protections légères cela m’intéresserais également.
Commerçant – Puis-je vous demander de me suivre ? On ne reçoit pas souvent un tel invité de marque chez nous, si je puis je permettre, que fait donc un Elfe dans nos régions ?
Eniarel – Je regrette, mais je ne puis répondre à votre question…
Commerçant – Ce n’est pas grave, suivez moi, dit l’armurier d’un air désolé.
L’armurier emmena Eniarel dans une pièce annexe en demandant aux autres de bien vouloir patienter dans la salle d’exposition.
La nouvelle pièce, plus grande que la précédente contenait de grands râteliers pleins. Des lances, des épées, des faux et toutes sortes d’armes plus ou moins connus tapissaient les murs de la pièce. Une grande table la meublait en son centre.
Le commerçant s’adressa à l’Elfe.
-Et si nous commencions par l’épée courte ? A votre demande, j’ai tout de suite pensé à une arme particulière. Il y a de cela 150 ans, l’un des vôtres la déposé dans la boutique, tenue à l’époque par mon grand père, en disant que quelqu’un passerait un jour la chercher. Depuis le temps, je pense que cette personne doit être morte. Je vous la confie donc !
-Il n’est pas sur qu’il soit mort, j’ignore si vous le savez, mais nous ne vivons pas une vie d’Humains. Moi-même ai bien plus d’années que vous ne pouvez l’imaginer, rétorqua l’Elfe.
-Et bien il est donc possible que cette personne se soit vous.
Le vieil homme se dirigea vers un des râteliers et en décrocha un objet emballé dans une masse importante de chiffons. Déposant le paquet sur la table, il fit signe à Eniarel de s’approcher.
-Aucune des personnes à qui je l’ai montré n’à pu poser un doigt sur cette lame. Elle se nomme… Fëanáro.
-L’Epée de feu…
L’Homme écarta les chiffons, révélant une lame d’une beauté et d’une pureté sans égale. Elle devait faire environ un mètre de longueur. C’était une lame à double tranchant, faite d’un métal blanc. D’or blanc elfique…
Des gravures, tracées en lettres d’or, ressortaient sur tout le long de l’épée. Et le pommeau, fait du même or blanc, était effilé dans sa longueur et se prolongeait d’une vingtaine de centimètres telle une deuxième lame.
Eniarel ébahi, regarda l’armurier qui lui fit un signe approbatif. Se penchant, l’elfe saisi l’épée.
Une douce lumière chaleureuse s’en échappa instantanément à son contact, comme pour dire qu’elle acceptait ce nouveau maitre.
-Savez-vous combien vaut cette lame ? demanda l’elfe encore sous le choc.
-Je l’ignore…
-Elle n’a pas de prix, c’est le trésor perdu de tout un peuple….
-Je ne veux pas le savoir, elle est à vous… prenez-en grand soins, dit le marchand en soupirant. D’aucun disent qu’elle est maudite, faite attention.
-Et ils ont raison, ajouta Eniarel d’un air soucieux.
Une fois qu'il eut acheté se qu’il devait prendre, Marine s’adressa au commerçant :
-Encore une chose !
-Qui à t-il ? répondit le marchand intrigué.
-Savez-vous ou je peux trouver des potions efficaces ?
-Humm… Certain disent qu’un laboratoire à vu le jour au sommet de la ville, on dit qu’il y aurait des breuvages aux effets incroyables. Mais si vous y allez, faites très attention…
Le groupe sortit du magasin et l’Elfe prit la parole :
-Faire attention… à quoi ?
-Allons-y nous verrons bien ! rétorqua Marine.
--------------------
Knil se dépêcha, il avait de nombreuses choses à faire aujourd’hui. Et retrouver l’assassin de son peuple n’était pas des moindres.
Il se dirigea donc vers la première boutique qu’il vit. Elle vendait des bombes. « Parfait, se sera déjà ça de fait, se dit le lutin. »
Rentrant à l’intérieur, il s’adressa au marchand, lui demandant la liste de ses produits. Il fut ravi de lui répondre :
-Alors, nous avons des Bombisectes, des Bombisectes sauvages, des Bombes flèches, des Choux péteurs, des Barils de poudre, des Bombes à Explosion Télécommandée....
[…]
-…Des Bombes simples, des Missiles Teigneux et en promotions… des Hydro-Bombes !
….
-Monsieur ? Continua le marchand intrigué.
-ZzzzZZZzz
- Monsieur !
-Hein… Ha eu oui… heu…
Knil fit mine de réfléchir. N’y connaissant rien du tout et n’ayant rien écouté, il se dit que de toutes façons, il n’avait que ça à acheter… De plus il ne fallait pas paraitre ridicule en disant qu’il n’avait pas écouté ou qu’il ne s’y connaissait pas… sinon ce serait la honte !
Il reprit donc la parole :
-Combien la bombe à l’unité ?
-Vous n’êtes pas sérieux tout de même… acheter à l’unité… cela ne c’est jamais vu ! Je vous fais un prix pour 5 pièces d’argent les 30 ! dit le marchand sournoisement sur de son coup.
2 pièces d’argent représentaient environ le salaire journalier d’un commerçant ordinaire. Surtout que les ventes étaient basses en ses temps de calme.
« J’ai 50 pièces d’or… En sachant qu’une pièce d’or vaut 100 pièces d’argent, j’aurais... 30 bombes ? … non 60 ?... Raaa j’ai toujours été nul pour les calculs… se dit Knil »
-Bon très bien, pour 5 pièces d’argent les 30… Je vous en prends pour 50 pièces d’or !
-….
-Hey monsieur, monsieur réveillez vous !!! Monsieurrrrrrr !!!!!
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Sweet ? Email ?
Nous étions de retours sur la place principale. Je vais devoir me séparer de mes précieuses pièces
Mais je compte bien en garder une bonne partie !
Moi – Bon, alors je propose que l’on se sépare pour visiter la ville et prendre l’équipement nécessaire à notre voyage. On se retrouve ici, notre point de rendez-vous au coucher du soleil. Voila salut !
Je commençais à partir, quand Robert me saisi par le col de ma chemise.
Robert – Tu n’oublierais pas quelque chose ?
Moi – Heu …. Comme quoi ?
Robert – Comme les 200 pièces que tu m’as promis peut être.
Moi – Bon, ok je vous passe vos sous…
Sortant la bourse, je tendis 50 pièces à chacun. Puis, réfléchissant un moment, je me tournai vers Rodolphe et lui reprit les sous.
Moi – Donc vingt-quatorze pièces hein ?
Rodolphe – hA oUiiiii, Tu aS fAiLlIt M’aVoIr En mE DoNnAnt 50 PieCes D’Or !!
Moi – Parfait, donc une pièce, deux pièces et vingt-quatorze pièces. C’est bon ?
Rodolphe – HeUuUu…
Moi – Oui c’est bon.
Puis me tournant vers Robert :
Moi – Tiens, je sais que je devais te donner 200 pièces mais en voila 100. C’est le Capitaine à l’entrée qui m’à pris le reste.
Robert – Ok ! Ce n’est pas dans mes habitudes, mais je vais me le faire… Si tu me ment tu ne pourra plus jamais t’asseoir !
Hamed – Vazy c’est quoi c’tarnaque la pkoi il a deux fois plus de sous que nous tavu !
Moi – Par ce que toi tu as eu le droit à une b*** dans le c**
Knil – Hey, mais nous on n’a pas eu ça et on a que 50 pièces…
Robert – Si tu en veux une, ça peut s’arranger mon enfant…
Knil – Heu …. En faite ça me va 50 pièces
Moi – Bon maintenant que tout est réglé, je propose qu’on se sépare en plusieurs groupes. Maxime, tu connais la ville ?
Maxime – Pour sur, c’est ici que j’ai vécu durant ma plus tendre enfance.
Moi – Génial, alors tu viens avec moi
La Horde se sépara donc. Les quatre wesh partirent ensembles. Robert quand à lui sortit en direction des portes de la ville… Pauvre garde.
Eniarel se dirigea vers une armurerie qu’il avait repéré hier, suivit de près par Marine, elle-même coursé par …. Un Rodolphe en chaleur.
Knil quand à lui, m’annonça qu’il chercherait des informations sur la localisation de son ennemis juré. Me laissant ainsi seul avec Maxime.
En marchant, je comptais les pièces qu’il me restait. 1000 moins 603… 397…. Il me reste quand même assez de sous pour m’acheter un pc
Soudain, mon compagnon me sortit de mes pensées :
Maxime – Pour quelles raisons désirais-tu que je vienne avec toi ?
Moi – Es-ce que tu peux me montrer à quel endroit trouver les objets les plus avancés de se monde, dans cette ville, niveau recherche technologique ?
Maxime – Pour sur… je peux te le montrer… c’est l’immense bâtiment métallique la haut, celui qui domine la ville et laisse apercevoir un télescope sortant du toit…. toutefois l’approcher est interdit… sous peine de mort…
Moi – … parfait ça me va, allons-y !
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Les quatre wesh s’arrêtèrent soudain frappés par une évidence.
Hamed – Wesh… eu Wesh… on fait quoi maintenant ?
Ali – Vazy ché pas, chui a cour d’idé tavu !
Abdel – Tu peu pas etre a court ten a jamais eu!! Xd
Hamed – OLOLOL kom ta tro raison cousin !!
Habibou – Wesh tro des bar !! Xd
*quelques minutes plus tard*
Abdel – Vazy j’ai trouvé !!
Ali – Wesh cousin c’est quoi ton idée !
Abdel – Vazy ques ta ouver ta geule ! a cause de toi j’ai oublier ! j’vais tniqué ta race !! (">
Hamed – OLOLOL genre ta eu une idée ! Xd
Habibou – Lol tro des bar tavu !
Ali – Oé tavu ! Xd
*quelques dizaines de minutes plus tard*
Hamed – Wesh je sais !
Adbel – Vazy dit nous c’est quoi !
Hamed – On va fair com pour la foret tavu ! On va trouver le plus grand batiment et on va le cramer !! Xd
Ali – Vazy c une tro bonne idée cousin Xd
Hamed – OLOLOL tavu kom sa va être tro marrant !
Habibou – Wesh grave !! Xd
Abdel – Vazy mé c’est ou le plus grand batiment ?
Hamed – Heu …. La ba, tavu!
Le wesh désigna du doigt un grand bâtiment en métal qui dominait la ville. Un large télescope sortait du toit.
Abdel – Vazy sa gere on va fair cramer la ville Xd
Hamed – Wesh kom j’ai des idée tro marrante tavu !
Ali – Tro des bar ! Xd
Habibou – Xd
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Robert marchait depuis un moment quand il arriva en vu des portes de la ville. Ses pulsions commençaient à remonter… Il fallait qu’il fasse pleurer Maurice… Et vite ! Ça faisait tout de même depuis hier soir avec Hamed…. « Ho Hamed », soit prés de 12h qu’il n’avait pas étalé sa semence chaude sur le corps d’un de ses victimes.
S’arrêtant, il vit le capitaine de l’autre fois sortir des portes de la cité et rentrer dans une petite maison, juste à droite des portes, collée à la muraille.
C’était parfait ! Il était seul.
L’énorme pedobear fit trembler sa graisse sous ses pas de course. Il arriva rapidement devant la porte et la défonça d’un coup de bedaine. Ce qu’il vit le rempli de joie.
« Wouaaaaaaa »
Le capitaine était entrain de se changer. Il avait fini de retirer son armure et s’apprêtait à enfiler un pantalon quand un civil défonça la porte. Le soldat paniqua et se dépêcha de remettre son caleçon en vitesse. Mais l’énorme pedobear était rapide, en une fraction de seconde, il se jeta sur lui et le cloua à terre, l’ensevelissant ainsi sous sa graisse.
Baissant son bas, il sortit sa verge, devenue énorme sous l’excitation et la plongea délicatement dans les profondeurs de son humide g…..
*contenue non conforme à la loi Française, envoyez un commentaire avec votre mail si vous voulez découvrir cette scène hot non censuré *
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Le petit groupe rentra dans l’armurerie de la grande place. Elle était vaste et ses murs cachés derrière des rangés d’armes. L’Elfe s’avança en direction du comptoir. Le commerçant, assez âgé l’aborda :
Commerçant – Bien le bonjour messieurs.
Puis se rendant compte de son erreur, il se tourna vers Marine.
Commerçant – Et madame, ajouta t-il en s’inclinant.
Rodolphe – Je SuIs PaS UnE MaDaMe !
… *toc*…
Rodolphe – …
Eniarel – Bonjours à vous, je cherche une épée courte de forte bonne facture ainsi que des cordes et flèches de qualités pour mon arc. Au passage, si vous aviez un carquois de bonne contenance et des protections légères cela m’intéresserais également.
Commerçant – Puis-je vous demander de me suivre ? On ne reçoit pas souvent un tel invité de marque chez nous, si je puis je permettre, que fait donc un Elfe dans nos régions ?
Eniarel – Je regrette, mais je ne puis répondre à votre question…
Commerçant – Ce n’est pas grave, suivez moi, dit l’armurier d’un air désolé.
L’armurier emmena Eniarel dans une pièce annexe en demandant aux autres de bien vouloir patienter dans la salle d’exposition.
La nouvelle pièce, plus grande que la précédente contenait de grands râteliers pleins. Des lances, des épées, des faux et toutes sortes d’armes plus ou moins connus tapissaient les murs de la pièce. Une grande table la meublait en son centre.
Le commerçant s’adressa à l’Elfe.
-Et si nous commencions par l’épée courte ? A votre demande, j’ai tout de suite pensé à une arme particulière. Il y a de cela 150 ans, l’un des vôtres la déposé dans la boutique, tenue à l’époque par mon grand père, en disant que quelqu’un passerait un jour la chercher. Depuis le temps, je pense que cette personne doit être morte. Je vous la confie donc !
-Il n’est pas sur qu’il soit mort, j’ignore si vous le savez, mais nous ne vivons pas une vie d’Humains. Moi-même ai bien plus d’années que vous ne pouvez l’imaginer, rétorqua l’Elfe.
-Et bien il est donc possible que cette personne se soit vous.
Le vieil homme se dirigea vers un des râteliers et en décrocha un objet emballé dans une masse importante de chiffons. Déposant le paquet sur la table, il fit signe à Eniarel de s’approcher.
-Aucune des personnes à qui je l’ai montré n’à pu poser un doigt sur cette lame. Elle se nomme… Fëanáro.
-L’Epée de feu…
L’Homme écarta les chiffons, révélant une lame d’une beauté et d’une pureté sans égale. Elle devait faire environ un mètre de longueur. C’était une lame à double tranchant, faite d’un métal blanc. D’or blanc elfique…
Des gravures, tracées en lettres d’or, ressortaient sur tout le long de l’épée. Et le pommeau, fait du même or blanc, était effilé dans sa longueur et se prolongeait d’une vingtaine de centimètres telle une deuxième lame.
Eniarel ébahi, regarda l’armurier qui lui fit un signe approbatif. Se penchant, l’elfe saisi l’épée.
Une douce lumière chaleureuse s’en échappa instantanément à son contact, comme pour dire qu’elle acceptait ce nouveau maitre.
-Savez-vous combien vaut cette lame ? demanda l’elfe encore sous le choc.
-Je l’ignore…
-Elle n’a pas de prix, c’est le trésor perdu de tout un peuple….
-Je ne veux pas le savoir, elle est à vous… prenez-en grand soins, dit le marchand en soupirant. D’aucun disent qu’elle est maudite, faite attention.
-Et ils ont raison, ajouta Eniarel d’un air soucieux.
Une fois qu'il eut acheté se qu’il devait prendre, Marine s’adressa au commerçant :
-Encore une chose !
-Qui à t-il ? répondit le marchand intrigué.
-Savez-vous ou je peux trouver des potions efficaces ?
-Humm… Certain disent qu’un laboratoire à vu le jour au sommet de la ville, on dit qu’il y aurait des breuvages aux effets incroyables. Mais si vous y allez, faites très attention…
Le groupe sortit du magasin et l’Elfe prit la parole :
-Faire attention… à quoi ?
-Allons-y nous verrons bien ! rétorqua Marine.
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Knil se dépêcha, il avait de nombreuses choses à faire aujourd’hui. Et retrouver l’assassin de son peuple n’était pas des moindres.
Il se dirigea donc vers la première boutique qu’il vit. Elle vendait des bombes. « Parfait, se sera déjà ça de fait, se dit le lutin. »
Rentrant à l’intérieur, il s’adressa au marchand, lui demandant la liste de ses produits. Il fut ravi de lui répondre :
-Alors, nous avons des Bombisectes, des Bombisectes sauvages, des Bombes flèches, des Choux péteurs, des Barils de poudre, des Bombes à Explosion Télécommandée....
[…]
-…Des Bombes simples, des Missiles Teigneux et en promotions… des Hydro-Bombes !
….
-Monsieur ? Continua le marchand intrigué.
-ZzzzZZZzz
- Monsieur !
-Hein… Ha eu oui… heu…
Knil fit mine de réfléchir. N’y connaissant rien du tout et n’ayant rien écouté, il se dit que de toutes façons, il n’avait que ça à acheter… De plus il ne fallait pas paraitre ridicule en disant qu’il n’avait pas écouté ou qu’il ne s’y connaissait pas… sinon ce serait la honte !
Il reprit donc la parole :
-Combien la bombe à l’unité ?
-Vous n’êtes pas sérieux tout de même… acheter à l’unité… cela ne c’est jamais vu ! Je vous fais un prix pour 5 pièces d’argent les 30 ! dit le marchand sournoisement sur de son coup.
2 pièces d’argent représentaient environ le salaire journalier d’un commerçant ordinaire. Surtout que les ventes étaient basses en ses temps de calme.
« J’ai 50 pièces d’or… En sachant qu’une pièce d’or vaut 100 pièces d’argent, j’aurais... 30 bombes ? … non 60 ?... Raaa j’ai toujours été nul pour les calculs… se dit Knil »
-Bon très bien, pour 5 pièces d’argent les 30… Je vous en prends pour 50 pièces d’or !
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-Hey monsieur, monsieur réveillez vous !!! Monsieurrrrrrr !!!!!
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Sweet ? Email ?