Note de la fic :
Publié le 19/08/2013 à 01:10:42 par Globax
Le soleil brillait haut dans le ciel.
Après trois jours de marches sans problèmes, les portes de la grande cité d’Hérasme se dessinèrent enfin sous nos yeux. Deux larges battants de près de dix mètres de hauteur. Entourée de remparts, la ville se dressait à la lisière d’une forêt. La forêt d’Eriador si on en croyait les indications que nous avait fournis le légendaire Chuck Norris.
Depuis quelques heures, nous croisions de nombreuses caravanes marchandes, sur des routes en terre battue. Elles faisaient le relais entre les petits Hameaux avoisinant et la grande ville.
Trente minutes plus tard nous arrivions au niveau des larges portes. Des gardes, armés de grandes et lourdes hallebardes, bloquaient le passage et fouillaient systématiquement les caravanes qui entraient en ville.
Pas très rassuré, je m’adressai aux membres du groupe :
Moi – Bon, alors pas de conneries ok ? On passe sans un mot. Et si jamais ils nous demandent, on ne transporte rien de suspect, on vient juste en ville chercher des vivres d’accord ?
Hamed – Vazy, tu nous prends pour des handicapé ou quoi ? On n’est pas cons a se point tavu !
Ali – wesh comme il se croi tro superieur tavu ? (">
Abdel – Vazy on lui péte sa race ! Xd
Moi – Voggle les soumis, deux gardes approchent.
Garde1 – Halte la, voyageurs !
Garde2 – Quels sont les motifs de votre passage ?
Rodolphe – On ViEnS JuStE ChErcHeR DeS vIvReS En viLlE ! On Ne TrAnSpOrTe rIEn De SusPeCt !!
DoNc Il FaUt NoUs LaIssEr PasSer SanS NoUs foUilLER HeIn ?
Garde1 – ...
Garde2 –
….
………
Moi – Ha ok …
Knil – J’y crois pas …
Eniarel – Holala…
Maxime – Foutreciel, ce n’est point possible !
Marine – …
Robert – Les enfants, je crois que c’est mal partit
Hamed – Vasy mais il sert a rien ce mec !!! (">
Habibou – Wesh grave vazy on lui défonce laggle tavu ! (">
…..
Garde2 – J’ai comme dans l’impression qu’une petite fouille s’impose.
Garde1 – Oui, je suis du même avis
Sous leur commandement, nous déposèrent donc nos sacs à terre. Sacs qu’ils se mirent immédiatement à fouiller.
Eniarel – Mais puisqu’on vous dit que nous ne transportons rien d’illicite…
Maxime – Je vous prie de bien vouloirs nous laisser pénétrer en ville.
Hamed – Wesh vazy, sinon on les massacres et on passe, ils sont que deux tavu ! (">
Maxime – Mais enfin tu n’y pense tout de même pas sérieusement ? Certes ils ne sont que deux, toutefois, la ville contient prés d’une centaine de gardes, nous ne pourrions point lutter.
Garde1 – Je n’ai rien trouvé d’illicite.
Eniarel – Je vous l’avais bien dit….
Garde2 – Attend, quel est ce bruit ?
Garde1 – Il m’a tout l’air de provenir de cet œuf !
Moi – Hein ? Mais quel œuf ?
Rodolphe – NaaaaaAAan ToUchEz PaS A çAaaAa !!!! (">
Moi – Heu… Rodolphe... Tu as ramassé ça quand ??
Rodolphe – Ba dAnS lA gRanDe PiEce DanS l’ArbRe Avec Le GrOs mEcHanT paS Bo PoUrqUoi ??
Moi – Ho May Gad ….
Dans le sac de Rodolphe se trouvait un énorme œuf de presque 40 centimètres de haut. Sa surface se craquelait lentement, provoquant ainsi le bruit qui avait attiré l’attention des soldats. Des pans de coquilles commencèrent à tomber peut à peut révélant graduellement le contenu de l’œuf.
Soudain, une patte perça l’enveloppe, puis une deuxième et enfin, une tête émergea. La créature était toute en écailles et sa tête, traversée par deux cornes, ne possédait qu’un seul énorme œil.
Elle parvint enfin à sortir de l’œuf, sous nos yeux ébahis et sous le regard étonné des deux gardes ().
Le monstre fit quelques pas hésitant sur ses six pattes. Il tomba et poussa un cri strident.
Les deux soldats hurlèrent, sous ce cri suraigu, en portant leurs mains aux oreilles. Essayant en vain de les boucher du mieux qu’ils pouvaient.
Le bruit ameuta les autres gardes, si bien que nous fumes entourés, en une seconde, de prés d’une vingtaine d’hommes en armes.
Rodolphe – Il EsT MigNoooOooOOooNn !!!
Knil – Ho, non !!! Tout mais pas ce démon !!
Moi – Tu crois qu’il donne un autre objet magique si on le tue de nouveau ??
Knil – Comment ça, un « autre » objet magique ? Il y avait quelque chose dans le coffre alors ?
Moi – Heu j’ai rien dit…. Je crois qu’on est encerclés
Knil – C’est ça, on en reparlera !
Un soldat visiblement gradé, à la vue des quelques médailles accrochées à son veston, se dégagea et nous parla d’un air menaçant :
Capitaine – Selon le décret sur la possession d’animaux exotiques, fixé par le roi en personne, tout individu, non noble, possédant un animal non conforme à la réglementation en vigueur, s’expose à la saisie de l’animal ainsi qu’à la peine capitale pour le maitre. Je demande donc au détenteur de cette créature de décliner son identité.
Rodolphe – C’eSt MOoOoOOiiii !!
…. *paf* ….
Rodolphe – ….
Maxime – JE, suis le détenteur de cet animal.
Capitaine – Heu… fort bien…. veuillez décliner votre identité.
Maxime – Je me trouve être le fils du Duc de Rigansson.
On apprendra plus tard que Maxime est bel est bien le fils de ce Duc qui est connut de tous pour être un des fidèles amis du roi, et est donc extrêmement influent.
Capitaine – Le….. le… le Duc de Rigansson dites-vous ?
Maxime – Lui-même.
Eniarel –
Knil –
Hamed –
Robert –
Marine –
Capitaine – Bien, veuillez donc me faire parvenir votre titre de noblesse
Maxime – Heu …. En faite …
Capitaine – Oui ?
Maxime – Il a brulé il y a trois jours dans la forêt….
Capitaine – Vraiment ?
Maxime – Je le crains …
Capitaine –
Maxime – ….
Capitaine – ….. Je vous pris donc de bien vouloir me suivre
……
……….
……
Capitaine – Pour votre exécution !! (">
Maxime – Comment ?!
Moi – Attendez ! Nous somme….. La Horde !!!
Capitaine – Vraiment !!!
Eniarel – Parfaitement ))">
Capitaine – Donc c’est vous les dangereux criminels recherchés, pour avoir ravagé la forêt du sud ?
Eniarel –
Moi – Heuuu…. Viens voir par la…
Prenant le capitaine à part, je sortis la bourse pleine d’or. Ses yeux s’illuminèrent. Je versai donc près de cents belles pièces étincelantes dans son aumônière. Le visage du garde s’illumina :
Capitaine – Et bien voila, il fallait commencer par la ! Vous pouvez y aller !
Moi – C’est bon les gens, j’ai tout arrangé !
Le soir commençait à tomber, et les portes d’Hérasme s’ouvrirent enfin devant nous.
To be continued
Après trois jours de marches sans problèmes, les portes de la grande cité d’Hérasme se dessinèrent enfin sous nos yeux. Deux larges battants de près de dix mètres de hauteur. Entourée de remparts, la ville se dressait à la lisière d’une forêt. La forêt d’Eriador si on en croyait les indications que nous avait fournis le légendaire Chuck Norris.
Depuis quelques heures, nous croisions de nombreuses caravanes marchandes, sur des routes en terre battue. Elles faisaient le relais entre les petits Hameaux avoisinant et la grande ville.
Trente minutes plus tard nous arrivions au niveau des larges portes. Des gardes, armés de grandes et lourdes hallebardes, bloquaient le passage et fouillaient systématiquement les caravanes qui entraient en ville.
Pas très rassuré, je m’adressai aux membres du groupe :
Moi – Bon, alors pas de conneries ok ? On passe sans un mot. Et si jamais ils nous demandent, on ne transporte rien de suspect, on vient juste en ville chercher des vivres d’accord ?
Hamed – Vazy, tu nous prends pour des handicapé ou quoi ? On n’est pas cons a se point tavu !
Ali – wesh comme il se croi tro superieur tavu ? (">
Abdel – Vazy on lui péte sa race ! Xd
Moi – Voggle les soumis, deux gardes approchent.
Garde1 – Halte la, voyageurs !
Garde2 – Quels sont les motifs de votre passage ?
Rodolphe – On ViEnS JuStE ChErcHeR DeS vIvReS En viLlE ! On Ne TrAnSpOrTe rIEn De SusPeCt !!
DoNc Il FaUt NoUs LaIssEr PasSer SanS NoUs foUilLER HeIn ?
Garde1 – ...
Garde2 –
….
………
Moi – Ha ok …
Knil – J’y crois pas …
Eniarel – Holala…
Maxime – Foutreciel, ce n’est point possible !
Marine – …
Robert – Les enfants, je crois que c’est mal partit
Hamed – Vasy mais il sert a rien ce mec !!! (">
Habibou – Wesh grave vazy on lui défonce laggle tavu ! (">
…..
Garde2 – J’ai comme dans l’impression qu’une petite fouille s’impose.
Garde1 – Oui, je suis du même avis
Sous leur commandement, nous déposèrent donc nos sacs à terre. Sacs qu’ils se mirent immédiatement à fouiller.
Eniarel – Mais puisqu’on vous dit que nous ne transportons rien d’illicite…
Maxime – Je vous prie de bien vouloirs nous laisser pénétrer en ville.
Hamed – Wesh vazy, sinon on les massacres et on passe, ils sont que deux tavu ! (">
Maxime – Mais enfin tu n’y pense tout de même pas sérieusement ? Certes ils ne sont que deux, toutefois, la ville contient prés d’une centaine de gardes, nous ne pourrions point lutter.
Garde1 – Je n’ai rien trouvé d’illicite.
Eniarel – Je vous l’avais bien dit….
Garde2 – Attend, quel est ce bruit ?
Garde1 – Il m’a tout l’air de provenir de cet œuf !
Moi – Hein ? Mais quel œuf ?
Rodolphe – NaaaaaAAan ToUchEz PaS A çAaaAa !!!! (">
Moi – Heu… Rodolphe... Tu as ramassé ça quand ??
Rodolphe – Ba dAnS lA gRanDe PiEce DanS l’ArbRe Avec Le GrOs mEcHanT paS Bo PoUrqUoi ??
Moi – Ho May Gad ….
Dans le sac de Rodolphe se trouvait un énorme œuf de presque 40 centimètres de haut. Sa surface se craquelait lentement, provoquant ainsi le bruit qui avait attiré l’attention des soldats. Des pans de coquilles commencèrent à tomber peut à peut révélant graduellement le contenu de l’œuf.
Soudain, une patte perça l’enveloppe, puis une deuxième et enfin, une tête émergea. La créature était toute en écailles et sa tête, traversée par deux cornes, ne possédait qu’un seul énorme œil.
Elle parvint enfin à sortir de l’œuf, sous nos yeux ébahis et sous le regard étonné des deux gardes ().
Le monstre fit quelques pas hésitant sur ses six pattes. Il tomba et poussa un cri strident.
Les deux soldats hurlèrent, sous ce cri suraigu, en portant leurs mains aux oreilles. Essayant en vain de les boucher du mieux qu’ils pouvaient.
Le bruit ameuta les autres gardes, si bien que nous fumes entourés, en une seconde, de prés d’une vingtaine d’hommes en armes.
Rodolphe – Il EsT MigNoooOooOOooNn !!!
Knil – Ho, non !!! Tout mais pas ce démon !!
Moi – Tu crois qu’il donne un autre objet magique si on le tue de nouveau ??
Knil – Comment ça, un « autre » objet magique ? Il y avait quelque chose dans le coffre alors ?
Moi – Heu j’ai rien dit…. Je crois qu’on est encerclés
Knil – C’est ça, on en reparlera !
Un soldat visiblement gradé, à la vue des quelques médailles accrochées à son veston, se dégagea et nous parla d’un air menaçant :
Capitaine – Selon le décret sur la possession d’animaux exotiques, fixé par le roi en personne, tout individu, non noble, possédant un animal non conforme à la réglementation en vigueur, s’expose à la saisie de l’animal ainsi qu’à la peine capitale pour le maitre. Je demande donc au détenteur de cette créature de décliner son identité.
Rodolphe – C’eSt MOoOoOOiiii !!
…. *paf* ….
Rodolphe – ….
Maxime – JE, suis le détenteur de cet animal.
Capitaine – Heu… fort bien…. veuillez décliner votre identité.
Maxime – Je me trouve être le fils du Duc de Rigansson.
On apprendra plus tard que Maxime est bel est bien le fils de ce Duc qui est connut de tous pour être un des fidèles amis du roi, et est donc extrêmement influent.
Capitaine – Le….. le… le Duc de Rigansson dites-vous ?
Maxime – Lui-même.
Eniarel –
Knil –
Hamed –
Robert –
Marine –
Capitaine – Bien, veuillez donc me faire parvenir votre titre de noblesse
Maxime – Heu …. En faite …
Capitaine – Oui ?
Maxime – Il a brulé il y a trois jours dans la forêt….
Capitaine – Vraiment ?
Maxime – Je le crains …
Capitaine –
Maxime – ….
Capitaine – ….. Je vous pris donc de bien vouloir me suivre
……
……….
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Capitaine – Pour votre exécution !! (">
Maxime – Comment ?!
Moi – Attendez ! Nous somme….. La Horde !!!
Capitaine – Vraiment !!!
Eniarel – Parfaitement ))">
Capitaine – Donc c’est vous les dangereux criminels recherchés, pour avoir ravagé la forêt du sud ?
Eniarel –
Moi – Heuuu…. Viens voir par la…
Prenant le capitaine à part, je sortis la bourse pleine d’or. Ses yeux s’illuminèrent. Je versai donc près de cents belles pièces étincelantes dans son aumônière. Le visage du garde s’illumina :
Capitaine – Et bien voila, il fallait commencer par la ! Vous pouvez y aller !
Moi – C’est bon les gens, j’ai tout arrangé !
Le soir commençait à tomber, et les portes d’Hérasme s’ouvrirent enfin devant nous.
To be continued