H.S : juste un petit hs pour vous remercier tous de suivre ma fic et de poster des commentaires. C'est ce qui me donne le courage de continuer les sweet aussi rapidement. Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture.

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Knil était entrain de paniquer, un homme allait peut être mourir par sa faute ! Il courut dans tout les sens en essayant de trouver une solution.
« Et si je partais ? … non.
Et si je prenais les bombes avant de partir ? …. Re non.
Et si je tentais le bouche à bouche ? …. Heu … … Nooon ! »
Le lutin se torturait donc la cervelle pour savoir comment réveiller le marchand, quand celui-ci sembla revenir à lui. Il s’agita par terre et ouvrit lentement les yeux.

-Aie… Ha, c’est encore vous… Donc vous m’aviez dit 50 pièces d’argent c’est ça ? demanda le commerçant en essayant péniblement de se lever.
-Non, 50 pièces d’or !
-…
- HAAAAAAAAAAAAA monsieur !!!!
-Hey, ça va, je ne suis pas mort !
-Ouf…
-Mais ça suffit les blagues la, sort de ma boutique ! dit le marchand d’un ton méfiant.
-Mais….
-Il n’y a pas de mais ! Pour 50 po tu aurais 30.000 bombes, assez pour faire sauter 10 fois cette ville ! C’est n’importe quoi, et comme si un lutin pouvait avoir autant de sous !
-Bha regardez vous-même ! Et 30.000 explosifs c’est parfait…

Knil sortit sa bourse et versa ses 50 pièces étincelantes sur la table. Il était intrigué par ce marchand, 30.000 bombes… Ce n’est pas si énorme que ça, qu’es-ce qui lui prend…
Ce dernier reprit la parole.

-J’ignore comment tu as eu ce que moi je gagne en 2 ans et demis, sans manger, mais je suis tout de même prés à te vendre les explosifs.
-Et bha il était temps…. Mais vous les avez au moins ? demanda Knil suspicieux.
-Mon nouvel ami, je suis le fournisseur officiel des armés du roi… Donc il n’y a pas de problème à ce niveau la… Mais la question est : Comment vas-tu faire pour le transport ?
-Ho, ne vous en faites pas pour ça… ne vous en faites pas pour ça...

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Les quatre wesh venaient enfin de parvenir au sommet de la colline. Devant eux se trouvait un immense bâtiment, tout de métal. Et sur son toit reposait un gigantesque télescope. Hamed se tourna vers ses compagnons et prononça ses quelques mots emplis de sagesses. Ses quelques mots, plein de bon sens, que nul ne s’attendait à entendre de la part d’un wesh :

Hamed – Vazy, maintenant il fo fair gaffe !
Ali – Wesh, pourquoi, ya personne tavu !
Hamed – Non mé imagine ya des poulets ! Ils nous grillent !
Habibou – Oé tavu !
Abdel – Poulet grillé !
Habibou – Heu….
Ali – Wesh ta di quoi la ?
Hamed – …. Ha ok j’vien d’comprendre Xd !!
Ali – Ha ok vazy oé tro des bars !!
Habibou – OLOLOL énorme cousin ! Xd
Abdel – Heu…! Xd

Au bout de quelques minutes, les wesh arrivèrent finalement à se glisser à l’intérieur du bâtiment.
Une fois à dedans, ils s’arrêtèrent devant une poutre en bois.

Abdel – Vazy Hamed ta le briquet ?
Hamed – Wesh t’inkiete, tien toi pré a partir, sa va fair mal !!

….*paf*….

Abdel – …

….*paf*….

Habibou – …

….*paf*….

Ali – …
Hamed – Heu….

….. *PAF* …..


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Robert sortit de la confiserie. Il avait sur lui autant de bonbon qu’il pouvait en transporter. Dans les poches, dans ses sacs, dans son pantalon, sous son gras…. Bref partout. Heureusement il les avait eu gratuitement, en marchant il repensait au vendeur… C’était vraiment un bon coup !
D’ailleurs, il revit encore ses belles petites fesses bien fermes qui lui rappelaient tellement….
… Ho, tien, Maurice en redemandait déjà. Il commençait à se gonfler de sang, ses proportions devenaient phénoménales.

« Je vais pas pouvoir tenir longtemps, se dit le pedobear, il faut vite que je trouve quelqu’un, n’importe qui ».

S’armant de ses nouveaux bonbons, il vit une petite fille de 4 ou 5 ans assise à la table d’un café.
Elle était magnifique, avec sa petite queue de cheval, et ses fines lèvres. Owi ! Il se voyait déjà faire passer Maurice entre ses douces lèvres.
Robert ne pouvait plus tenir, il se précipita devant la fille et afficha son plus beau sourire.

-Coucou mon enfant, tu veux un bonbon ?
-Heu…., dit seulement la petite fille surprise.

Elle regardait tours à tours le bonbon et la sortie, ses yeux voguant entre les deux. Puis finalement elle dit d’un air méfiant.

-Ma maman elle m’a dit de ne pas parler aux étrangers !
-Mais voyons, tu ne me reconnais pas ? Je suis… heu … qui je suis moi… Ha oui ! Je suis tonton beardopé !
-C’est pas vrais, je te connais pas. Je veux ma mamaaaaaaaaaaaan

La petite se mit soudain à pleurer dans le café. Les gens se retournèrent, se demandant ce qu’il se passait. Robert commençait à paniquer. Il prit une énorme sucette et l’enfonça profondément dans la gorge de la petite, pour étouffer les cris.

« Owiii, Maurice ne t’inquiète pas ça sera bientôt ton tours, pensa le pédobear. »

La petite n’arriva plus à respirer et sa peau commença à virer bleu pale. L’énorme monsieur préféra retirer la sucette de peur que la fille suffoque. C’est beaucoup moins jouissant de violer un cadavre. Lui il préférait les voir se débattre, gémir, frémir…. Halala c’en était trop pour Robert. Il dégaina son arme devant la petite fille apeuré, en plein milieu du café.

-Goute ce bonbon mon enfant !! dit-il en tapotant son bâton contre le front de la gamine.
-Haaaaaaaaaaaaaaaa !!!! Mamaaaaaaaaaaaaan !!!!

Elle recommençait à pleurer. Sans hésiter, et malgré tous les spectateurs qui n’osaient intervenir de peur de se faire pourfendre, il enfonça profondément Maurice dans la bouche bien humide de la petite pour la faire taire. Mais la petite se défendit, et d’un coup de dent…

…..*croque*…..

-HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Espèce de petite salope !!! Revient ici !!!

La petite commença à s’enfuir et Robert, malgré sa blessure, parvint à la suivre lentement. Plus en sautillant et en boitant qu’autre chose. Il la coursa, et la coursa encore. A travers toute la ville.
Cette petite ! Elle a faillit tuer Maurice !! Elle va payer. (">
Le pédobear pensait déjà à toutes les atrocités qu’il allait faire. D’abord la prendre, la retourner contre le mur, puis la défoncer par tous les trous, la… mais…
La gamine venait de disparaitre au coin d’une maison. Déplaçant sa graisse un peut plus vite, Robert parvint au même endroit. Elle n’était plus la.
Devant lui, il pouvait apercevoir un large bâtiment métallique sur lequel reposait une énorme verge… ha non…. c’était un télescope.

Pensant que la petite s’était cachée à l’intérieur, il s’y glissa furtivement.

Robert - Petiteeee, ou est tuuuuuu ??? Sort de ta cachette, j’ai pleiiiiiin de bonbon pour toiiiii !!
….
Pas de réponses.
….
Robert - Mais ou te cache tu ?? Montre toi je ne te ferais pas de mal.

….*paf*….

Robert - Aie !!

….*paf*….

Robert - Mais…

….. *PAF**PAF**PAF**PAF**PAF*…..

Robert - …

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Knil sortit du magasin tout fier de son achat, 30.000 bombe dans sa petite sacoche à ses cotés. Il avait dut jeter les 5.000 noix et bâton mojo et même sa maison, qu’il y avait mit en prévision du voyage.
« N’empêche, se dit-il, c’est vrais que j’ai un pouvoir pratique. » Miniaturiser n’importe quel objet, pour lui faire ensuite recouvrir sa taille normale, c’était révélé de très nombreuses fois utiles.

C’est ainsi que le lutin parti chercher le « bureau des recherches » avec assez d’explosifs sur lui pour faire sauter la moitié du royaume. Le « BDR » était un lieu qui répertoriait toutes les demandes et les offres d’emploi. Comme par exemple la capture d’un dangereux criminel.
A vrais dire, Knil espérait trouver la bas des informations concernant Canon d’Or.
Il tourna en rond un moment avant de se dire que, si avant la fin de la journée il voulait savoir il se trouvait, il lui fallait demander aux gens.
Timidement, il interrogea une petite fille de 4 ou 5 ans, qui passa en courant devant lui :

-Excuse moi, petite, es ce que tu…
-HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA, IL ARRIVE !!!!
-Heu…

Soudain, un énorme pédobear passa en courant devant lui, sans le voir et en se tenant le … hum voila quoi…..
Le lutin se dit qu’il était surement en train de courser la gamine.

« Pauvre petite quand même… … Il faut que j’aille l’aider ! »

L’esprit chevalier, Knil courut tout autour de la ville après le pédobear en chaleur. Au moins comme ça, se dit-il, ça lui faisait visiter la ville, et il passerait peut être même devant le BDR.
Soudain, revenant à ce qui se passait, il vit que le Robert était entré dans un grand bâtiment métallique d’où provenait de grands bruits sourds.
Curieux de voir se qu’il s’y déroulait, il rentra lentement à l’intérieur.
…..
Robert était étalé sur le sol, l’arrière de la tête explosé. Le garçon se jeta vers lui, et prit son poult en soupirant. Fort heureusement il n’était pas mort. Se retournant Knil décida d’essayer d’appeler des secours. Il fallait faire vite.
Le lutin voulu se précipiter vers la porte encore ouverte mais un objet qu’il ne vit pas arriver lui heurta violement le crane. Et les ténèbres l’engloutirent.

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Sweet ?

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Eniarel – Mais je n’ai pas vraiment confiance, j’ai vraiment l’impression que se marchand nous cachait quelque chose…
Marine – C’est bien possible, mais moi il me faut des potions. Et donc comme nous n’avons pas d’autres endroits où aller… De plus, cet endroit m’intrigue… Un laboratoire, un vrai t’imagine ?
Eniarel – Oui… et c’est ça qui me fait peur, ces scientifiques qui jouent avec la vie et la nature comme s’ils étaient tout puissants…
Marine – Et comment tu feras si jamais je suis à bout de forces au cours d’une bataille et que je ne peux pas te soigner, hein ?
Eniarel – … Bon écoute, on va aller voir, mais s’il y a quoi que se soit de suspect, on part et en vitesse, compris ?
Marine - Ça me va.

Le trio venait de sortir, depuis un petit moment, de l’armurerie quand se débat éclata.
Une foi la question réglée, nos trois protagonistes reprirent leur chemin en direction de cet observatoire et de ce fameux labo. Le trajet se déroula dans un silence de mort, chacun réfléchissant à l’avertissement du marchand…. Sauf peut être Rodolphe qui regardait les papillons voler.
Finalement, arrivant au sommet, et donc devant le bâtiment, Eniarel fit signe de s’arrêter.

Eniarel – Bon, alors que les choses soit claires… Rodolphe, une fois à l’intérieur tu fais exa-cte-ment se que je te dis de faire ? Compris ?
Rodolphe – OuI ChEf !
Marine – Je le sens mal avec se boulet…
Eniarel – Oui mais si on le laisse la, il risque de faire encore plus de conneries que dedans… Et qui sait, même si j’en doute, peut être l’avertissement ne voulait-il rien dire ?

Vérifiant une dernière fois qu’il n’y avait rien de suspect, le groupe s’avança et rentra discrètement dans le bâtiment. Il arriva dans un grand hall, traversé par une rangée de poutre en bois. Soudain, l’elfe s’arrêta et posa un genou au sol. Il tendit sa main vers un liquide rouge.

Eniarel – C’est bien ce que je pensais… c’est encore frais… donc pas de bruits…. On se retire lentement…
Rodolphe – OKKKKKKKKKKKKKKKKKEYYYYYYYYYYY !!!
Marine –
Eniarel –

Soudain, une masse informe sortie de nulle part et éclata la tête à Rodolphe, pour disparaitre aussitôt. L’autiste s’effondra, sur le sol.
Eniarel jura et se jeta à terre, prévoyant une attaque aussi fulgurante, qui ne manqua pas d’arriver mais qui se perdit derrière lui.

…. *paf*….

Marine s’écroula à terre. « Mais qu’es ce qui se passe ici ? »
Prévoyant une autre attaque, il se projeta en arrière, évitant de peut une chose qui éclata le sol à ses pieds. Mais … Non il y en a une autre qui va arriver de derrière.
Il se sentit tomber au sol sous cet impact violent.
Et les ténèbres l’engloutirent.

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Hs : Voila Re hs, juste pour dire que dans les prochains chapitre j'aurais besoin de pas mal de pseudo pour une assez courte apparition dans la fic. ( rien de bien long et glorieux mais bon )
Donc si vous êtes intéressés pour apparaitre dans un tit combat dites le moi.

P.S évitez les pseudo du style "techtobidekillerM76k23" ou "Super_mega_guerrier_des_étoiles" quand même