Note de la fic :
Publié le 26/11/2014 à 18:19:21 par Tarse
CHAPITRE 24
Nous nous embrassâmes encore. Cette fois ci, j'ouvris la bouche au bout de quelques secondes, laissant nos deux langues se mêler pour la première fois. Je pouvais sentir son souffle sur ma peau, et sa chevelure me chatouiller. Je plongeai dans son cou pour y embrasser la moindre petite parcelle de peau. Son parfum sauvage était indescriptible, à m'en donner des frissons...
- Continues... soupira-t-elle.
D'un léger mouvement je réussis à bien la placer sur la couverture, allongée, puis je descendis, lentement, vers sa poitrine, aussi loin que son son t-shirt le permettait. Ses légers gémissements, accordés à son parfum, suffisaient à me rendre fou. Sans prévenir, la lionne arracha mon t-shirt et le jeta hors de sa vue, posant ses mains de part et d'autres de mon dos.
Son souffle se faisait de plus en plus intense alors que je lui retirai son haut, laissant dévoiler un soutiens gorge épousant parfaitement ses seins séduisants. D'un coup de tête j’essaie d'enlever ce voile m'empêchant encore d'accéder au Graal, puis y parvins, non pas sans mal. Nastya essaya de me retirer mon jean, après avoir ouvert ma braguette et laissé apparaître mon pénis, dressé derrière sa leste cage de tissu. Elle le frôla de ses doigts fins par la braguette ouverte avant d'enlever soigneusement le pantalon.
Je fis de même avec le siens. Elle était là, devant moi, il ne lui restait plus que sa culotte... Rien que de voir ce corps sublime n'attendant que moi faisait se serrer mon cœur, et monter le sang dans mon bas ventre...
Ses yeux me dévoraient tout entier, suppliants de m'attaquer à son corps quasiment nu. Réagissant à cet appel, je m'empressai de lui retirer sa petite culotte, effleurant son intimité humide de mes doigts. Je l'embrassai fougueusement, alors que la pluie tombait contre la tente.
- Ne fais pas trop de bruit, les autres pourraient nous entendre...
Je continuai de l'embrasser alors que nos mains se baladaient sur le corps l'un de l'autre. J'empoignai ses deux seins fermes avec douceur, puis découvrait ses hanches, pendant qu'elle découvrait mon sexe avec ses deux mains. "Vas-y," me dit-elle, sûre.
Confiant, je m'enfonçai en elle. Les vas et viens, d'abord lents et saccadés, tendaient à devenir plus rapides et réguliers. Ma respiration était plus intense que jamais. Chaque coup de rein la faisait frémir, alors que nous nous regardions et admirions, les yeux de l'un dans ceux de l'autre, perdus dans l'instant présent. J’effleurai sa fine bouche de mes doigts, l'empêchant de gémir de toute sa voix, à quelques instants d'un orgasme passionné. De légers "Mmmh" parvenaient à s'échapper, parfois presque muets, certains avec la plus grande ardeur.
Et puis c'était terminé... Nous étions nus, allongés, l'un à côté de l'autre dans ce drap qui avait accueilli notre ardeur l'espace d'un instant, nos regards vides plongés dans nos cœurs, dans cette tente sombre.
Nous nous embrassâmes encore. Cette fois ci, j'ouvris la bouche au bout de quelques secondes, laissant nos deux langues se mêler pour la première fois. Je pouvais sentir son souffle sur ma peau, et sa chevelure me chatouiller. Je plongeai dans son cou pour y embrasser la moindre petite parcelle de peau. Son parfum sauvage était indescriptible, à m'en donner des frissons...
- Continues... soupira-t-elle.
D'un léger mouvement je réussis à bien la placer sur la couverture, allongée, puis je descendis, lentement, vers sa poitrine, aussi loin que son son t-shirt le permettait. Ses légers gémissements, accordés à son parfum, suffisaient à me rendre fou. Sans prévenir, la lionne arracha mon t-shirt et le jeta hors de sa vue, posant ses mains de part et d'autres de mon dos.
Son souffle se faisait de plus en plus intense alors que je lui retirai son haut, laissant dévoiler un soutiens gorge épousant parfaitement ses seins séduisants. D'un coup de tête j’essaie d'enlever ce voile m'empêchant encore d'accéder au Graal, puis y parvins, non pas sans mal. Nastya essaya de me retirer mon jean, après avoir ouvert ma braguette et laissé apparaître mon pénis, dressé derrière sa leste cage de tissu. Elle le frôla de ses doigts fins par la braguette ouverte avant d'enlever soigneusement le pantalon.
Je fis de même avec le siens. Elle était là, devant moi, il ne lui restait plus que sa culotte... Rien que de voir ce corps sublime n'attendant que moi faisait se serrer mon cœur, et monter le sang dans mon bas ventre...
Ses yeux me dévoraient tout entier, suppliants de m'attaquer à son corps quasiment nu. Réagissant à cet appel, je m'empressai de lui retirer sa petite culotte, effleurant son intimité humide de mes doigts. Je l'embrassai fougueusement, alors que la pluie tombait contre la tente.
- Ne fais pas trop de bruit, les autres pourraient nous entendre...
Je continuai de l'embrasser alors que nos mains se baladaient sur le corps l'un de l'autre. J'empoignai ses deux seins fermes avec douceur, puis découvrait ses hanches, pendant qu'elle découvrait mon sexe avec ses deux mains. "Vas-y," me dit-elle, sûre.
Confiant, je m'enfonçai en elle. Les vas et viens, d'abord lents et saccadés, tendaient à devenir plus rapides et réguliers. Ma respiration était plus intense que jamais. Chaque coup de rein la faisait frémir, alors que nous nous regardions et admirions, les yeux de l'un dans ceux de l'autre, perdus dans l'instant présent. J’effleurai sa fine bouche de mes doigts, l'empêchant de gémir de toute sa voix, à quelques instants d'un orgasme passionné. De légers "Mmmh" parvenaient à s'échapper, parfois presque muets, certains avec la plus grande ardeur.
Et puis c'était terminé... Nous étions nus, allongés, l'un à côté de l'autre dans ce drap qui avait accueilli notre ardeur l'espace d'un instant, nos regards vides plongés dans nos cœurs, dans cette tente sombre.