Note de la fic :
-~ The Return of Evil ~-
Par : Misaki-Senpai
Genre : Action, Fantastique
Statut : Terminée
Chapitre 36 : Un affrontement crucial
Publié le 26/10/2013 à 22:47:28 par Misaki-Senpai
Je me trouvais face à face avec le roi du Malin, Ganondorf, me dévisageant. Il avança de quelques pas, d'une lenteur certaine... Il paraissait si serein à l'idée de me faire disparaître. Suite à ceci, ou plutôt à ma perception, une longue et terrible sueur froide coula lentement dans mon dos, suite à quoi j'avalais ma salive : se trouver face à un ennemi aussi puissant, n'exprimant pas le moindre sentiment, et n'ayant en tête de seulement me tuer ne me réconfortait guère. Néanmoins, j'engageai d'un air courageux la discussion.
«- Pour le bien de tous, je me dois de ralentir l'exécution du plan que Xine a prévu.
- C... comment ? De quelle manière as-tu pu découvrir que nous préparons quelque chose ? Tsss... Tu n'es qu'un gamin insouciant, sais-tu quand même que tu risques ta misérable vie à vouloir sauver ce monde ?... Mais tout cela est vain.
- Comment ça ?... Vain ? Je n'ai pas surmonté tant et tant d'épreuves pour que toi, souverain du Malin, vienne rompre ma promesse.
- Dans ce cas-là, tu vas être obligé de me passer sur le corps, dans le but de pouvoir affronter une personne encore plus puissante que moi : Xine.
- Et tu ne vois même pas que ce sorcier te manipule comme son vulgaire pantin ? Les forces du mal sont-elles si stupides que ça ?...
- Tais-toi, risible ! hurla-t-il. Tu n'es pas même capable de m'écorcher un bras, muni d'un tel couteau !
- C'est ce que tu crois, dans ce cas-là, je veux t'affronter, maintenant.
- Sans problème, c'est la seule et unique phrase que j'attendais. Ah !
Il invoqua d'un simple geste de main une gigantesque boule d'énergie ayant une teinte variant du jaune au vert, et dégradant du noir le plus pur au blanc albâtre, en son centre. Il prit violemment mon bras, d'une poigne jamais vue ni connue puis m'attira en le pouvoir qu'il venait de faire apparaître à l'instant. Non sans mécontentement de mes amis, ni protestation.
- Où l'emmènes-tu, ordure ? demanda violemment Pryscia.
- Cela ne te concerne pas...
- Tsss, tu n'es pas apte à être un Gerudo, tu n'en a pas la dignité...
- Parle, misérable femme, mais je ne prendrais jamais compte de tes remarques simplistes..., prononça-t-il en disparaissant dans les méandres de son sombre pouvoir. »
Je me retrouvais une nouvelle fois face au terrible et ignoble souverain, mais dans un décor bien différent que celui en lequel je me trouvais précédemment : un immense horizon blanc albâtre m'entourait, et un gargantuesque mur grisonnant, accompagné de deux chaînes solides me faisait face, Ganondorf étant également dans l'axe de ma vue... Cela me rappelait sans conteste quelque chose, ou quelque part, je ne pus le savoir... Un combat difficile se profilait à l'horizon.
«- Cher Misaki... Tu ne seras plus de ce monde, avant même de t'en apercevoir, sache-le.
- Ce n'est pas avec tant de vanité que tu vas t'en sortir, tu sais ?... Et puis je ne suis pas de ce monde !
- Qu'importe, cela m'indiffère ! Viens te battre, toi qui l'a tant voulu !
- ...
Ce seigneur du Malin, cet être noir, obscur, Ganondorf. Il sortait de son flegme si apeurant. Il approchait à petit feu, d'un pas certain... Je dégainai, n'étant pas sûr de faire le bon choix. Néanmoins, je ne pouvais m'échapper, il fallait se battre, se battre pour la vie.
- Tu ne me fais pas peur, mentis-je, pour tromper ses sens affûtés.
- Ne t'inquiètes pas, cela ne m'empêchera en aucun cas de te tuer.
- Merde...
Je sortis mon bouclier, m'enduis de magie du courage, puis la libérai totalement. Mon corps ne m'appartenais presque plus, la magie en affluant de toute part. Mes yeux devinrent clairement jaune or, et une puissante aura entourait mon corps, plus puissante qu'à n'importe quel autre moment. De brillants éclairs pénétraient mon corps et en émanait, me faisant hurler de douleur : mon pouvoir commençai clairement à prendre le dessus, pourtant et heureusement, je portai encore et toujours mon précieux anneau. Malgré tout, son utilisation méritait tous mes soins, m'empêchant de succomber stupidement... Mais après avoir émis bien trop de pouvoir, il se fissura, puis éclata vivement ! De petits morceaux tombèrent sur le sol, dans un écho gargantuesque.
- Argh ! Mon... anneau ! hurlai-je, souffrant.
- Tant pis pour toi, tu vas mourir stupidement à cause d'un excès de colère ! Ha, ha, ha !
- Je ne... crois pas..., dis-je, avec peine. »
Je m'élançai, bras en avant, épée en avant sur ma cible : Ganondorf. Celui-ci plaça son bras, par réflexe et par habitude, au bon endroit et para facilement mon coup, pourtant puissant selon mes estimations. Il continua avec un enchaînement plus long, plus exigeant en rapidité, et plus harassant. La passe d'arme ferreuse prit alors fin sur une spectaculaire suite de douloureuses frappes, venant de mon adversaire. Il m'éjecta au loin d'un de ses plus puissantes bottes, ne lésinant plus sur la force déployée.
Mais alors que j'étais blessé, je pris avec poigne ma lame, et courus vers mon ennemi, harassant à cause de mon léger handicap. Je fis un incroyable coup sauté, puis retombai vivement sur l'épaule de mon ennemi... ou tout du moins, j'aurais dû. Le seigneur se décala légèrement vers l'arrière, voulant esquiver le rapide coup. Ma légendaire épée se planta, à la place, dans le mollet du souverain, le transperçant entièrement, lui soutirant un cri de souffrance immuable et long. Il baissa la tête, puis déclencha une aura aussi noire que les ténèbres nocturnes. Il plaça sa main sur sa plaie, puis fit affluer un long courant magique, apparemment conçu pour le soin : cet être connaissait un incroyable nombre de sorts et de bottes.
Il s'élança à son tour plus rapidement et techniquement que précédemment. À mon grand désavantage, je ne pouvais voir les coups qu'il me donnait, car sa vitesse avait drastiquement augmentée, même en possession partielle de mon pouvoir spécial. Après avoir subi plusieurs attaques, je fus férocement propulsé au sol, celui-ci résonant au moment de l'impact. Une traînée rougeoyante fut marquée à terre, en provenance de ma trachée. Je m'appuyai lentement sur mes mains, mes muscles me faisant souffrir. En me relevant, je toussai puis crachai un autre filet de sang carmin. En réponse à sa lourde provocation, j'enchaînai avec une dose plus importante encore en pouvoir magique, puis eu une idée pour l'anéantir discrètement, sans qu'il ne puisse s'en rendre compte : je réfléchis longuement, en prenant compte des mouvements du souverain, puis décidai de me téléporter derrière celui-ci, en utilisant mes deniers recours pour effectuer une permutation grâce à l'espace m'entourant, en ayant comme plan de le remplacer par celui que Ganondorf aurait derrière lui, juste après s'être déplacé.
Je savais que cette tâche serait difficile. Néanmoins, il me fallait la réussir si je voulais rester en vie, et revoir mes amis, ma famille, et mon foyer. Quand je repensai subitement à ma famille, à ma vraie vie, à mon ancienne existence, je ne pouvais m'empêcher d'avoir les larmes au bord de l'explosion. Je relevai la tête vers mon ennemi, les yeux brillant, avec l'espoir m'accompagnant. Je fonçai sur cet homme, tête baissé, ma paume gauche emplie de puissance magique, et ma main droite entichée de ma précieuse lame, entourée, elle aussi, de pouvoir magique d'une envergure incroyable... Au moment de l'impact, je m'enduis de pouvoir doré, puis disparus en particules lumineuse sous les yeux de mon ennemi. Je réapparus alors dans son dos, puis plaçai rapidement ma lame sous son coup, commençant à entailler légèrement. Une brève traînée rouge apparut.
«- Alors, qui d'entre nous deux va périr ?
Alerté par ces mots, l'ennemi potentiel se retourna vers mon visage, souriant d'un fort rictus. De ce regard, sortirent quelques mots, ayant pour but de me mettre en garde.
- Je n'ai pas même exercé un quart de mes forces maximales, et tu es déjà harassé.
- Tu crois que je ne peux te suivre ?... Tu te tromp...
Je n'eus le temps de finir ma phrase que cet être abominable, Ganondorf, avait d'ores et déjà envoyé sa main droite en direction de mon coup, m'étouffant lentement... J'essayai de me débattre tant bien que mal, mais sans grand résultat...
- Hung... Ah... En... foiré !...
- Parle, moucheron, tu n'es visiblement pas de taille face à moi. »
Il me jeta, suite à cela, violemment au sol puis je subis un violent coup de pied, et ce en pleine face. Ma vue se troublait, puis devint rouge...
Néanmoins, le réveil fut assez rapide, ou peut-être pas. J'eus un violent mal de crâne, puis me retrouvai attaché avec de puissantes et lourdes chaînes, sur le mur grisonnant se positionnant dans la salle où nous combattions, Ganondorf et moi. Le souverain ténébreux approcha une longue et noire lame, me rappelant sans conteste quelque chose... quelque chose de déjà vécu, ou vu. Le seigneur pris l'épée toute de noir et de fer constituée, puis me transperça violemment l'estomac avec... ou tout du moins, il essaya. La lame traversa mon flanc gauche, puis il la retira lentement. Un fort hurlement s'échappa de ma gorge, puis je serrai les dents, pour ne pas d'avantage crier.
«- Ah... espèce d'enfoiré... Tu m'attaque... alors que... Hung... Alors que je... ne suis pas en état de... de contre-attaquer.
- Tu vas périr, comme touts les autres. Ah !
- Ah... Merde... »
Je sentis l'épée pénétrer mon corps une seconde fois. Néanmoins, je contenais mes cris... Je voulus parler, mais la douleur m'en empêcha. Le seigneur me regardait d'un regard hautain, surplombé d'un rictus aux lèvres, diabolique. De plus, il apposa son énorme main sur mon crâne, puis poussa un léger cri, grave. Je tentai de me libérer, mais je ne pus. C'est alors qu'un flux magique hautement ténébreux vint se placer sur mon visage, puis pris possession de mes yeux, mes lèvres, ma trachée, et mes organes. De l'autre côté, ce fut mon cerveau qui eut droit au sort. Je sentis ma tête tomber contre ma poitrine... Je ne savais ce qu'il allait advenir de moi et de mon corps, mon esprit ainsi que ma voix disparaissaient à petit feu. Merde...
«- Pour le bien de tous, je me dois de ralentir l'exécution du plan que Xine a prévu.
- C... comment ? De quelle manière as-tu pu découvrir que nous préparons quelque chose ? Tsss... Tu n'es qu'un gamin insouciant, sais-tu quand même que tu risques ta misérable vie à vouloir sauver ce monde ?... Mais tout cela est vain.
- Comment ça ?... Vain ? Je n'ai pas surmonté tant et tant d'épreuves pour que toi, souverain du Malin, vienne rompre ma promesse.
- Dans ce cas-là, tu vas être obligé de me passer sur le corps, dans le but de pouvoir affronter une personne encore plus puissante que moi : Xine.
- Et tu ne vois même pas que ce sorcier te manipule comme son vulgaire pantin ? Les forces du mal sont-elles si stupides que ça ?...
- Tais-toi, risible ! hurla-t-il. Tu n'es pas même capable de m'écorcher un bras, muni d'un tel couteau !
- C'est ce que tu crois, dans ce cas-là, je veux t'affronter, maintenant.
- Sans problème, c'est la seule et unique phrase que j'attendais. Ah !
Il invoqua d'un simple geste de main une gigantesque boule d'énergie ayant une teinte variant du jaune au vert, et dégradant du noir le plus pur au blanc albâtre, en son centre. Il prit violemment mon bras, d'une poigne jamais vue ni connue puis m'attira en le pouvoir qu'il venait de faire apparaître à l'instant. Non sans mécontentement de mes amis, ni protestation.
- Où l'emmènes-tu, ordure ? demanda violemment Pryscia.
- Cela ne te concerne pas...
- Tsss, tu n'es pas apte à être un Gerudo, tu n'en a pas la dignité...
- Parle, misérable femme, mais je ne prendrais jamais compte de tes remarques simplistes..., prononça-t-il en disparaissant dans les méandres de son sombre pouvoir. »
Je me retrouvais une nouvelle fois face au terrible et ignoble souverain, mais dans un décor bien différent que celui en lequel je me trouvais précédemment : un immense horizon blanc albâtre m'entourait, et un gargantuesque mur grisonnant, accompagné de deux chaînes solides me faisait face, Ganondorf étant également dans l'axe de ma vue... Cela me rappelait sans conteste quelque chose, ou quelque part, je ne pus le savoir... Un combat difficile se profilait à l'horizon.
«- Cher Misaki... Tu ne seras plus de ce monde, avant même de t'en apercevoir, sache-le.
- Ce n'est pas avec tant de vanité que tu vas t'en sortir, tu sais ?... Et puis je ne suis pas de ce monde !
- Qu'importe, cela m'indiffère ! Viens te battre, toi qui l'a tant voulu !
- ...
Ce seigneur du Malin, cet être noir, obscur, Ganondorf. Il sortait de son flegme si apeurant. Il approchait à petit feu, d'un pas certain... Je dégainai, n'étant pas sûr de faire le bon choix. Néanmoins, je ne pouvais m'échapper, il fallait se battre, se battre pour la vie.
- Tu ne me fais pas peur, mentis-je, pour tromper ses sens affûtés.
- Ne t'inquiètes pas, cela ne m'empêchera en aucun cas de te tuer.
- Merde...
Je sortis mon bouclier, m'enduis de magie du courage, puis la libérai totalement. Mon corps ne m'appartenais presque plus, la magie en affluant de toute part. Mes yeux devinrent clairement jaune or, et une puissante aura entourait mon corps, plus puissante qu'à n'importe quel autre moment. De brillants éclairs pénétraient mon corps et en émanait, me faisant hurler de douleur : mon pouvoir commençai clairement à prendre le dessus, pourtant et heureusement, je portai encore et toujours mon précieux anneau. Malgré tout, son utilisation méritait tous mes soins, m'empêchant de succomber stupidement... Mais après avoir émis bien trop de pouvoir, il se fissura, puis éclata vivement ! De petits morceaux tombèrent sur le sol, dans un écho gargantuesque.
- Argh ! Mon... anneau ! hurlai-je, souffrant.
- Tant pis pour toi, tu vas mourir stupidement à cause d'un excès de colère ! Ha, ha, ha !
- Je ne... crois pas..., dis-je, avec peine. »
Je m'élançai, bras en avant, épée en avant sur ma cible : Ganondorf. Celui-ci plaça son bras, par réflexe et par habitude, au bon endroit et para facilement mon coup, pourtant puissant selon mes estimations. Il continua avec un enchaînement plus long, plus exigeant en rapidité, et plus harassant. La passe d'arme ferreuse prit alors fin sur une spectaculaire suite de douloureuses frappes, venant de mon adversaire. Il m'éjecta au loin d'un de ses plus puissantes bottes, ne lésinant plus sur la force déployée.
Mais alors que j'étais blessé, je pris avec poigne ma lame, et courus vers mon ennemi, harassant à cause de mon léger handicap. Je fis un incroyable coup sauté, puis retombai vivement sur l'épaule de mon ennemi... ou tout du moins, j'aurais dû. Le seigneur se décala légèrement vers l'arrière, voulant esquiver le rapide coup. Ma légendaire épée se planta, à la place, dans le mollet du souverain, le transperçant entièrement, lui soutirant un cri de souffrance immuable et long. Il baissa la tête, puis déclencha une aura aussi noire que les ténèbres nocturnes. Il plaça sa main sur sa plaie, puis fit affluer un long courant magique, apparemment conçu pour le soin : cet être connaissait un incroyable nombre de sorts et de bottes.
Il s'élança à son tour plus rapidement et techniquement que précédemment. À mon grand désavantage, je ne pouvais voir les coups qu'il me donnait, car sa vitesse avait drastiquement augmentée, même en possession partielle de mon pouvoir spécial. Après avoir subi plusieurs attaques, je fus férocement propulsé au sol, celui-ci résonant au moment de l'impact. Une traînée rougeoyante fut marquée à terre, en provenance de ma trachée. Je m'appuyai lentement sur mes mains, mes muscles me faisant souffrir. En me relevant, je toussai puis crachai un autre filet de sang carmin. En réponse à sa lourde provocation, j'enchaînai avec une dose plus importante encore en pouvoir magique, puis eu une idée pour l'anéantir discrètement, sans qu'il ne puisse s'en rendre compte : je réfléchis longuement, en prenant compte des mouvements du souverain, puis décidai de me téléporter derrière celui-ci, en utilisant mes deniers recours pour effectuer une permutation grâce à l'espace m'entourant, en ayant comme plan de le remplacer par celui que Ganondorf aurait derrière lui, juste après s'être déplacé.
Je savais que cette tâche serait difficile. Néanmoins, il me fallait la réussir si je voulais rester en vie, et revoir mes amis, ma famille, et mon foyer. Quand je repensai subitement à ma famille, à ma vraie vie, à mon ancienne existence, je ne pouvais m'empêcher d'avoir les larmes au bord de l'explosion. Je relevai la tête vers mon ennemi, les yeux brillant, avec l'espoir m'accompagnant. Je fonçai sur cet homme, tête baissé, ma paume gauche emplie de puissance magique, et ma main droite entichée de ma précieuse lame, entourée, elle aussi, de pouvoir magique d'une envergure incroyable... Au moment de l'impact, je m'enduis de pouvoir doré, puis disparus en particules lumineuse sous les yeux de mon ennemi. Je réapparus alors dans son dos, puis plaçai rapidement ma lame sous son coup, commençant à entailler légèrement. Une brève traînée rouge apparut.
«- Alors, qui d'entre nous deux va périr ?
Alerté par ces mots, l'ennemi potentiel se retourna vers mon visage, souriant d'un fort rictus. De ce regard, sortirent quelques mots, ayant pour but de me mettre en garde.
- Je n'ai pas même exercé un quart de mes forces maximales, et tu es déjà harassé.
- Tu crois que je ne peux te suivre ?... Tu te tromp...
Je n'eus le temps de finir ma phrase que cet être abominable, Ganondorf, avait d'ores et déjà envoyé sa main droite en direction de mon coup, m'étouffant lentement... J'essayai de me débattre tant bien que mal, mais sans grand résultat...
- Hung... Ah... En... foiré !...
- Parle, moucheron, tu n'es visiblement pas de taille face à moi. »
Il me jeta, suite à cela, violemment au sol puis je subis un violent coup de pied, et ce en pleine face. Ma vue se troublait, puis devint rouge...
Néanmoins, le réveil fut assez rapide, ou peut-être pas. J'eus un violent mal de crâne, puis me retrouvai attaché avec de puissantes et lourdes chaînes, sur le mur grisonnant se positionnant dans la salle où nous combattions, Ganondorf et moi. Le souverain ténébreux approcha une longue et noire lame, me rappelant sans conteste quelque chose... quelque chose de déjà vécu, ou vu. Le seigneur pris l'épée toute de noir et de fer constituée, puis me transperça violemment l'estomac avec... ou tout du moins, il essaya. La lame traversa mon flanc gauche, puis il la retira lentement. Un fort hurlement s'échappa de ma gorge, puis je serrai les dents, pour ne pas d'avantage crier.
«- Ah... espèce d'enfoiré... Tu m'attaque... alors que... Hung... Alors que je... ne suis pas en état de... de contre-attaquer.
- Tu vas périr, comme touts les autres. Ah !
- Ah... Merde... »
Je sentis l'épée pénétrer mon corps une seconde fois. Néanmoins, je contenais mes cris... Je voulus parler, mais la douleur m'en empêcha. Le seigneur me regardait d'un regard hautain, surplombé d'un rictus aux lèvres, diabolique. De plus, il apposa son énorme main sur mon crâne, puis poussa un léger cri, grave. Je tentai de me libérer, mais je ne pus. C'est alors qu'un flux magique hautement ténébreux vint se placer sur mon visage, puis pris possession de mes yeux, mes lèvres, ma trachée, et mes organes. De l'autre côté, ce fut mon cerveau qui eut droit au sort. Je sentis ma tête tomber contre ma poitrine... Je ne savais ce qu'il allait advenir de moi et de mon corps, mon esprit ainsi que ma voix disparaissaient à petit feu. Merde...