Note de la fic : Non notée
Confessions d'un assassin parfait.
Par : Sagedish
Genre : Action, Fantastique
Statut : Abandonnée
Chapitre 6
Publié le 16/08/2012 à 15:03:22 par Sagedish
Qui était-ce ?
Elle devait avoir environ vingt cinq ans, un bon mètres soixante quinze, un teint hâlé, des cheveux châtains qui lui tombaient sur ses épaules, ainsi qu'un visage à la fois rond et ferme.
Je ne l'avais jamais vu.
Mais que pouvais-je faire ?
Crier et m'agiter sur mon lit ? J'étais incapable d'aligner deux mots sans tousser lourdement.
M'enfuir ? C'est à peine si je pouvais remuer.
Mais pourquoi penser à la fuite ? Pourquoi avais-je ce sentiment de danger qui émanait d'elle ? Ce pouvait très bien être une tante que je ne connaissais pas, et qui avait eu vent de mon accident.
D'autres questions se bousculaient dans ma tête. Pourquoi mes parents furent retrouvés dans ma cave ? N'étaient-ils pas partis en voyages tout les deux ?
Toutes ces réflexions ne firent qu'accentuer cette horrible migraine. Je n'étais manifestement pas remis de mon accident.
Et d'ailleurs, qu'était-ce vraiment ?
Je m'étais alors rendu compte avec effroi que ce n'est pas un banal accident, que ce ne pouvait en être un. Si tout ce que j'avais vécu était bien réel, une déflagration avait détruit quasiment toute ma maison. Ce ne pouvait être une pure coïncidence.
L'infirmière se leva pour s'en aller et nous laisser seuls, affaire familiale. Je la fixais ardemment, comme en essayant de lui transmettre un message.
C'est à peine si elle daignais me regardait, peut être était-ce la fin de son service ? Au vue du crépuscule orangée dehors, ce devait bien être le cas.
J'étais désormais seul, avec une parfaite inconnue.
Elle s'approcha de moi, se pencha sur mon lit et me sussura à l'oreille :
"Tu es en sécurité, maintenant."
Elle devait avoir environ vingt cinq ans, un bon mètres soixante quinze, un teint hâlé, des cheveux châtains qui lui tombaient sur ses épaules, ainsi qu'un visage à la fois rond et ferme.
Je ne l'avais jamais vu.
Mais que pouvais-je faire ?
Crier et m'agiter sur mon lit ? J'étais incapable d'aligner deux mots sans tousser lourdement.
M'enfuir ? C'est à peine si je pouvais remuer.
Mais pourquoi penser à la fuite ? Pourquoi avais-je ce sentiment de danger qui émanait d'elle ? Ce pouvait très bien être une tante que je ne connaissais pas, et qui avait eu vent de mon accident.
D'autres questions se bousculaient dans ma tête. Pourquoi mes parents furent retrouvés dans ma cave ? N'étaient-ils pas partis en voyages tout les deux ?
Toutes ces réflexions ne firent qu'accentuer cette horrible migraine. Je n'étais manifestement pas remis de mon accident.
Et d'ailleurs, qu'était-ce vraiment ?
Je m'étais alors rendu compte avec effroi que ce n'est pas un banal accident, que ce ne pouvait en être un. Si tout ce que j'avais vécu était bien réel, une déflagration avait détruit quasiment toute ma maison. Ce ne pouvait être une pure coïncidence.
L'infirmière se leva pour s'en aller et nous laisser seuls, affaire familiale. Je la fixais ardemment, comme en essayant de lui transmettre un message.
C'est à peine si elle daignais me regardait, peut être était-ce la fin de son service ? Au vue du crépuscule orangée dehors, ce devait bien être le cas.
J'étais désormais seul, avec une parfaite inconnue.
Elle s'approcha de moi, se pencha sur mon lit et me sussura à l'oreille :
"Tu es en sécurité, maintenant."