Note de la fic : Non notée
Confessions d'un assassin parfait.
Par : Sagedish
Genre : Action, Fantastique
Statut : Abandonnée
Chapitre 3
Publié le 16/08/2012 à 09:51:01 par Sagedish
Après une journée de "glande", caractéristique des jeunes diront certains, j'allais au lit, une fois la nuit tombée.
Pour bien comprendre ce qui s'est passé, j'aurais besoin d'un effort d'imagination de votre part. Imaginez ma chambre tel un rectangle. Le coté gauche en longueur donne sur la façade. Collé au mur de droite, se trouve mon lit, et là où j'étais donc endormi. Ma chambre faisait environ 15 mètres carrés.
Après avoir fait une toilette des plus succincte, je m'allongeais, m'emmitouflant dans mes couvertures, et m'assoupissait, allant vers un sommeil profond.
Alors que j'étais dans les bras de Morphée depuis plusieurs heures je pense, une chose effroyable se produisit.
Une déflagration surgit. Une explosion si intense qu'elle fit voler le mur de briques de la façade, pour la faire s'effondrer de mon coté. Cette secousse me projeta avec une violence inouïe contre le mur opposé, m'étourdissant et me brisant très certainement quelques côtes au passages. Le lit ayant été projeté, je gisais au sol, sans vis. Le tout avec une froide brise de nuit de printemps sur mon visage ensanglanté, venant de la façade ouverte et calciné, donnant sur ma rue endormi.
Alors que j'allais vers un coma certain, le sol se déroba sous mon corps. Tout un pan du plancher s'effondra. J'atterris lourdement à l'étage en dessous. Je ne sais plus ou j'étais, mais une chose fut certain.
J'ai été mort.
Pour bien comprendre ce qui s'est passé, j'aurais besoin d'un effort d'imagination de votre part. Imaginez ma chambre tel un rectangle. Le coté gauche en longueur donne sur la façade. Collé au mur de droite, se trouve mon lit, et là où j'étais donc endormi. Ma chambre faisait environ 15 mètres carrés.
Après avoir fait une toilette des plus succincte, je m'allongeais, m'emmitouflant dans mes couvertures, et m'assoupissait, allant vers un sommeil profond.
Alors que j'étais dans les bras de Morphée depuis plusieurs heures je pense, une chose effroyable se produisit.
Une déflagration surgit. Une explosion si intense qu'elle fit voler le mur de briques de la façade, pour la faire s'effondrer de mon coté. Cette secousse me projeta avec une violence inouïe contre le mur opposé, m'étourdissant et me brisant très certainement quelques côtes au passages. Le lit ayant été projeté, je gisais au sol, sans vis. Le tout avec une froide brise de nuit de printemps sur mon visage ensanglanté, venant de la façade ouverte et calciné, donnant sur ma rue endormi.
Alors que j'allais vers un coma certain, le sol se déroba sous mon corps. Tout un pan du plancher s'effondra. J'atterris lourdement à l'étage en dessous. Je ne sais plus ou j'étais, mais une chose fut certain.
J'ai été mort.