Note de la fic : Non notée
Confessions d'un assassin parfait.
Par : Sagedish
Genre : Action, Fantastique
Statut : Abandonnée
Chapitre 4
Publié le 16/08/2012 à 10:19:06 par Sagedish
Le vide totale. Combien de temps ai-je été dans cet état de sommeil ? Je ne sais plus. Quoiqu'il en soit, essayez de vous imaginez un cauchemar ou l'on meurt. Et plutôt que de vous réveillez en sursaut, vous arriviez dans un autre cauchemar, avec un autre danger, et ce en boucle, encore et encore.
Voilà ce que j'ai ressenti.
Mon réveil fut l'une des choses les plus douloureuses qu'il m'ait été donné de vivre, mon regard fut flou et assez paniqué. Je voulais crier, mais un tube m'en empêchait. Je n'entendais rien, et je fus incapable de remuer le moindre de mes membres, mes bras étant suspendus en l'air, et je n'arrivais pas à mouvoir non plus mes jambes, même si dans un bref accès de lucidité, je me félicitais de pouvoir les sentir, sentir la douleur effroyables qu'elles me provoquaient.
Une fois que mon regard était revenu à la normal, et que j'étais en mesure de distinguer mon environnement, j'arrivais à savoir où j'étais.
J'étais allongé dans une chambre individuel, assez spacieuse, d'un blanc immaculé caractéristiques des hôpitaux.
J'essayais de voir mon corps, mais je ne pus pas pencher mon cou trop en avant. Néanmoins, il semblerait qu'en plus de mes bras suspendus, mes jambes était maintenu par deux attelles posé sur le lit. Mon torse quand à lui fut littéralement momifié de part et d'autres, suggérant probablement de nombreuse côtes cassés. De plus, comme pour conclure en beauté, j'étais certain d'avoir au coup une minerve. J'avais un aspect ridicule et caricatural.
J'entendais des vibrations provenant de mon coté gauche, à l'entrée de ma chambre. Ce fut une infirmière, la trentaine, brune et petite, avec des talons qui a défaut d'être pointues, ne faisait qu'accentuer mon mal de crâne, mon ouïe semblait en effet revenir petit à petit à la normal, passant d'un silence à un bourdonnement, d'un bourdonnement à un murmure, et d'un murmure à des bribes de phrases.
-Vous... réveillé ?
Comme réponse, elle n'eut rien d'autre qu'un bruit étouffé, le tube que j'avais dans la gorge fut assez invasif, depuis combien de temps était-je ici. Et mes parents, savait-il que j'étais là ?! Ma famille, la maison...
Peu après ces pensées, j'étais pris d'une incontrôlable crise de paniques, qui se traduisait visuellement par des spasmes violent, accentué par mon incapacité à me mouvoir et ce fichu bout de plastique dans mon Œsophage.
L'aide soignante n'hésita pas une seconde, elle lança un appel vers le couloir, et en seulement quelques secondes, j'étais maintenu sur mon lit, tandis qu'on m'administrait une piqûre, un calmant très certainement.
Ma vision se fit plus trouble, et je sombrais dans un sommeil lourd.
Voilà ce que j'ai ressenti.
Mon réveil fut l'une des choses les plus douloureuses qu'il m'ait été donné de vivre, mon regard fut flou et assez paniqué. Je voulais crier, mais un tube m'en empêchait. Je n'entendais rien, et je fus incapable de remuer le moindre de mes membres, mes bras étant suspendus en l'air, et je n'arrivais pas à mouvoir non plus mes jambes, même si dans un bref accès de lucidité, je me félicitais de pouvoir les sentir, sentir la douleur effroyables qu'elles me provoquaient.
Une fois que mon regard était revenu à la normal, et que j'étais en mesure de distinguer mon environnement, j'arrivais à savoir où j'étais.
J'étais allongé dans une chambre individuel, assez spacieuse, d'un blanc immaculé caractéristiques des hôpitaux.
J'essayais de voir mon corps, mais je ne pus pas pencher mon cou trop en avant. Néanmoins, il semblerait qu'en plus de mes bras suspendus, mes jambes était maintenu par deux attelles posé sur le lit. Mon torse quand à lui fut littéralement momifié de part et d'autres, suggérant probablement de nombreuse côtes cassés. De plus, comme pour conclure en beauté, j'étais certain d'avoir au coup une minerve. J'avais un aspect ridicule et caricatural.
J'entendais des vibrations provenant de mon coté gauche, à l'entrée de ma chambre. Ce fut une infirmière, la trentaine, brune et petite, avec des talons qui a défaut d'être pointues, ne faisait qu'accentuer mon mal de crâne, mon ouïe semblait en effet revenir petit à petit à la normal, passant d'un silence à un bourdonnement, d'un bourdonnement à un murmure, et d'un murmure à des bribes de phrases.
-Vous... réveillé ?
Comme réponse, elle n'eut rien d'autre qu'un bruit étouffé, le tube que j'avais dans la gorge fut assez invasif, depuis combien de temps était-je ici. Et mes parents, savait-il que j'étais là ?! Ma famille, la maison...
Peu après ces pensées, j'étais pris d'une incontrôlable crise de paniques, qui se traduisait visuellement par des spasmes violent, accentué par mon incapacité à me mouvoir et ce fichu bout de plastique dans mon Œsophage.
L'aide soignante n'hésita pas une seconde, elle lança un appel vers le couloir, et en seulement quelques secondes, j'étais maintenu sur mon lit, tandis qu'on m'administrait une piqûre, un calmant très certainement.
Ma vision se fit plus trouble, et je sombrais dans un sommeil lourd.