Note de la fic :
Publié le 17/05/2012 à 22:51:41 par WhatCanIDo
Grégory.
J'attendais impatiemment le retour de notre professeur. Enfin plutôt du professeur, les autres étaient partis, quelle bande d'abrutis. Ce cours d'histoire était très enrichissant pour moi. Cela me rafraîchissait la mémoire, infestée par les conneries des autres membres de la classe.
Bref, je patientais un gros quart d'heure avec des sacrés bruits dans les couloirs. Mais m'absenter moi aussi, ce n'était pas sérieux. Finalement, monsieur Laulet arriva en sifflotant, des copies à la main. Subjugué, il ôta ses lunettes, se frotta longuement les yeux puis regarda à nouveau.
- Mais, mais.. Ils sont où ?
- Ils sont tous partis, monsieur.
- Pourquoi ? J'suis responsable moi, si y'a des blessés je vais me faire tuer..
- Samy voulait frapper Elodie, monsieur. S'en est suivie une course poursuite dans les couloirs et les autres ont tous suivi comme des moutons. Je peux avoir un bonbon en récompense d'être resté ?
Laulet lui donna son bonbon, en signe de pitié pour son élève au cas désespéré.
- Bon.. Ils sont où ?
- Aucune idée.
- Viens avec moi..
A ce moment-là, où je me levai, un bruit terrassant nous fit frissonner. Celui d'une arme. j'eus instantanément une chair de poule horrifiante, persuadé que Samy était l'auteur de ce tir.
Bégayant et balbutiant comme une victime, je demandai au prof :
- M-m-monsieur, on fait quoi ?
- Restons-là va.
Quelques mètres plus loin.
Natacha.
J'avais suivi la troupe, logiquement, pour ne pas me sentir exclue et me faire passer pour une fayote. Mais quand je vis cet objet, brillant, sortir de la poche de Samy, mon coeur se mit à exploser, pulvérisant son record de battements à la minute. Samy était maintenant le chef, le dictateur intouchable. Au début, j'eus peur qu'il ne passe pas à un acte de viol ou autre, mais il s'en est abstenu. Cependant, il n'était clément et aimable avec la classe, nous parlant comme des chiens. En premier lieu, il s'en prit à Elodie en la frappant gravement au visage d'un coup de poing d'une rare puissance. Celle-ci s'écroula nette sur le coup du choc, sûrement évanouie.
L'autre n'eut même pas une sursaut, un sentiment qui lui échappa, il s'en foutait. Ensuite, il la visa longuement avec son colt, le regard noir et atroce. Au moment où il pressa la gâchette pour en finir avec sa victime, sous les yeux ébahis des autres, Elodie se releva on ne sait comment et esquiva la balle d'une roulade au sol, tel un félin. D'une dextérité astronomique, elle parvint à se remettre sur ses jambes et exécuter un coup de pied en pleine tête à Samy dans le feu de l'action. Il n'eut pas le temps de tirer une seconde fois. Elodie resta immobile pendant vingt secondes, où l'on vint la féliciter tandis que Pierre-Louis se chargea de récupérer l'arme de la racaille, couchée.
Elodie se rendit par la suite peu à peu compte de son exploit. Elle fut couvert de baisers par les filles de la classe, tandis que le wesh ne reprit pas connaissance.
Lorsque le prof arriva, en panique, il constata les dégâts. Il compta les élèves, sans mots et s'arrêta net :
- 23-24 avec Grégory.. Il en manque un ! Oh putain il en manque un ! Elle est où Elodie ?
Surpris, tous les élèves se mirent à regarder autour d'eux. Moi y compris. Elle avait pris la fuite, dans une discrétion infernale. Laulet péta un plomb :
- Vous avez cinq minutes pour me la retrouver, sinon, je.. Ah ben non ça ne servirait à rien, de toute façon votre destin est déjà scellé, bandes de p'tits cons.
- Monsieur, j'peux avoir un autre bonbon s'il vous..
- Ta gueule toi.
La suite ? Vous l'apprécierez sûrement moins.
J'attendais impatiemment le retour de notre professeur. Enfin plutôt du professeur, les autres étaient partis, quelle bande d'abrutis. Ce cours d'histoire était très enrichissant pour moi. Cela me rafraîchissait la mémoire, infestée par les conneries des autres membres de la classe.
Bref, je patientais un gros quart d'heure avec des sacrés bruits dans les couloirs. Mais m'absenter moi aussi, ce n'était pas sérieux. Finalement, monsieur Laulet arriva en sifflotant, des copies à la main. Subjugué, il ôta ses lunettes, se frotta longuement les yeux puis regarda à nouveau.
- Mais, mais.. Ils sont où ?
- Ils sont tous partis, monsieur.
- Pourquoi ? J'suis responsable moi, si y'a des blessés je vais me faire tuer..
- Samy voulait frapper Elodie, monsieur. S'en est suivie une course poursuite dans les couloirs et les autres ont tous suivi comme des moutons. Je peux avoir un bonbon en récompense d'être resté ?
Laulet lui donna son bonbon, en signe de pitié pour son élève au cas désespéré.
- Bon.. Ils sont où ?
- Aucune idée.
- Viens avec moi..
A ce moment-là, où je me levai, un bruit terrassant nous fit frissonner. Celui d'une arme. j'eus instantanément une chair de poule horrifiante, persuadé que Samy était l'auteur de ce tir.
Bégayant et balbutiant comme une victime, je demandai au prof :
- M-m-monsieur, on fait quoi ?
- Restons-là va.
Quelques mètres plus loin.
Natacha.
J'avais suivi la troupe, logiquement, pour ne pas me sentir exclue et me faire passer pour une fayote. Mais quand je vis cet objet, brillant, sortir de la poche de Samy, mon coeur se mit à exploser, pulvérisant son record de battements à la minute. Samy était maintenant le chef, le dictateur intouchable. Au début, j'eus peur qu'il ne passe pas à un acte de viol ou autre, mais il s'en est abstenu. Cependant, il n'était clément et aimable avec la classe, nous parlant comme des chiens. En premier lieu, il s'en prit à Elodie en la frappant gravement au visage d'un coup de poing d'une rare puissance. Celle-ci s'écroula nette sur le coup du choc, sûrement évanouie.
L'autre n'eut même pas une sursaut, un sentiment qui lui échappa, il s'en foutait. Ensuite, il la visa longuement avec son colt, le regard noir et atroce. Au moment où il pressa la gâchette pour en finir avec sa victime, sous les yeux ébahis des autres, Elodie se releva on ne sait comment et esquiva la balle d'une roulade au sol, tel un félin. D'une dextérité astronomique, elle parvint à se remettre sur ses jambes et exécuter un coup de pied en pleine tête à Samy dans le feu de l'action. Il n'eut pas le temps de tirer une seconde fois. Elodie resta immobile pendant vingt secondes, où l'on vint la féliciter tandis que Pierre-Louis se chargea de récupérer l'arme de la racaille, couchée.
Elodie se rendit par la suite peu à peu compte de son exploit. Elle fut couvert de baisers par les filles de la classe, tandis que le wesh ne reprit pas connaissance.
Lorsque le prof arriva, en panique, il constata les dégâts. Il compta les élèves, sans mots et s'arrêta net :
- 23-24 avec Grégory.. Il en manque un ! Oh putain il en manque un ! Elle est où Elodie ?
Surpris, tous les élèves se mirent à regarder autour d'eux. Moi y compris. Elle avait pris la fuite, dans une discrétion infernale. Laulet péta un plomb :
- Vous avez cinq minutes pour me la retrouver, sinon, je.. Ah ben non ça ne servirait à rien, de toute façon votre destin est déjà scellé, bandes de p'tits cons.
- Monsieur, j'peux avoir un autre bonbon s'il vous..
- Ta gueule toi.
La suite ? Vous l'apprécierez sûrement moins.