Note de la fic :
Publié le 17/05/2012 à 22:49:37 par WhatCanIDo
Noé retira donc sa tête de chien battu et réagit, plutôt dans la violence. C'est sur ces paroles que je passe le relais de la narration à Gaël, spectateur non-neutre de la scène qui se déroulait devant ses yeux.
Gaël.
" Je vis Noé descendre du bus juste devant Rachel qui portait un décolleté hallucinant. Mais j'eus vite fini de loucher sur ses seins car Samy vint choper Noé dès qu'il posa le pied à terre, verbalement. Je n'entendis pas exactement ce qu'il lui avait dit mais ses propos ne devaient pas être tendre. Noé ne se laissa pas faire facilement et eut un réflexe intelligent et véloce qui laissa sur place le wesh. Aussitôt je repensais à mon graph'. Samy aurait pu croire que Nono en était l'auteur. Et ce dernier était en danger, sûrement à cause de moi. Je ne pouvais pas laisser faire ça et intervins en courant dans le feu de l'action.
A ce moment là, mon acolyte avait pris le dessus sur la racaille, le maîtrisant parfaitement, le bras autour de son cou. Pilou, Seb et Jean arrivèrent à leur tour. Ils étaient en train de discuter mais eurent rapidement aperçus l'événement. "
Tout ce produisit en dehors de l'enceinte du lycée Ynoga et les surveillants n'avaient pas dans leur ligne de mire le spectacle. Et c'est un personnage, inconnu encore à vous, chers lecteurs, qui fera son apparition dans cette baston, pleine de tensions. Je vous présente Dimitri :
" Salut moi c'est Dimitri, le frère de Pilou. Considéré comme la montagne du lycée, je suis aussi handballeur. Mon but dans la vie n'est pas de serrer des nanas et me la raconter, mais plutôt aider les plus faibles que moi, étant avantagé par mon physique auquel personne n'ose réellement s'opposer et s'affronter. Je m'en fous un peu des cours mais je m'en tiens à mon simplet 10 de moyenne. En attendant, j'aimerais bien décrocher un poste dans la police pour jouer un peu les super-héros. Passons, je veux que la scolarité de mon p'tit frère se passe au mieux d'autant plus que la situation n'est point au mieux à la maison. En attendant, je vous décris ce moment intense, où j'arrivai en courant. Pilou m'avait déjà prévenu la veille qu'un incident aurait pu avoir lieu.
Noé maîtrisait donc son homologue en l'étouffant. Il l'enchaîna de lourdes béquilles dans la cuisse qui devait faire souffrir l'autre, puis il fouilla dans sa poche. Instinctivement, il répliqua :
- Touche pas à ça wesh !
Noé sortit de force le téléphone de Samy directement de sa poche. Celui-ci était déjà allumé. Ensuite, Noé demanda de l'aide. Je débarquai à toute vitesse et contenus Samy et le tabassais à coups de pied. Alors sous le coup de la torture, Noé eut l'idée de demander les contacts à Samy.
- Alors, c'est qui les mecs de ce soir ?
- Vas-y je te le dirai pas wesh sale fils de p*te.
Samy me cracha au visage et essaya de se débattre tel un chien, en vain. Il fut obligé de cracher autre chose, la vérité.
- Les noms où je te castre avec une batte de baseball.
Quant à moi, j'accentuai la douleur pour que l'autre ne puisse développer aucune résistance.
- Ok ok, Ibrahim ! J'te jure c'est vrai wesh, lâche-moi ça fait mal toi le gros !
Ensuite, Noé appela le contact 'Ibrahim' et rendit le téléphone à Samy.
- Maintenant, annule le rendez-vous de ce soir ou sinon on t'enterre sur place.
Je pensais que Noé avait fait le boulot là-dessus, que rien ne pourrait empirer et que l'affaire était dans le sac, mais le contraire se produisit, devant nos yeux ébahis, impuissants.
- Salut mec, ce soir finalement ce sera du lourd, ramène toute la troupe et n'hésitez pas à vous équiper s'tu vois c'que je veux dire wesh. A toute.
Le salaud..
Noé.
- Salut mec, ce soir finalement ce sera du lourd, ramène toute la troupe et n'hésitez pas à vous équiper s'tu vois c'que je veux dire wesh. A toute.
Ces paroles défilèrent dans ma tête le reste de la journée. Quel enfoiré. Il s'était sacrifié pour frapper encore plus fort le soir venu. Directement, Dimitri le relâcha sans un mot, n'osa même pas le frapper, et Samy s'en alla comme si de rien était, en marchant, tranquille.
Moi j'étais tétanisé, encore plus mal au point, et je venais de faire chuter à néant mes chances de survie. Pas mal de gens vinrent me réconforter et me dire que tout irait bien ce soir, mais j'avais le moral à zéro. Comment m'en sortir ? Même le décolleté ahurissant de Rachel ne me faisait ni chaud ni froid.. Perdu, abattu par un coup de massue qui détruisait petit à petit mon esprit..
Gaël.
" Je vis Noé descendre du bus juste devant Rachel qui portait un décolleté hallucinant. Mais j'eus vite fini de loucher sur ses seins car Samy vint choper Noé dès qu'il posa le pied à terre, verbalement. Je n'entendis pas exactement ce qu'il lui avait dit mais ses propos ne devaient pas être tendre. Noé ne se laissa pas faire facilement et eut un réflexe intelligent et véloce qui laissa sur place le wesh. Aussitôt je repensais à mon graph'. Samy aurait pu croire que Nono en était l'auteur. Et ce dernier était en danger, sûrement à cause de moi. Je ne pouvais pas laisser faire ça et intervins en courant dans le feu de l'action.
A ce moment là, mon acolyte avait pris le dessus sur la racaille, le maîtrisant parfaitement, le bras autour de son cou. Pilou, Seb et Jean arrivèrent à leur tour. Ils étaient en train de discuter mais eurent rapidement aperçus l'événement. "
Tout ce produisit en dehors de l'enceinte du lycée Ynoga et les surveillants n'avaient pas dans leur ligne de mire le spectacle. Et c'est un personnage, inconnu encore à vous, chers lecteurs, qui fera son apparition dans cette baston, pleine de tensions. Je vous présente Dimitri :
" Salut moi c'est Dimitri, le frère de Pilou. Considéré comme la montagne du lycée, je suis aussi handballeur. Mon but dans la vie n'est pas de serrer des nanas et me la raconter, mais plutôt aider les plus faibles que moi, étant avantagé par mon physique auquel personne n'ose réellement s'opposer et s'affronter. Je m'en fous un peu des cours mais je m'en tiens à mon simplet 10 de moyenne. En attendant, j'aimerais bien décrocher un poste dans la police pour jouer un peu les super-héros. Passons, je veux que la scolarité de mon p'tit frère se passe au mieux d'autant plus que la situation n'est point au mieux à la maison. En attendant, je vous décris ce moment intense, où j'arrivai en courant. Pilou m'avait déjà prévenu la veille qu'un incident aurait pu avoir lieu.
Noé maîtrisait donc son homologue en l'étouffant. Il l'enchaîna de lourdes béquilles dans la cuisse qui devait faire souffrir l'autre, puis il fouilla dans sa poche. Instinctivement, il répliqua :
- Touche pas à ça wesh !
Noé sortit de force le téléphone de Samy directement de sa poche. Celui-ci était déjà allumé. Ensuite, Noé demanda de l'aide. Je débarquai à toute vitesse et contenus Samy et le tabassais à coups de pied. Alors sous le coup de la torture, Noé eut l'idée de demander les contacts à Samy.
- Alors, c'est qui les mecs de ce soir ?
- Vas-y je te le dirai pas wesh sale fils de p*te.
Samy me cracha au visage et essaya de se débattre tel un chien, en vain. Il fut obligé de cracher autre chose, la vérité.
- Les noms où je te castre avec une batte de baseball.
Quant à moi, j'accentuai la douleur pour que l'autre ne puisse développer aucune résistance.
- Ok ok, Ibrahim ! J'te jure c'est vrai wesh, lâche-moi ça fait mal toi le gros !
Ensuite, Noé appela le contact 'Ibrahim' et rendit le téléphone à Samy.
- Maintenant, annule le rendez-vous de ce soir ou sinon on t'enterre sur place.
Je pensais que Noé avait fait le boulot là-dessus, que rien ne pourrait empirer et que l'affaire était dans le sac, mais le contraire se produisit, devant nos yeux ébahis, impuissants.
- Salut mec, ce soir finalement ce sera du lourd, ramène toute la troupe et n'hésitez pas à vous équiper s'tu vois c'que je veux dire wesh. A toute.
Le salaud..
Noé.
- Salut mec, ce soir finalement ce sera du lourd, ramène toute la troupe et n'hésitez pas à vous équiper s'tu vois c'que je veux dire wesh. A toute.
Ces paroles défilèrent dans ma tête le reste de la journée. Quel enfoiré. Il s'était sacrifié pour frapper encore plus fort le soir venu. Directement, Dimitri le relâcha sans un mot, n'osa même pas le frapper, et Samy s'en alla comme si de rien était, en marchant, tranquille.
Moi j'étais tétanisé, encore plus mal au point, et je venais de faire chuter à néant mes chances de survie. Pas mal de gens vinrent me réconforter et me dire que tout irait bien ce soir, mais j'avais le moral à zéro. Comment m'en sortir ? Même le décolleté ahurissant de Rachel ne me faisait ni chaud ni froid.. Perdu, abattu par un coup de massue qui détruisait petit à petit mon esprit..