Note de la fic :
Publié le 17/05/2012 à 22:51:12 par WhatCanIDo
Juliette.
Pourquoi a-t-elle fait ça ? Elle est enceinte et comptait se suicider ou quoi ? Elle est complètement folle. Ca se voyait qu'elle n'était pas sûre d'elle et qu'elle connaissait son destin. Sauf que maintenant elle ne l'a plus entre ses mains comme on dit. Oui je fais exprès de répéter "elle". J'admire son côté rebelle qu'elle venait de développer, mais Elodie avait clairement abusé sur ce coup. Evidemment, j'avais suivi la foule. De une pour la défendre car malgré la jalousie que j'éprouve envers elle, parce que tout lui réussit, et de deux parce la vie du citoyen athénien je suis pas fan.
Dans la précipitation et la panique, presque tout le monde avait déserté, inconscients des risques que l'on encourrait. Déjà que les profs étaient alliés entre eux contre nous, ils ne le nous pardonnerons jamais. Je dis nous car malgré les conflits, la classe devra s'unir contre les menaces qui pèsent et agiront bientôt, et je ne suis pas la seule à penser ça. M'enfin..
En attendant, je crois bien que seul Grégory est resté, calmement assis(e) sur sa chaise, au premier rang, attendant tranquillement le retour du professeur. Même Charles-Honoré est sorti c'est dire. Tandis que Kevin, il en a profité pour aller pisser. Après tout il a pas le temps de passer par la case toilette quand il rentre chez lui.
J'imagine même pas la réaction du prof quand il retournera dans la salle..
Bref, revenons au vif du sujet, vous vous en battez de savoir que Grégory va tailler une pipe à monsieur Laulet. Quoi ? Merde je l'ai dit. Bref.
Le lycée est, en un mot, monstrueux. Sa taille effarante fait peur à n'importe quel seconde. Même nous, présents depuis une semaine, le bahut ne nous fait pas encore confiance. Comment vous le décrire sérieusement ? Je ne sais pas. En tout cas, je courrais, à côté de Manon et Luana, deux filles pour qui je m'étais pas mal attachée, bien que ce n'étaient pas encore de très bonnes amies, potables quoi. On allait moins vite que les furets de devant, Elodie et Samy. Derrière suivaient Noé, Pierre-Louis, Sébastien, Gaël et Jean, faisant tous plus d'1m80, facile avec des jambes d'autruche (oui j'ai pas trouvé mieux comme comparaison).
Bref, et au loin je vis Elodie tout donner pour échapper à son prédateur mais celui-ci était déchaîné, intraitable, la bave coulant au long de sa bouche ensanglantée. Il était sur ses talons, à peine à cinq mètres. Soudainement, celle-ci tapa une dernière accélération, allant au bout de ses forces, dans un très long couloir d'environ 100 mètres.
Le problème, Elodie s'en rendit rapidement compte, c'était un cul-de-sac.. Fichue, elle était fichue, l'autre allait lui sauter dessus et la croquer.
Arrivée au bout du bout, le mur la stoppa donc logiquement dans son élan. Elle s'arrêta donc net devant. Samy la rejoignit. Elle hurla. Noé débusqua derrière. Samy fut tellement concentré sur sa proie qu'il n'avait même pas regardé derrière lui. Il leva la main, prêt à claquer Elodie et à ce moment-là Nono arriva dans son dos et lui exécuta un ciseau majestueux dans son dos avec son pied, d'un geste acrobatique. Il chaussait du 45 je crois bien.. Il l'a senti passé l'Samy..
L'autre bouffa par la suite le parquet. Il resta longuement au sol, le visage encore plus amoché, l'air encore plus revanchard. On avait fait un boucan pas possible dans le bâtiment..
D'un seul coup il se releva, exténué et en ayant marre d'être victimiser. Il fouilla d'une extrême vitesse dans sa poche et le pire arriva. Oui, il sortit un pistolet et le tendit en l'air, histoire de le montrer à tout le monde et faire trembler toute la classe, tous bouches bées, y compris moi bien sûr.
Dans un silence brûlant et horrifiant, il prit la parole :
- Alors vous faites moins les malins hein ? Maintenant, c'est moi qui décide de tout. Vous faites pas ce que je dis, j'hésite pas à tirer j'vous promets wesh. Mains en l'air déjà, tous, sans exception. Sans exception j'ai dit toi wesh !
- Q-q-q-qui moi ?
- Dépêche-toi fils de p*te !
- Non Samy ne tire pas ! Nooooooooon !
Pourquoi a-t-elle fait ça ? Elle est enceinte et comptait se suicider ou quoi ? Elle est complètement folle. Ca se voyait qu'elle n'était pas sûre d'elle et qu'elle connaissait son destin. Sauf que maintenant elle ne l'a plus entre ses mains comme on dit. Oui je fais exprès de répéter "elle". J'admire son côté rebelle qu'elle venait de développer, mais Elodie avait clairement abusé sur ce coup. Evidemment, j'avais suivi la foule. De une pour la défendre car malgré la jalousie que j'éprouve envers elle, parce que tout lui réussit, et de deux parce la vie du citoyen athénien je suis pas fan.
Dans la précipitation et la panique, presque tout le monde avait déserté, inconscients des risques que l'on encourrait. Déjà que les profs étaient alliés entre eux contre nous, ils ne le nous pardonnerons jamais. Je dis nous car malgré les conflits, la classe devra s'unir contre les menaces qui pèsent et agiront bientôt, et je ne suis pas la seule à penser ça. M'enfin..
En attendant, je crois bien que seul Grégory est resté, calmement assis(e) sur sa chaise, au premier rang, attendant tranquillement le retour du professeur. Même Charles-Honoré est sorti c'est dire. Tandis que Kevin, il en a profité pour aller pisser. Après tout il a pas le temps de passer par la case toilette quand il rentre chez lui.
J'imagine même pas la réaction du prof quand il retournera dans la salle..
Bref, revenons au vif du sujet, vous vous en battez de savoir que Grégory va tailler une pipe à monsieur Laulet. Quoi ? Merde je l'ai dit. Bref.
Le lycée est, en un mot, monstrueux. Sa taille effarante fait peur à n'importe quel seconde. Même nous, présents depuis une semaine, le bahut ne nous fait pas encore confiance. Comment vous le décrire sérieusement ? Je ne sais pas. En tout cas, je courrais, à côté de Manon et Luana, deux filles pour qui je m'étais pas mal attachée, bien que ce n'étaient pas encore de très bonnes amies, potables quoi. On allait moins vite que les furets de devant, Elodie et Samy. Derrière suivaient Noé, Pierre-Louis, Sébastien, Gaël et Jean, faisant tous plus d'1m80, facile avec des jambes d'autruche (oui j'ai pas trouvé mieux comme comparaison).
Bref, et au loin je vis Elodie tout donner pour échapper à son prédateur mais celui-ci était déchaîné, intraitable, la bave coulant au long de sa bouche ensanglantée. Il était sur ses talons, à peine à cinq mètres. Soudainement, celle-ci tapa une dernière accélération, allant au bout de ses forces, dans un très long couloir d'environ 100 mètres.
Le problème, Elodie s'en rendit rapidement compte, c'était un cul-de-sac.. Fichue, elle était fichue, l'autre allait lui sauter dessus et la croquer.
Arrivée au bout du bout, le mur la stoppa donc logiquement dans son élan. Elle s'arrêta donc net devant. Samy la rejoignit. Elle hurla. Noé débusqua derrière. Samy fut tellement concentré sur sa proie qu'il n'avait même pas regardé derrière lui. Il leva la main, prêt à claquer Elodie et à ce moment-là Nono arriva dans son dos et lui exécuta un ciseau majestueux dans son dos avec son pied, d'un geste acrobatique. Il chaussait du 45 je crois bien.. Il l'a senti passé l'Samy..
L'autre bouffa par la suite le parquet. Il resta longuement au sol, le visage encore plus amoché, l'air encore plus revanchard. On avait fait un boucan pas possible dans le bâtiment..
D'un seul coup il se releva, exténué et en ayant marre d'être victimiser. Il fouilla d'une extrême vitesse dans sa poche et le pire arriva. Oui, il sortit un pistolet et le tendit en l'air, histoire de le montrer à tout le monde et faire trembler toute la classe, tous bouches bées, y compris moi bien sûr.
Dans un silence brûlant et horrifiant, il prit la parole :
- Alors vous faites moins les malins hein ? Maintenant, c'est moi qui décide de tout. Vous faites pas ce que je dis, j'hésite pas à tirer j'vous promets wesh. Mains en l'air déjà, tous, sans exception. Sans exception j'ai dit toi wesh !
- Q-q-q-qui moi ?
- Dépêche-toi fils de p*te !
- Non Samy ne tire pas ! Nooooooooon !