Note de la fic :
Publié le 23/05/2011 à 18:57:37 par Sipro
Anthèlme se dirigea vers les râteaux d’armes d’entraînement, où se trouvaient seulement des armes en bois. Éléonore fit de même, et ils n’échangèrent pas un mot avant d’être entrer dans l’aire de combat. Les soldats qui discutaient assez près s’étaient rapprochés pour entendre quelques bribes de conversation, pour savoir qui était cet homme, et pourquoi la fille du seigneur prenait des armes. Mais, aucun son ne sortant ni de la bouche d’Anthèlme, ni de celle d’Éléonore, les soldats se contentaient de regarder et de discuter entre eux. Puis, armé d’une épée longue en bois et d’un bouclier en bois, Anthèlme s’avança vers le cercle de combat. Il fut suivit par Eléonore, armée seulement d’une épée de bois.
Ils se mirent en position et se regardèrent longuement, pour étudier la tactique à appliquer, la façon de se battre, si le style devait être agressif ou plus porté sur la défensive, si Anthèlme devait se battre normalement, et encore beaucoup d’autres questions. On avait déclaré que tous les coups étaient permis, tant qu’ils n’étaient pas fait sous la ceinture, et que le combat s’arrêterait lorsque l’un des deux combattants aurait reçu trois coups d’épée.
-Vous êtes sûre de vous battre avec simplement une épée ?
-On ne peut plus sûre. Le bouclier, c’est démodé.
-Je vois, pourtant le bouclier est encore fort usité par de nombreuses personnes, comme les paladins par exemple, du moins ceux qui ne se battent pas avec une arme à deux mains. Enfin, je vous laisse porter le premier coup.
-Trop aimable à vous, maître paladin.
-La galanterie est mon fort, mais trêve de déblatérations inutiles. Battons nous.
Autour d’eux, les soldats avaient abandonné leur entraînement pour aller contempler ce combat. La fille du seigneur se prépara, elle se mit en garde, et s’approcha doucement d’Anthèlme. Elle ne tremblait pas, elle était même plutôt confiante, et prête à se battre, du courage à revendre. Anthèlme, quant à lui, était un peu fatigué, il avait couru toute la journée, ne s’était pas réellement reposé, mais sa détermination à faire d’Éléonore son élève lui donnait une poussée de force et de bravoure.
Elle lui donna un rapide coup d’estoc. Il repoussa le coup avec son bouclier, aussi simplement et aisément que s’il se battait avec un enfant. Il se protégea à nouveau, et donna un coup dans l’épée d’Éléonore lorsque cette dernière avait essayé de la frapper au côté droit. Cette fois-ci il frappa, de façon à ce que sa frappe soit déviée par l’épée d’Éléonore. Cela s’était passé comme il l’avait prévu, et alors, une fois ce coup porté et dévié, Anthèlme fit un pas en avant, rapidement et agressivement, pour faire reculer Éléonore. Celle-ci fit quelques pas en arrière, et les soldats autour du cercle savaient désormais que la victoire appartiendrait à Anthèlme.
Anthèlme s’approcha, bouclier en avant, le plat de la lame de l’épée posée sur le bord du bouclier en haut. Il feinta une première fois en attaquant avec une estocade, puis Éléonore se protégeant sur le devant, Anthèlme transforma son coup d’estoc en attaque sur le côté gauche, en faisant tourner une fois son épée au dessus de sa tête. Éléonore reçu le coup, et déstabilisée, Anthèlme en profita pour la repousser d’un coup de bouclier, avant de lui abattre son épée sur l’épaule. Éléonore était tombée sur le sol, à la merci d’Anthèlme. Celle-ci essaya un coup d’épée, mais Anthèlme dégagea l’épée d’Éléonore d’un puissant coup de la sienne, et elle vola sur quelques mètres. Anthèlme s’approcha d’Éléonore, allongé sur le sol, essayant de reculer. Se protégeant toujours avec son bouclier, il l’acheva en lui enfonçant son épée dans le ventre.
-ça ne va pas du tout… déclara Anthèlme.
Ils se mirent en position et se regardèrent longuement, pour étudier la tactique à appliquer, la façon de se battre, si le style devait être agressif ou plus porté sur la défensive, si Anthèlme devait se battre normalement, et encore beaucoup d’autres questions. On avait déclaré que tous les coups étaient permis, tant qu’ils n’étaient pas fait sous la ceinture, et que le combat s’arrêterait lorsque l’un des deux combattants aurait reçu trois coups d’épée.
-Vous êtes sûre de vous battre avec simplement une épée ?
-On ne peut plus sûre. Le bouclier, c’est démodé.
-Je vois, pourtant le bouclier est encore fort usité par de nombreuses personnes, comme les paladins par exemple, du moins ceux qui ne se battent pas avec une arme à deux mains. Enfin, je vous laisse porter le premier coup.
-Trop aimable à vous, maître paladin.
-La galanterie est mon fort, mais trêve de déblatérations inutiles. Battons nous.
Autour d’eux, les soldats avaient abandonné leur entraînement pour aller contempler ce combat. La fille du seigneur se prépara, elle se mit en garde, et s’approcha doucement d’Anthèlme. Elle ne tremblait pas, elle était même plutôt confiante, et prête à se battre, du courage à revendre. Anthèlme, quant à lui, était un peu fatigué, il avait couru toute la journée, ne s’était pas réellement reposé, mais sa détermination à faire d’Éléonore son élève lui donnait une poussée de force et de bravoure.
Elle lui donna un rapide coup d’estoc. Il repoussa le coup avec son bouclier, aussi simplement et aisément que s’il se battait avec un enfant. Il se protégea à nouveau, et donna un coup dans l’épée d’Éléonore lorsque cette dernière avait essayé de la frapper au côté droit. Cette fois-ci il frappa, de façon à ce que sa frappe soit déviée par l’épée d’Éléonore. Cela s’était passé comme il l’avait prévu, et alors, une fois ce coup porté et dévié, Anthèlme fit un pas en avant, rapidement et agressivement, pour faire reculer Éléonore. Celle-ci fit quelques pas en arrière, et les soldats autour du cercle savaient désormais que la victoire appartiendrait à Anthèlme.
Anthèlme s’approcha, bouclier en avant, le plat de la lame de l’épée posée sur le bord du bouclier en haut. Il feinta une première fois en attaquant avec une estocade, puis Éléonore se protégeant sur le devant, Anthèlme transforma son coup d’estoc en attaque sur le côté gauche, en faisant tourner une fois son épée au dessus de sa tête. Éléonore reçu le coup, et déstabilisée, Anthèlme en profita pour la repousser d’un coup de bouclier, avant de lui abattre son épée sur l’épaule. Éléonore était tombée sur le sol, à la merci d’Anthèlme. Celle-ci essaya un coup d’épée, mais Anthèlme dégagea l’épée d’Éléonore d’un puissant coup de la sienne, et elle vola sur quelques mètres. Anthèlme s’approcha d’Éléonore, allongé sur le sol, essayant de reculer. Se protégeant toujours avec son bouclier, il l’acheva en lui enfonçant son épée dans le ventre.
-ça ne va pas du tout… déclara Anthèlme.