Note de la fic :
Publié le 21/05/2011 à 23:19:15 par Sipro
-Ah ! Ma fille chérie ! Mon émeraude ! Dis-moi, ces gens t’ont bien protégée ? Tu n’es pas blessée, j’espère ? Dis-moi !
-Non père, je ne suis pas blessée, et ces gens m’ont très bien protégée. Bien plus que la garde personnelle que tu emploie.
-Ah ! Ah ! Fort bien !
Il se tourna vers Delphia. Elle était devant le bureau, imposante dans son armure, et tous les autres étaient derrière. Le seigneur la regarda longtemps, et fixa son bureau, perplexe. Il tendit une lettre à Delphia.
-Merci d’avoir répondu à notre appel. Vous savez que ces mages ne nous rendent pas la vie facile, en se livrant sans cesse à de nouvelles invocations. Bien sûr, c’est tolérable à certains moments car ils savent les gérer, mais cette fois-ci, comme d’autres fois, ils en ont perdu le contrôle. Rendez vous à Herd, c’est là que sont les golems. Qu’Orodin guide vos pas.
-Qu’Orodin guide vos pas, mon seigneur.
Delphia se dirigea vers Anthèlme, et plongea son regard dans le sien.
-Je te laisse la charge de ce groupe, pendant 2 jours. Cela ne devrait pas me prendre plus longtemps. Tâchez de ne pas faire de bêtises, ou d’idioties.
-Nous resterons cantonnés ici, ou dans ses alentours.
-Parfait. Qu’Orodin te protège, mon disciple.
-De même pour vous, maîtresse.
Elle sorti, Anthèlme s’avança vers le bureau.
-Les bandits de la route ont étés châtiés, et le chef des brigands, installés dans la forêt est mort.
-Je n’en attendais pas moins de votre part. Voulez vous bien me donner ces armes ?
Anthèlme donna les deux fendoirs du chef bandit au seigneur, en les posant sur le bureau. Le seigneur regarda Anthèlme, longuement.
-A combien, d’après vous, s’élèvent votre récompense ?
-Juste assez pour nourrir et loger mes compagnons, mon seigneur. Pour ma part, j’ai décidé de ne plus accepter d’argent pour mes travaux ayant pour but de chasser le mal de la surface du monde. Je ne ramasserais que ce que je trouverais sur les dépouilles de mes adversaires. Et cet argent contribuera à me payer de nouvelles armes et armures, ainsi qu’à boire, à manger et un toit. Le reste, je le donnerai aux pauvres.
-Vœux de pauvreté ?
-En effet monseigneur.
-Et pourquoi donc ?
-Parce que j’ai assez profité de toutes les richesses que mes parents possédaient. Notre fortune était maigre, mais cela m’a suffit largement. Je n’ai pas besoin de beaucoup.
-Incroyable, souffla le noble, émerveillé par le discours d’Anthèlme. Vous êtes ici comme chez vous, dans ce cas. S’il y a quoi que ce soit que je puisse pour vous, n’hésitez pas.
Anthèlme leva les yeux vers la fille du seigneur, et fixa à nouveau le seigneur.
-Eh bien… Je ne suis pas vraiment sûr que vous soyez d’accord.
-Non père, je ne suis pas blessée, et ces gens m’ont très bien protégée. Bien plus que la garde personnelle que tu emploie.
-Ah ! Ah ! Fort bien !
Il se tourna vers Delphia. Elle était devant le bureau, imposante dans son armure, et tous les autres étaient derrière. Le seigneur la regarda longtemps, et fixa son bureau, perplexe. Il tendit une lettre à Delphia.
-Merci d’avoir répondu à notre appel. Vous savez que ces mages ne nous rendent pas la vie facile, en se livrant sans cesse à de nouvelles invocations. Bien sûr, c’est tolérable à certains moments car ils savent les gérer, mais cette fois-ci, comme d’autres fois, ils en ont perdu le contrôle. Rendez vous à Herd, c’est là que sont les golems. Qu’Orodin guide vos pas.
-Qu’Orodin guide vos pas, mon seigneur.
Delphia se dirigea vers Anthèlme, et plongea son regard dans le sien.
-Je te laisse la charge de ce groupe, pendant 2 jours. Cela ne devrait pas me prendre plus longtemps. Tâchez de ne pas faire de bêtises, ou d’idioties.
-Nous resterons cantonnés ici, ou dans ses alentours.
-Parfait. Qu’Orodin te protège, mon disciple.
-De même pour vous, maîtresse.
Elle sorti, Anthèlme s’avança vers le bureau.
-Les bandits de la route ont étés châtiés, et le chef des brigands, installés dans la forêt est mort.
-Je n’en attendais pas moins de votre part. Voulez vous bien me donner ces armes ?
Anthèlme donna les deux fendoirs du chef bandit au seigneur, en les posant sur le bureau. Le seigneur regarda Anthèlme, longuement.
-A combien, d’après vous, s’élèvent votre récompense ?
-Juste assez pour nourrir et loger mes compagnons, mon seigneur. Pour ma part, j’ai décidé de ne plus accepter d’argent pour mes travaux ayant pour but de chasser le mal de la surface du monde. Je ne ramasserais que ce que je trouverais sur les dépouilles de mes adversaires. Et cet argent contribuera à me payer de nouvelles armes et armures, ainsi qu’à boire, à manger et un toit. Le reste, je le donnerai aux pauvres.
-Vœux de pauvreté ?
-En effet monseigneur.
-Et pourquoi donc ?
-Parce que j’ai assez profité de toutes les richesses que mes parents possédaient. Notre fortune était maigre, mais cela m’a suffit largement. Je n’ai pas besoin de beaucoup.
-Incroyable, souffla le noble, émerveillé par le discours d’Anthèlme. Vous êtes ici comme chez vous, dans ce cas. S’il y a quoi que ce soit que je puisse pour vous, n’hésitez pas.
Anthèlme leva les yeux vers la fille du seigneur, et fixa à nouveau le seigneur.
-Eh bien… Je ne suis pas vraiment sûr que vous soyez d’accord.