Note de la fic :
Publié le 22/05/2011 à 16:00:37 par Sipro
-Non, dit Anthèlme entre deux éclats de rire, cela viendra un peu plus tard.
-Alors, nous verrons cela en temps voulu. Mais pour l’instant, voulez vous bien me laisser seule avec ma progéniture ?
-Bien, monseigneur.
Le groupe sorti de la pièce. En dehors du bureau, et dans le couloir menant à celui-ci, la tension était lourde, très lourde. Tout le monde fixait Anthèlme. Tout le monde ? Non, juste Ainarïel, et Zenya. Mais c’était déjà assez pesant.
-Je ne comprendrais jamais les humains, soupira Zenya, ils n’ont pas de tact. Surtout pas toi Anthèlme. Tu aurais du la laissée faire.
-Elle ne lui aurait surement pas demandé, si je l’avais « laissée faire ».
-Admettons, mais c’est brutal. Il y aura surement problèmes à cause de toi.
-Dans ce cas, je ferais de mon mieux pour les résoudre. Et puis, c’est sûrement du tout cuit, ça va bien se passer.
-Il ne faut pas vendre la peau de l’ours… déclara Ainarïel
-Non, il ne faut pas la vendre. Continua Anthèlme.
-Pardon ? demanda Zenya
-C’était une petite blague, déclara Anthèlme, mais vous verrez, ça ira parfaitement. Tout va bien se passer. Je le sais, car je suis Paladin.
-Je ne vois pas vraiment le rapport, Anthèlme, dit Ainarïel.
-Disons que j’ai l’habitude de ces choses là. Il suffira que je lui parle, et l’affaire sera dans le sac, en moins de temps qu’il faut le dire.
C’est à ce moment là que la fille du seigneur sortie dans le couloir. Elle avait l’air calme, posée. Elle regardait Anthèlme, et ses deux compagnes. Elle les dévisagea, tour à tour, puis leur sourit. Elle parla de sa voix douce et claire.
-J’ai tout expliqué à mon père.
-Vraiment ? répondit Zenya.
-Et je crois qu’il est d’avis à me laisser quitter le domaine familiale, ainsi que Garlach’.
-C’est une bien bonne chose. Déclara Ainarïel.
-En vérité, il est d’accord pour me laisser devenir Paladin. Je lui ai parlée de mon entraînement au combat, et de la vision que j’avais du monde. Il a dit qu’il allait en discuter avec le capitaine en chef de la garde. Et il m’a demandé deux choses.
-Quoi donc ? Demanda Ainarïel.
-Il aimerait qu’Anthèlme aille dans son bureau, pour lui parler seul à seul.
-Et la seconde chose ? Demanda Zenya.
-Je vous dirais cela, une fois qu’Anthèlme sera revenu.
Anthèlme se dirigea machinalement vers le bureau. Il avait le regard vide, médusé, et l’esprit occupé par une chose, ou plutôt une personne, la fille du seigneur. Cette fille était le genre de fille qui vous gravée l’esprit, tant sa beauté était éclatante, et son esprit remarquable. Le genre de fille que l’on ne pouvait oubliée, et dont les hommes rêvaient, et que les femmes redoutaient. Ce genre de fille était à craindre. Pour deux choses, premièrement, elle pouvait charmer une personne aussi aisément que donner la conversation avec un de ses proches. La seconde chose ne s’appliquaient qu’à certaines d’entre elles, elles étaient mortelles. C’était le cas de la fille dont Anthèlme s’était épris.
-Alors, nous verrons cela en temps voulu. Mais pour l’instant, voulez vous bien me laisser seule avec ma progéniture ?
-Bien, monseigneur.
Le groupe sorti de la pièce. En dehors du bureau, et dans le couloir menant à celui-ci, la tension était lourde, très lourde. Tout le monde fixait Anthèlme. Tout le monde ? Non, juste Ainarïel, et Zenya. Mais c’était déjà assez pesant.
-Je ne comprendrais jamais les humains, soupira Zenya, ils n’ont pas de tact. Surtout pas toi Anthèlme. Tu aurais du la laissée faire.
-Elle ne lui aurait surement pas demandé, si je l’avais « laissée faire ».
-Admettons, mais c’est brutal. Il y aura surement problèmes à cause de toi.
-Dans ce cas, je ferais de mon mieux pour les résoudre. Et puis, c’est sûrement du tout cuit, ça va bien se passer.
-Il ne faut pas vendre la peau de l’ours… déclara Ainarïel
-Non, il ne faut pas la vendre. Continua Anthèlme.
-Pardon ? demanda Zenya
-C’était une petite blague, déclara Anthèlme, mais vous verrez, ça ira parfaitement. Tout va bien se passer. Je le sais, car je suis Paladin.
-Je ne vois pas vraiment le rapport, Anthèlme, dit Ainarïel.
-Disons que j’ai l’habitude de ces choses là. Il suffira que je lui parle, et l’affaire sera dans le sac, en moins de temps qu’il faut le dire.
C’est à ce moment là que la fille du seigneur sortie dans le couloir. Elle avait l’air calme, posée. Elle regardait Anthèlme, et ses deux compagnes. Elle les dévisagea, tour à tour, puis leur sourit. Elle parla de sa voix douce et claire.
-J’ai tout expliqué à mon père.
-Vraiment ? répondit Zenya.
-Et je crois qu’il est d’avis à me laisser quitter le domaine familiale, ainsi que Garlach’.
-C’est une bien bonne chose. Déclara Ainarïel.
-En vérité, il est d’accord pour me laisser devenir Paladin. Je lui ai parlée de mon entraînement au combat, et de la vision que j’avais du monde. Il a dit qu’il allait en discuter avec le capitaine en chef de la garde. Et il m’a demandé deux choses.
-Quoi donc ? Demanda Ainarïel.
-Il aimerait qu’Anthèlme aille dans son bureau, pour lui parler seul à seul.
-Et la seconde chose ? Demanda Zenya.
-Je vous dirais cela, une fois qu’Anthèlme sera revenu.
Anthèlme se dirigea machinalement vers le bureau. Il avait le regard vide, médusé, et l’esprit occupé par une chose, ou plutôt une personne, la fille du seigneur. Cette fille était le genre de fille qui vous gravée l’esprit, tant sa beauté était éclatante, et son esprit remarquable. Le genre de fille que l’on ne pouvait oubliée, et dont les hommes rêvaient, et que les femmes redoutaient. Ce genre de fille était à craindre. Pour deux choses, premièrement, elle pouvait charmer une personne aussi aisément que donner la conversation avec un de ses proches. La seconde chose ne s’appliquaient qu’à certaines d’entre elles, elles étaient mortelles. C’était le cas de la fille dont Anthèlme s’était épris.