Note de la fic :
Publié le 23/05/2011 à 18:58:54 par Sipro
-Que voulez vous dire Anthèlme ?
-Que vous voulez devenir paladin en ne sachant manier une arme que comme un tison pour le feu. C’est vraiment mauvais. Où est passée votre maîtrise du combat, votre vigueur, votre bravoure ? J’ai placé mes trois touches en quelques secondes à peine. Je suis d’accord pour dire que les bandits que nous avons affrontés n’étaient pas très puissant, mais mettez vous à l’esprit que vous n’aurez pas toujours cette chance. Contre un enfant, ou un gobelin peut être… Mais au vu de vos prestations, vous auriez du mal avec un fermier.
-Pourtant, j’ai vraiment cru faire bien.
-Et vous vous êtes trompée. Votre positionnement, c’était vraiment mauvais. Votre pied n’était pas au bon endroit, et lorsque l’adversaire avance, on avance aussi, on ne recule pas ou alors il peut vous toucher bien plus facilement que si vous alliez sur lui. Nous verrons ça demain, je suis fatigué. Votre père m’a nommé votre maître, vous allez comprendre que j’aime le travail bien fait. Pas de bavure, ou très peu.
Anthèlme se retourna, et commença à marcher vers la porte pour sortir de la cour d’entraînement. Sur son passage, les soldats s’écartaient. Il tendit l’oreille et entendit la fille du seigneur se relever, et ramasser son épée, pour essayer de prendre le dessus par rapport à lui. Il fut averti par un soldat, s’écriant un peu trop fort. Anthèlme se retourna alors vivement, et, d’un coup vif et rapide, frappa d’estoc la poitrine d’Éléonore, la faisant retomber sur le sol. Néanmoins, celle-ci avait eut le temps de frapper Anthèlme, qui, non préparer à recevoir le coup, et ne sachant d’où il allait arriver, le reçut de plein fouet. Il fut touché dans le creux entre l’épaule gauche et le cou. Il se tint l’épaule, en reflexe, la douleur lui faisait mal, touché de plein fouet, elle était là , pénétrante. La fille du seigneur venait de lui toucher une zone sensible, il en subissait les conséquences.
-Maître Anthèlme, je suis désolée, je voulais juste… Je croyais que vous alliez éviter mon attaque ou la parer.
-Je n’ai pas eut le temps, déclara-t-il entre deux spasme de douleur, vous êtes purement inconsciente. Nous devrons régler ce problème là aussi. Et sachez qu’un Paladin n’attaque jamais, jamais, par derrière. C’est le rôle des voleurs et des roublards, ou des brigands, pas des Paladins… Rentrez dans votre chambre.
Il désigna un soldat proche de lui pour accompagner Éléonore jusqu’à sa chambre, et un autre pour lui-même, pour qu’on l’accompagne jusqu’au guérisseur du château, il en avait bien besoin, la douleur ne s’estompant pas. Il n’en voulait pas vraiment à Éléonore, il avait appris à pardonner les autres, le pardon était une vertu. Malheureusement, trop peu de gens l’avaient. En revanche Anthèlme avait complètement excusé Éléonore. D’une nature candide, sauf quand il s’agissait de combattre, Anthèlme était assez souvent près à aider les autres, de la meilleure manière qu’il le pourrait, pour les rendre plus jovial et alléger le fardeau de leurs problèmes quotidiens. De plus, il la trouvait irrésistible, et ne pouvait pas la savoir attristée. De plus, elle allait être son élève, il pensait qu’il ne fallait pas partir sur de mauvaises bases, si une cohabitation voulait naître dans le cœur du maître et de l’apprentie.
-Nous nous verrons demain Éléonore, moi je vais me diriger vers le guérisseur, je dois avoir quelque chose qui ne va plus vraiment… Un os fêlé, ou fracturé… Encore un, et ce n’est pas près de s’arrêter. Malheureusement. Bonne nuit à vous.
Il sorti de la cour, accompagné du soldat, en se tenant l’épaule. Éléonore resta quelques instants au milieu de tous, prise au dépourvu, un sentiment d’incompréhension et de doute s’élevant en elle. Elle se dirigea enfin vers sa chambre, après quelques secondes.
-Que vous voulez devenir paladin en ne sachant manier une arme que comme un tison pour le feu. C’est vraiment mauvais. Où est passée votre maîtrise du combat, votre vigueur, votre bravoure ? J’ai placé mes trois touches en quelques secondes à peine. Je suis d’accord pour dire que les bandits que nous avons affrontés n’étaient pas très puissant, mais mettez vous à l’esprit que vous n’aurez pas toujours cette chance. Contre un enfant, ou un gobelin peut être… Mais au vu de vos prestations, vous auriez du mal avec un fermier.
-Pourtant, j’ai vraiment cru faire bien.
-Et vous vous êtes trompée. Votre positionnement, c’était vraiment mauvais. Votre pied n’était pas au bon endroit, et lorsque l’adversaire avance, on avance aussi, on ne recule pas ou alors il peut vous toucher bien plus facilement que si vous alliez sur lui. Nous verrons ça demain, je suis fatigué. Votre père m’a nommé votre maître, vous allez comprendre que j’aime le travail bien fait. Pas de bavure, ou très peu.
Anthèlme se retourna, et commença à marcher vers la porte pour sortir de la cour d’entraînement. Sur son passage, les soldats s’écartaient. Il tendit l’oreille et entendit la fille du seigneur se relever, et ramasser son épée, pour essayer de prendre le dessus par rapport à lui. Il fut averti par un soldat, s’écriant un peu trop fort. Anthèlme se retourna alors vivement, et, d’un coup vif et rapide, frappa d’estoc la poitrine d’Éléonore, la faisant retomber sur le sol. Néanmoins, celle-ci avait eut le temps de frapper Anthèlme, qui, non préparer à recevoir le coup, et ne sachant d’où il allait arriver, le reçut de plein fouet. Il fut touché dans le creux entre l’épaule gauche et le cou. Il se tint l’épaule, en reflexe, la douleur lui faisait mal, touché de plein fouet, elle était là , pénétrante. La fille du seigneur venait de lui toucher une zone sensible, il en subissait les conséquences.
-Maître Anthèlme, je suis désolée, je voulais juste… Je croyais que vous alliez éviter mon attaque ou la parer.
-Je n’ai pas eut le temps, déclara-t-il entre deux spasme de douleur, vous êtes purement inconsciente. Nous devrons régler ce problème là aussi. Et sachez qu’un Paladin n’attaque jamais, jamais, par derrière. C’est le rôle des voleurs et des roublards, ou des brigands, pas des Paladins… Rentrez dans votre chambre.
Il désigna un soldat proche de lui pour accompagner Éléonore jusqu’à sa chambre, et un autre pour lui-même, pour qu’on l’accompagne jusqu’au guérisseur du château, il en avait bien besoin, la douleur ne s’estompant pas. Il n’en voulait pas vraiment à Éléonore, il avait appris à pardonner les autres, le pardon était une vertu. Malheureusement, trop peu de gens l’avaient. En revanche Anthèlme avait complètement excusé Éléonore. D’une nature candide, sauf quand il s’agissait de combattre, Anthèlme était assez souvent près à aider les autres, de la meilleure manière qu’il le pourrait, pour les rendre plus jovial et alléger le fardeau de leurs problèmes quotidiens. De plus, il la trouvait irrésistible, et ne pouvait pas la savoir attristée. De plus, elle allait être son élève, il pensait qu’il ne fallait pas partir sur de mauvaises bases, si une cohabitation voulait naître dans le cœur du maître et de l’apprentie.
-Nous nous verrons demain Éléonore, moi je vais me diriger vers le guérisseur, je dois avoir quelque chose qui ne va plus vraiment… Un os fêlé, ou fracturé… Encore un, et ce n’est pas près de s’arrêter. Malheureusement. Bonne nuit à vous.
Il sorti de la cour, accompagné du soldat, en se tenant l’épaule. Éléonore resta quelques instants au milieu de tous, prise au dépourvu, un sentiment d’incompréhension et de doute s’élevant en elle. Elle se dirigea enfin vers sa chambre, après quelques secondes.