Note de la fic :
Publié le 05/04/2011 à 22:41:13 par LeNabot_32
Lundi matin, le réveil sonne à 7h00. J’ouvre les yeux et éteins mon réveil en lui susurrant un beau « Ta gueule ! » La tête dans le cul, je me motive en pensant : « Putain ! Sept heures de cours aujourd’hui… ». Je mets de bonne humeur dès le départ là. Allez petit déj’ plus salle de bain et direction le bahut a dada sur mon scooter. Bien sûr, je suis à la bourre, comme d’habitude. Je gare mon scoot à côté du bahut. J’accroche la chaîne et go en cours avec deux heures de philosophie. « The Real Slim Shady » d’Eminem dans les oreilles, je toque à la porte et entre en cours en marmonnant « B’jour ». Tout le monde me regarde comme d’habitude. Je m’installe à ma place, à côté d’un de mes potes, Mehdi. Je lui tape le check et sors mes affaires. Le prof reprend son cours lorsque j’éteins mon MP3. Avec Mehdi et mes deux potes assis devant nous, Jean et Cristobal, on commence à discuter.
Petit présentation de mes potes et de moi:
Mehdi surnommé Dimé, originaire du Maroc. Super sympa et très marrant. Je le connais depuis la seconde.
Cristobal surnommé Cris ou Cristo, originaire du Chili. On est dans la même classe depuis le collège.
Jean, originaire de Melun. On est pote depuis le primaire. On a fait les 400 coups ensemble.
Sylvain, originaire de Toulouse. 17 ans, Terminale L, célibataire.
La discussion, bien sûr, c’est sur les filles. Cristobal cause de sa dernière conquête : Judith, nana à la grosse poitrine et qui aime tout ce qui est long, dur, droit et foutrement plein. Il fait bander Jean en lui disant qu’elle veut que tous les trous y passent. Mehdi et moi, on se marre. Et c’est alors que quelqu’un toque à la porte de la classe. On regarde alors les nouveaux venus entrer dans la salle de cours : la principale et une fille. Elle était petite de taille, les cheveux bruns, la bouche fine, des petits seins, la moustache naissante, bref c’est la principale, quoi... Mehdi, Jean, Cristobal et moi caractérisons la fille chacun avec un adjectif qui commence par la première lettre de notre prénom (on avait l’habitude de faire ça quand on voyait une fille). Mehdi commença :
- Mignonne.
- Jolie, dit Jean.
- Canon, dit Cristobal.
- S*lope, dis-je.
La principale parla alors de sa voix stricte :
- Bonjour les enfants (nous des gosses ?) Voici Mélanie, votre nouvelle camarade de classe. Elle vient de Lyon. J’espère que vous l’accueillerez comme si il se doit
- Moi, je la cueillerai avec mes doigts, chuchota Cristobal.
- T’es con, lui chuchota Jean.
La proviseure se barre. Le prof lui dit d’aller s’asseoir. La Mélanie va s’asseoir au dernier rang, juste derrière Mehdi et moi. Elle avait le choix entre le premier et le dernier rang. Elle se la joue pas fayotte. Le cours reprend normalement. Les potes décident de causer à la nouvelle. Moi, je m’en fous. J’ai rien à lui dire et puis je suis pas très doué pour parler aux filles. Ça cause, ça cause et vas-y que je suis Mehdi, que je fais ci et ça et toi ? Moi, j’viens de Lyon, j’ai déménagé parce que mon « reup » a été promu. Bref, moi, je connais déjà la vie de mes potes et celle de la miss, bah je m’en branle. Ouais, je suis plutôt un adepte du je-m’en-foutisme. Puis d’un coup, la meuf me demande :
- Et toi ? tu es ?
Merde, je commence à rougir comme une tomate. Je m’attendais pas à ce qu’elle me parle. Je bredouille devant elle et mes potes :
- Ben, Je m’alep… m’appelle, pardon, Sylvain.
- Ah, enchantée, me répond la Mélanie.
Je me contente de lui adresser un sourire qui ressemble à une grimace. Je me retourne et je fais genre je m’intéresse au cours. Cristobal, Jean et Mehdi continuent de causer à Mélanie. J’ai pas l’air con… Dans mes oreilles, y a un remix de la converse entre et mes potes et la nouvelle et le cours du prof. En gros, Platon a fait de l’équitation quand il a écrit Charmide, un des premiers dialogues que Platon a écrit pour sa mère qui travaille dans un restaurant chilien dans lequel Socrate discute de la sagesse avec Charmide qui semble malade parce son oncle a mis trop de piments dans un plat.
Merde mais ça veut rien dire… Bon, je pense que je vais me remettre le mp3 dans les oreilles. Un peu de musique, ça me fera pas de mal et ce jusqu’à la fin du cours.
Petit présentation de mes potes et de moi:
Mehdi surnommé Dimé, originaire du Maroc. Super sympa et très marrant. Je le connais depuis la seconde.
Cristobal surnommé Cris ou Cristo, originaire du Chili. On est dans la même classe depuis le collège.
Jean, originaire de Melun. On est pote depuis le primaire. On a fait les 400 coups ensemble.
Sylvain, originaire de Toulouse. 17 ans, Terminale L, célibataire.
La discussion, bien sûr, c’est sur les filles. Cristobal cause de sa dernière conquête : Judith, nana à la grosse poitrine et qui aime tout ce qui est long, dur, droit et foutrement plein. Il fait bander Jean en lui disant qu’elle veut que tous les trous y passent. Mehdi et moi, on se marre. Et c’est alors que quelqu’un toque à la porte de la classe. On regarde alors les nouveaux venus entrer dans la salle de cours : la principale et une fille. Elle était petite de taille, les cheveux bruns, la bouche fine, des petits seins, la moustache naissante, bref c’est la principale, quoi... Mehdi, Jean, Cristobal et moi caractérisons la fille chacun avec un adjectif qui commence par la première lettre de notre prénom (on avait l’habitude de faire ça quand on voyait une fille). Mehdi commença :
- Mignonne.
- Jolie, dit Jean.
- Canon, dit Cristobal.
- S*lope, dis-je.
La principale parla alors de sa voix stricte :
- Bonjour les enfants (nous des gosses ?) Voici Mélanie, votre nouvelle camarade de classe. Elle vient de Lyon. J’espère que vous l’accueillerez comme si il se doit
- Moi, je la cueillerai avec mes doigts, chuchota Cristobal.
- T’es con, lui chuchota Jean.
La proviseure se barre. Le prof lui dit d’aller s’asseoir. La Mélanie va s’asseoir au dernier rang, juste derrière Mehdi et moi. Elle avait le choix entre le premier et le dernier rang. Elle se la joue pas fayotte. Le cours reprend normalement. Les potes décident de causer à la nouvelle. Moi, je m’en fous. J’ai rien à lui dire et puis je suis pas très doué pour parler aux filles. Ça cause, ça cause et vas-y que je suis Mehdi, que je fais ci et ça et toi ? Moi, j’viens de Lyon, j’ai déménagé parce que mon « reup » a été promu. Bref, moi, je connais déjà la vie de mes potes et celle de la miss, bah je m’en branle. Ouais, je suis plutôt un adepte du je-m’en-foutisme. Puis d’un coup, la meuf me demande :
- Et toi ? tu es ?
Merde, je commence à rougir comme une tomate. Je m’attendais pas à ce qu’elle me parle. Je bredouille devant elle et mes potes :
- Ben, Je m’alep… m’appelle, pardon, Sylvain.
- Ah, enchantée, me répond la Mélanie.
Je me contente de lui adresser un sourire qui ressemble à une grimace. Je me retourne et je fais genre je m’intéresse au cours. Cristobal, Jean et Mehdi continuent de causer à Mélanie. J’ai pas l’air con… Dans mes oreilles, y a un remix de la converse entre et mes potes et la nouvelle et le cours du prof. En gros, Platon a fait de l’équitation quand il a écrit Charmide, un des premiers dialogues que Platon a écrit pour sa mère qui travaille dans un restaurant chilien dans lequel Socrate discute de la sagesse avec Charmide qui semble malade parce son oncle a mis trop de piments dans un plat.
Merde mais ça veut rien dire… Bon, je pense que je vais me remettre le mp3 dans les oreilles. Un peu de musique, ça me fera pas de mal et ce jusqu’à la fin du cours.