Note de la fic :
Publié le 17/05/2011 à 00:10:21 par LeNabot_32
Chapitre 12
Ça fait un mois maintenant que je sors avec Mélanie. Lors du cours de littérature, elle m’a avoué avoir des sentiments pour moi et depuis nous sommes toujours ensemble. C’est la première bonne nouvelle. Deuxième bonne nouvelle, tout le monde a oublié l’histoire du baiser au cours d’espagnol et si on en parle, tout le monde en rit. Enfin, quelques personnes aimeraient bien cracher et pisser sur ma tombe si j’étais mort : Emmanuel, ses suceurs de potes et Chloé. Et ça, c’est un peu la mauvaise nouvelle. Après l’incident du cours de littérature, Emmanuel et ses potes ont essayé vainement de me coincer mais Cristobal, Mehdi et Jean étaient toujours dans les parages. Ça fait une semaine qu’ils me foutent la paix, à présent. En ce qui concerne Chloé, elle m’a supprimé de son Facebook et ne m’adresse plus la parole. Je m’y attendais. De toute façon, j’ai cru ressentir quelque chose pour elle mais en fait non. Bon tant pis, c’est pas vraiment grave.
Samedi matin, j’ai plus de shit (oui, je suis devenu un véritable accro) alors je vais voir Klass et ses potes Estienne et Fabrice. Tous les trois sont au stade de foot. Je les y rejoins pour me faire des provisions.
- Yo, Sylvain ! Tu vas bien ? me demande Klass pendant que je leur serre la main.
- Tranquille, tranquille et vous, les gars ?
- Ouaip ! Bon, t’es venu pour te recharger ? Comme d’hab ?
Il me tend un sachet que je prends puis je lui passe l’argent.
- Ne bougez plus ! s’écrie quelqu’un derrière moi.
Tandis que je me retourne pour voir l’interlocuteur, Klass s’exclame :
- Merde ! Les condés !
Je les vois rapidement et une seconde plus tard, on fil de l’autre côté des tribunes. On entend le flic ordonner à ses hommes :
- Attrapez-les ! Vite !
Tous les quatre faisons diversion. Je ne sais pas par où sont partis Klass et ses potes. Moi, je traverse le terrain d’honneur, poursuivi par deux flics. Je cours aussi vite que je le peux, ignorant les « Arrête-toi gamin ! » que me lance mes poursuivants. Une haute haie m’empêche d’accéder à la sortie du stade. Je sais qu’il y a un petit passage dans lequel je pourrai m’échapper. Où il est, putain ?! Je regarde autour de moi au fur et à mesure que je m’approche de la haie. Ça y est ! Je le vois ! Faut que je vire à gauche ! D’un coup, je change donc de direction. Les flics commencent à se rapprocher ! Ils courent vite, les enculés ou c’est moi qui suis trop lent ! Je saute au-dessus de la barrière qui sépare le terrain des supporters et fonce vers le passage. Je ne suis plus qu’à quelques mètres du trou. Les condés gagnent de plus en plus du terrain. Ils ne sont plus qu’à deux ou trois mètres de moi. Je me retourne : l’un d’eux s’apprête à me sauter dessus ! Je plonge alors dans le trou et me retrouve sur la route. A peine ai-je le temps de me redresser que je vois une voiture arriver vers moi. Le conducteur n’a plus le temps de freiner. Je me jette sur le bas côté et me relève de suite. Je vois alors un des flics passer par le trou de la haie. Je fonce vers mon scooter et démarre en trombe. Un flic essaie de me barrer la route, je l’évite et file au loin.
Putain ! Je suis dans une sacrée merde ! Les flics ont vu ma tête. Ils vont sûrement faire un avis de recherche ! Meeeeeeeeeeeeeeeeeeerde !! Là, sérieux, j’aimerais trop faire un retour en arrière… Et j’espère que les autres s’en sont sortis ! J’ai besoin de parler ! Que faire ? Je vais aller voir Mélanie ! Je prends la direction à suivre pour me rendre chez elle ! J’arrive à destination. Je tape à la porte et attends… Elle s’ouvre. Mélanie me regarde avec un grand sourire. Elle se jette dans mes bras et m’embrasse. On monte dans sa chambre. Elle ne s’attendait pas à me voir et me prévient que ses parents sont absents. Ça me fait du bien d’être avec elle mais elle remarque ma triste mine.
- Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
Je respire un bon coup et lui explique la situation. Elle m’écoute jusqu’au bout sans rien dire. Plus j’avance dans mon récit, plus je la vois s’affoler. Quand j’ai eu fini, elle me dit :
- Oh la la ! Mon pauvre chéri ! Tu crois vraiment qu’ils vont essayer de te rechercher ?
- Ben peut-être, je ne suis pas sûr… En tout cas…
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase : Mélanie m’a posé le doigt devant la bouche pour me faire signe de me taire. Elle m’embrasse à nouveau. Le baiser devient alors langoureux. Mélanie me caresse tendrement la joue puis descend sa main doucement vers mon jean. Je fais la même chose qu’elle. Elle me défait le bouton puis baisse ma braguette et ensuite mon jean. Je l’imite. Nous enlevons tous les deux nos t-shirts puis recommençons à nous embrasser. Je retire avec un peu mes chaussures, elle n’a que des pantoufles. Je lui enlève son soutien gorge tandis qu’elle me retire mon boxer. Je masse ses fesses fermes puis je baisse son string. Elle prend mon pénis dans sa main et commence à faire des va-et-vient tandis que j’entre deux doigts dans son vagin. Elle commence à gémir de plaisir. On s’allonge alors tous les deux. On arrête les préliminaires et me demande :
- Tu as des préservatifs ?
- Euh là non.
- Bon tant pis. De toute façon, je ne suis pas en période d’ovulation.
Elle sourit. Je souris. On s’embrasse fougueusement puis elle me monte dessus pour me faire découvrir un moment de bonheur.
Ça fait un mois maintenant que je sors avec Mélanie. Lors du cours de littérature, elle m’a avoué avoir des sentiments pour moi et depuis nous sommes toujours ensemble. C’est la première bonne nouvelle. Deuxième bonne nouvelle, tout le monde a oublié l’histoire du baiser au cours d’espagnol et si on en parle, tout le monde en rit. Enfin, quelques personnes aimeraient bien cracher et pisser sur ma tombe si j’étais mort : Emmanuel, ses suceurs de potes et Chloé. Et ça, c’est un peu la mauvaise nouvelle. Après l’incident du cours de littérature, Emmanuel et ses potes ont essayé vainement de me coincer mais Cristobal, Mehdi et Jean étaient toujours dans les parages. Ça fait une semaine qu’ils me foutent la paix, à présent. En ce qui concerne Chloé, elle m’a supprimé de son Facebook et ne m’adresse plus la parole. Je m’y attendais. De toute façon, j’ai cru ressentir quelque chose pour elle mais en fait non. Bon tant pis, c’est pas vraiment grave.
Samedi matin, j’ai plus de shit (oui, je suis devenu un véritable accro) alors je vais voir Klass et ses potes Estienne et Fabrice. Tous les trois sont au stade de foot. Je les y rejoins pour me faire des provisions.
- Yo, Sylvain ! Tu vas bien ? me demande Klass pendant que je leur serre la main.
- Tranquille, tranquille et vous, les gars ?
- Ouaip ! Bon, t’es venu pour te recharger ? Comme d’hab ?
Il me tend un sachet que je prends puis je lui passe l’argent.
- Ne bougez plus ! s’écrie quelqu’un derrière moi.
Tandis que je me retourne pour voir l’interlocuteur, Klass s’exclame :
- Merde ! Les condés !
Je les vois rapidement et une seconde plus tard, on fil de l’autre côté des tribunes. On entend le flic ordonner à ses hommes :
- Attrapez-les ! Vite !
Tous les quatre faisons diversion. Je ne sais pas par où sont partis Klass et ses potes. Moi, je traverse le terrain d’honneur, poursuivi par deux flics. Je cours aussi vite que je le peux, ignorant les « Arrête-toi gamin ! » que me lance mes poursuivants. Une haute haie m’empêche d’accéder à la sortie du stade. Je sais qu’il y a un petit passage dans lequel je pourrai m’échapper. Où il est, putain ?! Je regarde autour de moi au fur et à mesure que je m’approche de la haie. Ça y est ! Je le vois ! Faut que je vire à gauche ! D’un coup, je change donc de direction. Les flics commencent à se rapprocher ! Ils courent vite, les enculés ou c’est moi qui suis trop lent ! Je saute au-dessus de la barrière qui sépare le terrain des supporters et fonce vers le passage. Je ne suis plus qu’à quelques mètres du trou. Les condés gagnent de plus en plus du terrain. Ils ne sont plus qu’à deux ou trois mètres de moi. Je me retourne : l’un d’eux s’apprête à me sauter dessus ! Je plonge alors dans le trou et me retrouve sur la route. A peine ai-je le temps de me redresser que je vois une voiture arriver vers moi. Le conducteur n’a plus le temps de freiner. Je me jette sur le bas côté et me relève de suite. Je vois alors un des flics passer par le trou de la haie. Je fonce vers mon scooter et démarre en trombe. Un flic essaie de me barrer la route, je l’évite et file au loin.
Putain ! Je suis dans une sacrée merde ! Les flics ont vu ma tête. Ils vont sûrement faire un avis de recherche ! Meeeeeeeeeeeeeeeeeeerde !! Là, sérieux, j’aimerais trop faire un retour en arrière… Et j’espère que les autres s’en sont sortis ! J’ai besoin de parler ! Que faire ? Je vais aller voir Mélanie ! Je prends la direction à suivre pour me rendre chez elle ! J’arrive à destination. Je tape à la porte et attends… Elle s’ouvre. Mélanie me regarde avec un grand sourire. Elle se jette dans mes bras et m’embrasse. On monte dans sa chambre. Elle ne s’attendait pas à me voir et me prévient que ses parents sont absents. Ça me fait du bien d’être avec elle mais elle remarque ma triste mine.
- Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
Je respire un bon coup et lui explique la situation. Elle m’écoute jusqu’au bout sans rien dire. Plus j’avance dans mon récit, plus je la vois s’affoler. Quand j’ai eu fini, elle me dit :
- Oh la la ! Mon pauvre chéri ! Tu crois vraiment qu’ils vont essayer de te rechercher ?
- Ben peut-être, je ne suis pas sûr… En tout cas…
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase : Mélanie m’a posé le doigt devant la bouche pour me faire signe de me taire. Elle m’embrasse à nouveau. Le baiser devient alors langoureux. Mélanie me caresse tendrement la joue puis descend sa main doucement vers mon jean. Je fais la même chose qu’elle. Elle me défait le bouton puis baisse ma braguette et ensuite mon jean. Je l’imite. Nous enlevons tous les deux nos t-shirts puis recommençons à nous embrasser. Je retire avec un peu mes chaussures, elle n’a que des pantoufles. Je lui enlève son soutien gorge tandis qu’elle me retire mon boxer. Je masse ses fesses fermes puis je baisse son string. Elle prend mon pénis dans sa main et commence à faire des va-et-vient tandis que j’entre deux doigts dans son vagin. Elle commence à gémir de plaisir. On s’allonge alors tous les deux. On arrête les préliminaires et me demande :
- Tu as des préservatifs ?
- Euh là non.
- Bon tant pis. De toute façon, je ne suis pas en période d’ovulation.
Elle sourit. Je souris. On s’embrasse fougueusement puis elle me monte dessus pour me faire découvrir un moment de bonheur.
Commentaires
- Pseudo supprimé
17/05/2011 à 09:28:15
P0rn en vue
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