Note de la fic :
Le jour ou je suis sorti de ma grotte
Par : MisterCouz
Genre : Réaliste, No-Fake
Statut : Terminée
Chapitre 43 : Aie !
Publié le 26/02/2011 à 18:40:33 par MisterCouz
La soirée, la nuit, puis la matinée qui suis se déroule bien, me voici devant le télésiège.
Cette fois ci je vais tenter de skier avec Léa, je la regarde d'un air sérieux :
- On ski ensemble ?
Elle me regarde puis me sort de son air malicieux :
- Tu t'es calmé ?
Chaud la grand mère On dirais la mamy qui dit à son petit fils : " t'es calmé ? Tu peux retourner faire des pattés de sable "
N'importe quoi
Je la regarde :
- Ouais je suis calmer
Puis je fonce prendre le télésiège avec elle.
Alors que le télésiège est au milieu environ je la regarde :
- Bon, j'ai pas été sympa excuse moi, mais j'ai quand même fait acte de bravoure en voulant sauvé Roger, ça tu peut pas le nier !
- Ouais, tu as fais des efforts je te l'accorde, enfin tu t'es retrouvé assommé et on a dus te secourir !
- C'est qu'un détail, j'ai aussi fais des efforts en ski tu va voir, on m'appelle le pingouin maintenant
Cette petite blague lui arrache un sourire
Elle tourne la tête puis, le télésiège s'arrête.
- Oh nan, il ne manquait plus que ça !
- Mais grave !
Je sors mon I-phone, puis je joue à Snake, je sens qu'on va rester longtemps.
Ça fait une heure que je joue à Snake, je suis toujours bloquer, Léa est à bout :
- Roh, 1heure qu'on attend là sur le télésiège, fait quelque chose, va voir ce qu'il se passe !
Je la regarde :
- Et je fais comment ? Des ailes vont me pousser par les fesses et je vais m'envoler ?
- Nan mais débrouille toi ! S'il te plais !
Il faut que je fasse le héros, je la regarde :
- Bon va y je saute, t'inquiète, j'ai vus ça dans les bronzés !
Je sens qu'elle va me faire : " Oh, tu es si beau Charles " Et qu'elle va me toucher le torse et me lèche les tétons je la regarde, elle aussi :
- T'attends quoi ?
Mes sourcils se plie, j'ai l'air innocent :
- Et bien que tu me lèche les tétons pour mon acte de bravoure
Elle explose de rire, allez go
Je la regarde, puis je glisse du télésiège pour tomber.
Je suis en l'air et je crie :
- Je vole ! Regarde je vole !
Je fais des mouvements de bras pour avoir l'air d'un véritable oiseau.
Rien n'y fait, je tombe en position bouteille et je m'écrase les deux jambes par terre :
Un énorme craquement résone
J'hurle :
- j'ai les jambes en compotes
J'ai très mal au jambes, je lève ma tête au ciel pour crier ma douleur.
J'aperçois le télésiège qui redémarre et Léa affolé en haut :
- Oh mon dieu Charles !
Je pleure comme un chien, par terre dans la neige, avec mes skis et je cris de douleur :
- J'ai mal
Quelques minutes plus tard, je suis trainé sur une civière, je chiale comme une crotte, j'ai très mal aux jambes. On me dirige vers un poste de secours.
En plus le dernier jour et la soirée sont demain.
Pourquoi ça m'arrive toujours à moi.
On s'occupe de moi avant de m'emmener vers une petite clinique à coté de mon auberge.
Je me retrouve avec les deux pieds cassé, dans le plâtre sur un fauteuil roulant.
Une infirmière ressemblant à une tortue arrive :
- Bonjour, je vais m'occuper de vous pendant votre séjour au ski
Je tourne la tête pour m'adresser à elle :
- Mon séjour se termine demain, et c'est à dire vous occuper de moi ?
- Et bien vous toilettez toutes ces choses...
Je suis pris de stupeur :
- En clair vous voulez me torcher l'oignon ? C'est bien ça ?
- Heu et bien...
- Vieille cochonne !
Elle a l'air gêné :
- Mais pas du tout ! Enfin, c'est mon métier !
D'ailleurs, j'ai envie de caca, je fait rouler mon fauteuil jusqu'au toilette, il faut traverser ma chambre, puis le couloir avant d'y accéder, elle me suis, puis me regarde à l'entrer des toilettes, je lui crie dessus :
- Laisser moi tranquille, je vais essuyer mon coulis seul quand même, question d'amour propre !
Elle insiste, et rentre donc dans les toilettes avec moi.
L'infirmière m'aide à monter sur le trône, c'est très gênant.
Je suis assis, devant mon infirmière, qui me regarde :
- Vous pouvez vous tourner ?
- Bien sur !
Elle se tourne et j'arrive enfin a évacuer.
Je viens de finir et d'évacuer la taupe du guichet quoi-que vachement liquide, l'odeur est immonde, je la regarde, un peu gêné et impuissant :
- Vous pouvez m'aider ?
Elle se tourne puis m'aide à me hisser hors du trône.
Alors que je maintient à une barre, elle prend une feuille de papier et commence à m'essuyer.
Ça me chatouille, j'explose de rire et de colère à la situation, tombant ainsi par terre et l'emmenant dans ma chute. Sauf qu'elle,se prend la cuvette des WC en pleine tête.
Nous voici tout deux à terre, elle à l'air bien sonné.
Comment je vais faire ?
Je suis habillé d'une énorme tunique que je suis obligé de remonter sans m'essuyer.
Et me voici en train de ramper au sol pour aller chercher de l'aide.
Je m'arme de la balayette en guise de canne et je m'aventure, crotte au fesse qui dégouline sur ma tunique, dans les couloirs dans l'hôpital.
Je suis donc dans les couloirs de la clinique, sous les yeux de personnes, avec ma balayette sur laquelle je m'appuie, et la crotte au cul et je crie :
- Aidez moi ! L'infirmière c'est évanoui .
On m'aide immédiatement, on me hisse sur un siège roulant et je les emmène là ou l'infirmière c'est évanouie.
On la retrouve, papier sale dans la main, assommé dans les toilettes à l'odeur ignoble.
J'hurle :
- Aider la ! Aider la tortue !
Enfin, on l'aide et on me met dans une chambre.
Je m'endors, seul, comme un chien, les deux jambes dans le plâtres.
J'en est plein le cul, c'est le cas de le dire.
Cette fois ci je vais tenter de skier avec Léa, je la regarde d'un air sérieux :
- On ski ensemble ?
Elle me regarde puis me sort de son air malicieux :
- Tu t'es calmé ?
Chaud la grand mère On dirais la mamy qui dit à son petit fils : " t'es calmé ? Tu peux retourner faire des pattés de sable "
N'importe quoi
Je la regarde :
- Ouais je suis calmer
Puis je fonce prendre le télésiège avec elle.
Alors que le télésiège est au milieu environ je la regarde :
- Bon, j'ai pas été sympa excuse moi, mais j'ai quand même fait acte de bravoure en voulant sauvé Roger, ça tu peut pas le nier !
- Ouais, tu as fais des efforts je te l'accorde, enfin tu t'es retrouvé assommé et on a dus te secourir !
- C'est qu'un détail, j'ai aussi fais des efforts en ski tu va voir, on m'appelle le pingouin maintenant
Cette petite blague lui arrache un sourire
Elle tourne la tête puis, le télésiège s'arrête.
- Oh nan, il ne manquait plus que ça !
- Mais grave !
Je sors mon I-phone, puis je joue à Snake, je sens qu'on va rester longtemps.
Ça fait une heure que je joue à Snake, je suis toujours bloquer, Léa est à bout :
- Roh, 1heure qu'on attend là sur le télésiège, fait quelque chose, va voir ce qu'il se passe !
Je la regarde :
- Et je fais comment ? Des ailes vont me pousser par les fesses et je vais m'envoler ?
- Nan mais débrouille toi ! S'il te plais !
Il faut que je fasse le héros, je la regarde :
- Bon va y je saute, t'inquiète, j'ai vus ça dans les bronzés !
Je sens qu'elle va me faire : " Oh, tu es si beau Charles " Et qu'elle va me toucher le torse et me lèche les tétons je la regarde, elle aussi :
- T'attends quoi ?
Mes sourcils se plie, j'ai l'air innocent :
- Et bien que tu me lèche les tétons pour mon acte de bravoure
Elle explose de rire, allez go
Je la regarde, puis je glisse du télésiège pour tomber.
Je suis en l'air et je crie :
- Je vole ! Regarde je vole !
Je fais des mouvements de bras pour avoir l'air d'un véritable oiseau.
Rien n'y fait, je tombe en position bouteille et je m'écrase les deux jambes par terre :
Un énorme craquement résone
J'hurle :
- j'ai les jambes en compotes
J'ai très mal au jambes, je lève ma tête au ciel pour crier ma douleur.
J'aperçois le télésiège qui redémarre et Léa affolé en haut :
- Oh mon dieu Charles !
Je pleure comme un chien, par terre dans la neige, avec mes skis et je cris de douleur :
- J'ai mal
Quelques minutes plus tard, je suis trainé sur une civière, je chiale comme une crotte, j'ai très mal aux jambes. On me dirige vers un poste de secours.
En plus le dernier jour et la soirée sont demain.
Pourquoi ça m'arrive toujours à moi.
On s'occupe de moi avant de m'emmener vers une petite clinique à coté de mon auberge.
Je me retrouve avec les deux pieds cassé, dans le plâtre sur un fauteuil roulant.
Une infirmière ressemblant à une tortue arrive :
- Bonjour, je vais m'occuper de vous pendant votre séjour au ski
Je tourne la tête pour m'adresser à elle :
- Mon séjour se termine demain, et c'est à dire vous occuper de moi ?
- Et bien vous toilettez toutes ces choses...
Je suis pris de stupeur :
- En clair vous voulez me torcher l'oignon ? C'est bien ça ?
- Heu et bien...
- Vieille cochonne !
Elle a l'air gêné :
- Mais pas du tout ! Enfin, c'est mon métier !
D'ailleurs, j'ai envie de caca, je fait rouler mon fauteuil jusqu'au toilette, il faut traverser ma chambre, puis le couloir avant d'y accéder, elle me suis, puis me regarde à l'entrer des toilettes, je lui crie dessus :
- Laisser moi tranquille, je vais essuyer mon coulis seul quand même, question d'amour propre !
Elle insiste, et rentre donc dans les toilettes avec moi.
L'infirmière m'aide à monter sur le trône, c'est très gênant.
Je suis assis, devant mon infirmière, qui me regarde :
- Vous pouvez vous tourner ?
- Bien sur !
Elle se tourne et j'arrive enfin a évacuer.
Je viens de finir et d'évacuer la taupe du guichet quoi-que vachement liquide, l'odeur est immonde, je la regarde, un peu gêné et impuissant :
- Vous pouvez m'aider ?
Elle se tourne puis m'aide à me hisser hors du trône.
Alors que je maintient à une barre, elle prend une feuille de papier et commence à m'essuyer.
Ça me chatouille, j'explose de rire et de colère à la situation, tombant ainsi par terre et l'emmenant dans ma chute. Sauf qu'elle,se prend la cuvette des WC en pleine tête.
Nous voici tout deux à terre, elle à l'air bien sonné.
Comment je vais faire ?
Je suis habillé d'une énorme tunique que je suis obligé de remonter sans m'essuyer.
Et me voici en train de ramper au sol pour aller chercher de l'aide.
Je m'arme de la balayette en guise de canne et je m'aventure, crotte au fesse qui dégouline sur ma tunique, dans les couloirs dans l'hôpital.
Je suis donc dans les couloirs de la clinique, sous les yeux de personnes, avec ma balayette sur laquelle je m'appuie, et la crotte au cul et je crie :
- Aidez moi ! L'infirmière c'est évanoui .
On m'aide immédiatement, on me hisse sur un siège roulant et je les emmène là ou l'infirmière c'est évanouie.
On la retrouve, papier sale dans la main, assommé dans les toilettes à l'odeur ignoble.
J'hurle :
- Aider la ! Aider la tortue !
Enfin, on l'aide et on me met dans une chambre.
Je m'endors, seul, comme un chien, les deux jambes dans le plâtres.
J'en est plein le cul, c'est le cas de le dire.