Note de la fic :
Le jour ou je suis sorti de ma grotte
Par : MisterCouz
Genre : Réaliste, No-Fake
Statut : Terminée
Chapitre 46 : Aie Aie Aie...
Publié le 26/02/2011 à 18:44:09 par MisterCouz
Tout tourne autour de moi, j'arrive tout de même à communiquer :
- Maman, et Mamy Monique, vous vous êtes disputé avec elle ? Elle c'est excuser ?
- Excuser de quoi ? Elle va bien Mamy Monique, qu'est ce que tu racontes ?
Alors c'est bien cela, ce tas de ride, ce macaque ambulant ne leur a pas dit la vérité, elle ne leur a pas dit qu'elle m'avais poussé, je reprends :
- Mais c'est de sa faute, ah la salope !
Ma mère me borde :
- Reste calme, tu es encore patraque, tu délire un peu...
Cela fait 2semaines que je me suis réveillé.
Mes parents ne m'ont pas menti, je suis dans le Col-tard depuis 3mois, 1semaines, et 3jours.
Bizarrement, je m'en fiche, c'est très étrange.
Je vais résumé la situation pour que ce sois plus clair, je suis dans le comas depuis 3mois, je me fais lavé le Zboub par un infirmier pervers,
je chie et pisse dans un bocal, j'ai milles perfusions, et je peux à peine marché tellement mes muscles sont faible.
Mais ça va, je reprends vite.
En tout cas je n'ai plus de plâtre et il fait beau dehors, puisque l'on est le 10Juin.
J'ai reçus pas mal de messages, et beaucoup de gens sont venus me voir, enfin, à ceux que l'on ma dit.
Je repars à la maison dans 3jours et dans 2semaines, j'espère reprendre les cours prochainement.
Les jours passent, et je dois reprendre l'école demain, il est environ 18heures, je vais prendre ma douche.
Alors que je prépare mon pyjama Snoopy, et que je me met nue pour rentrer dans la douche, la sonnette retentit, je suis dans la douche, entièrement nue mais j'essaie d'entendre qui sonne à la porte, j'entends une petite voix :
- Bonjour Monsieur, je m'appelle Léa, c'était pour donner des nouvelles de ce qu'on fait en cours à Charles, parce qu'il ma dit par sms qu'il reprendrais demain...
Je m'appuie sur les poignées de mes deux portes de douches pour entendre, j'ai la tête hors de la douche, mon corps dans la douche, et je m'appuie mes mains sur les deux poignées.
Mon père répond :
- Oui bougez pas je l'appelle, mais je crois qu'il est à la douche
Je ne l'entends pas bien, alors que je me penche un peu plus pour entendre, j'appuie trop fort sur les deux poignées qui ferme les portes de la douche.
Les deux portes se referme.
Je cris :
- AHHHHHHHHHHHHHHH
Je tombe sur mes genoux dans ma douche, je pisse le sang. J'ai mal, je cris de plus en plus fort, mon père arrive en courant :
- Ça va ?
- Noon ça va pas, je me suis pété le Zgeg
Alors que Léa est en bas, mon père hurle :
- Quoi, qu'est ce qu'il à ton Zgeg, OH MON DIEU COMMENT VA TON ZIZI?
Je pleure de douleur dans ma salle de bain, mais je dois contrôler la situation puisque mon père ne contrôle rien:
- Nan rien, dit lui de partir, je descends
- Bon, je comprends rien, okay, je lui dit de partir.
J'essaie de récupérer un gant de toilette que j'enroule autour de ma Verge pour arrêter l'hémorragie, je crois que je me suis coupé un sacré bout.
Je remet tant bien que mal mon jean et je descends les escaliers en m'agrippant à la rampe, heureusement, Léa n'est plus là, je regarde mon père :
- Emmène moi à l'hosto, vite, je me suis coupé un bout!
Alors que je suis dans une situation critique, mon père me regarde :
- Mais un bout de quoi ? Je ne comprends pas!
Au final, mon père comprends et m'emmène à l'hôpital, le médecin m'annonce :
- Vous avez eu beaucoup de chance, vous n'avez perdu que de la peau, mais il faut que je vous enlève le reste par une petite opération,
vous pourrez sortir dès demain
Je le regarde, l'air désespéré :
- Bon, bah allez y, au point ou j'en suis
L'opération c'est bien terminé, je suis dans mon lit, je peux repartir demain chez moi, puis après demain en cours.
Le médecin qui ma charcuter arrive dans ma chambre, je le regarde d'un air dépité :
- Vous êtes Justin Bridou je présumé ?
- Pardon ?
- Vous êtes celui qui coupe les saucissons, Justin Bridou, enfin, c'est pas grave, il ne m'arrive que des merdes. Un jour je me retrouve empoisonné par des champignons, un jour j'ai les jambes pétés, ensuite, 3mois et demis dans le coma, et comme si ça suffisais pas, j'ai la verge tellement ficelé par vos fils que vous m'avez mis, qu'on dirait une paupiette
Le médecin me tape sur l'épaule :
- Je vais te raconter une histoire, moi, il m'est arrivé bien pire étant jeune...
- Oh, je ne crois pas docteur
- Oh si, crois moi jeune homme, j'étais à deux doigts de perde mes testicules...
Je le regarde, je regarde ce monsieur d'environ 50ans, assis sur mon lit d'hôpital, avec ses petites lunettes, et sa barbe et qui me regarde et me fait :
" J'ai manqué perde mes testicules "
J'explose littéralement de rire
Le chirurgien me regarde :
- Tu peux en rire en effet...
- Et alors, ça c'est terminé comment ? Vos, enfin vos, vos boules vont bien ?
- Tu peux parler au singulier, il ne m'en reste qu'une...
Je me retient pour ne pas rire, je regarde le papier peint au loin, et je respire lentement.
- Mais, ça vous est arrivé comment ?
- Je ne te raconterais pas, il faut que tu dorme, ah une dernière chose !
- Oui quoi ?
- Pendant environ une semaine, il ne faut pas que tu es d'érection, sinon, les fils risquent de se cassés...
Mon visage s'effondre :
- C'est une blague ? Vous rigolez ?
- Malheureusement non, mais si tu veux réussir, dès que tu sens que, enfin dès que tu sens que... Enfin que ça va venir,
pense à une situation complétement opposé, imagine toi dans un désert, décris toi le paysage, les cactus, le sable, les chameaux...
Sur ces mots, le médecin me retape sur l'épaule et s'en va :
- Bon courage...
C'est l'heure d'aller en cours. C'est le matin.
J'ai réussi à tenir facilement pour le moment, plus que 5 jours.
Je rentre dans le bus, peu fier, je dis bonjour à Johnny, et je regarde par la fenêtre.
Alors que le bus s'arrête à un feu rouge. Une affiche publicitaire se pose juste sous mon nez. Une superbe femme à moitié dénudé tient un parfum entre dans la paume de sa main.
Je cligne des yeux, et je vois la même fille, avec le parfum entre les seins...
C'est là que la difficulté apparait. Je ferme les yeux, je respire profondément, et je me marmonne dans ma tête :
- Un cactus, tu vois un cactus.
L'excitation est redescendus,efficace la technique j'ouvre les yeux.
- Ahhh !
Mon cœur fait un tour sur lui même, une grand mère, ravagez pas l'age se tient devant moi :
- Excusez moi jeune homme, pouvez vous me cédez votre place ?
Je la regarde :
- Non ! C'est pas vous qu'avez l'andouillette ficelé !
- Quelle manque de respect ! De nos jours c'était un coup de martinet !
J'ai le droit à un léger coup de cane sur la tête puis je sors du bus pour me diriger vers l'entrée du lycée.
Il est 7h55, je suis très en retard par rapport à d'habitude, j'ai pas envie d'aller en cours
Je rentre dans la salle, un peu en retard, tout le monde me regarde, ma prof me demande :
- Tu veux dire quelque chose à la classe ?
Je regarde le prof :
- Heu, ouais
Je me met devant toute la classe, tout ces yeux braqués sur moi, je ne dois pas les décevoir
- Heu, bon bah, bonjour à tous, pendant le séjour au ski, je me suis cassé les deux jambes, et puis après, en rentrant chez moi, mon fauteuil a glisser dans les escaliers et je suis tombé.
Je me suis réveiller 3mois et demi plus tard, et me voilà.
Amaury me regarde avec un regarde sournois :
- Tu devais pas revenir hier ?
Le fourbe.
Je ne vais pas raconter que je me suis coupé la quéquette et que j'ai dus coupé le reste avec l'aide d'un médecin Justin Bridou.
J'invente n'importe quoi :
- Heu, c'est parce que, je me suis renversé un bocal de cornichon sur la tête,du coup, le vinaigre mes tombé sur les yeux, et ça m'a piqué toute la journée...
Toute la classe explose de rire, je me reprends :
- Non, je rigole, parce que je me sentais un peu fatigué...
Je m'assois à coté de Léa, elle me regarde :
- C'était quoi ce bruit l'autre fois quand je suis venus chez toi ... ?
Instantanément, je réponds :
- Je t'expliquerais ça chez moi, tout à l'heure
- Okay si tu veux
Je suis devenus un BG. Un BG avec la verge saucissonné...
- Maman, et Mamy Monique, vous vous êtes disputé avec elle ? Elle c'est excuser ?
- Excuser de quoi ? Elle va bien Mamy Monique, qu'est ce que tu racontes ?
Alors c'est bien cela, ce tas de ride, ce macaque ambulant ne leur a pas dit la vérité, elle ne leur a pas dit qu'elle m'avais poussé, je reprends :
- Mais c'est de sa faute, ah la salope !
Ma mère me borde :
- Reste calme, tu es encore patraque, tu délire un peu...
Cela fait 2semaines que je me suis réveillé.
Mes parents ne m'ont pas menti, je suis dans le Col-tard depuis 3mois, 1semaines, et 3jours.
Bizarrement, je m'en fiche, c'est très étrange.
Je vais résumé la situation pour que ce sois plus clair, je suis dans le comas depuis 3mois, je me fais lavé le Zboub par un infirmier pervers,
je chie et pisse dans un bocal, j'ai milles perfusions, et je peux à peine marché tellement mes muscles sont faible.
Mais ça va, je reprends vite.
En tout cas je n'ai plus de plâtre et il fait beau dehors, puisque l'on est le 10Juin.
J'ai reçus pas mal de messages, et beaucoup de gens sont venus me voir, enfin, à ceux que l'on ma dit.
Je repars à la maison dans 3jours et dans 2semaines, j'espère reprendre les cours prochainement.
Les jours passent, et je dois reprendre l'école demain, il est environ 18heures, je vais prendre ma douche.
Alors que je prépare mon pyjama Snoopy, et que je me met nue pour rentrer dans la douche, la sonnette retentit, je suis dans la douche, entièrement nue mais j'essaie d'entendre qui sonne à la porte, j'entends une petite voix :
- Bonjour Monsieur, je m'appelle Léa, c'était pour donner des nouvelles de ce qu'on fait en cours à Charles, parce qu'il ma dit par sms qu'il reprendrais demain...
Je m'appuie sur les poignées de mes deux portes de douches pour entendre, j'ai la tête hors de la douche, mon corps dans la douche, et je m'appuie mes mains sur les deux poignées.
Mon père répond :
- Oui bougez pas je l'appelle, mais je crois qu'il est à la douche
Je ne l'entends pas bien, alors que je me penche un peu plus pour entendre, j'appuie trop fort sur les deux poignées qui ferme les portes de la douche.
Les deux portes se referme.
Je cris :
- AHHHHHHHHHHHHHHH
Je tombe sur mes genoux dans ma douche, je pisse le sang. J'ai mal, je cris de plus en plus fort, mon père arrive en courant :
- Ça va ?
- Noon ça va pas, je me suis pété le Zgeg
Alors que Léa est en bas, mon père hurle :
- Quoi, qu'est ce qu'il à ton Zgeg, OH MON DIEU COMMENT VA TON ZIZI?
Je pleure de douleur dans ma salle de bain, mais je dois contrôler la situation puisque mon père ne contrôle rien:
- Nan rien, dit lui de partir, je descends
- Bon, je comprends rien, okay, je lui dit de partir.
J'essaie de récupérer un gant de toilette que j'enroule autour de ma Verge pour arrêter l'hémorragie, je crois que je me suis coupé un sacré bout.
Je remet tant bien que mal mon jean et je descends les escaliers en m'agrippant à la rampe, heureusement, Léa n'est plus là, je regarde mon père :
- Emmène moi à l'hosto, vite, je me suis coupé un bout!
Alors que je suis dans une situation critique, mon père me regarde :
- Mais un bout de quoi ? Je ne comprends pas!
Au final, mon père comprends et m'emmène à l'hôpital, le médecin m'annonce :
- Vous avez eu beaucoup de chance, vous n'avez perdu que de la peau, mais il faut que je vous enlève le reste par une petite opération,
vous pourrez sortir dès demain
Je le regarde, l'air désespéré :
- Bon, bah allez y, au point ou j'en suis
L'opération c'est bien terminé, je suis dans mon lit, je peux repartir demain chez moi, puis après demain en cours.
Le médecin qui ma charcuter arrive dans ma chambre, je le regarde d'un air dépité :
- Vous êtes Justin Bridou je présumé ?
- Pardon ?
- Vous êtes celui qui coupe les saucissons, Justin Bridou, enfin, c'est pas grave, il ne m'arrive que des merdes. Un jour je me retrouve empoisonné par des champignons, un jour j'ai les jambes pétés, ensuite, 3mois et demis dans le coma, et comme si ça suffisais pas, j'ai la verge tellement ficelé par vos fils que vous m'avez mis, qu'on dirait une paupiette
Le médecin me tape sur l'épaule :
- Je vais te raconter une histoire, moi, il m'est arrivé bien pire étant jeune...
- Oh, je ne crois pas docteur
- Oh si, crois moi jeune homme, j'étais à deux doigts de perde mes testicules...
Je le regarde, je regarde ce monsieur d'environ 50ans, assis sur mon lit d'hôpital, avec ses petites lunettes, et sa barbe et qui me regarde et me fait :
" J'ai manqué perde mes testicules "
J'explose littéralement de rire
Le chirurgien me regarde :
- Tu peux en rire en effet...
- Et alors, ça c'est terminé comment ? Vos, enfin vos, vos boules vont bien ?
- Tu peux parler au singulier, il ne m'en reste qu'une...
Je me retient pour ne pas rire, je regarde le papier peint au loin, et je respire lentement.
- Mais, ça vous est arrivé comment ?
- Je ne te raconterais pas, il faut que tu dorme, ah une dernière chose !
- Oui quoi ?
- Pendant environ une semaine, il ne faut pas que tu es d'érection, sinon, les fils risquent de se cassés...
Mon visage s'effondre :
- C'est une blague ? Vous rigolez ?
- Malheureusement non, mais si tu veux réussir, dès que tu sens que, enfin dès que tu sens que... Enfin que ça va venir,
pense à une situation complétement opposé, imagine toi dans un désert, décris toi le paysage, les cactus, le sable, les chameaux...
Sur ces mots, le médecin me retape sur l'épaule et s'en va :
- Bon courage...
C'est l'heure d'aller en cours. C'est le matin.
J'ai réussi à tenir facilement pour le moment, plus que 5 jours.
Je rentre dans le bus, peu fier, je dis bonjour à Johnny, et je regarde par la fenêtre.
Alors que le bus s'arrête à un feu rouge. Une affiche publicitaire se pose juste sous mon nez. Une superbe femme à moitié dénudé tient un parfum entre dans la paume de sa main.
Je cligne des yeux, et je vois la même fille, avec le parfum entre les seins...
C'est là que la difficulté apparait. Je ferme les yeux, je respire profondément, et je me marmonne dans ma tête :
- Un cactus, tu vois un cactus.
L'excitation est redescendus,efficace la technique j'ouvre les yeux.
- Ahhh !
Mon cœur fait un tour sur lui même, une grand mère, ravagez pas l'age se tient devant moi :
- Excusez moi jeune homme, pouvez vous me cédez votre place ?
Je la regarde :
- Non ! C'est pas vous qu'avez l'andouillette ficelé !
- Quelle manque de respect ! De nos jours c'était un coup de martinet !
J'ai le droit à un léger coup de cane sur la tête puis je sors du bus pour me diriger vers l'entrée du lycée.
Il est 7h55, je suis très en retard par rapport à d'habitude, j'ai pas envie d'aller en cours
Je rentre dans la salle, un peu en retard, tout le monde me regarde, ma prof me demande :
- Tu veux dire quelque chose à la classe ?
Je regarde le prof :
- Heu, ouais
Je me met devant toute la classe, tout ces yeux braqués sur moi, je ne dois pas les décevoir
- Heu, bon bah, bonjour à tous, pendant le séjour au ski, je me suis cassé les deux jambes, et puis après, en rentrant chez moi, mon fauteuil a glisser dans les escaliers et je suis tombé.
Je me suis réveiller 3mois et demi plus tard, et me voilà.
Amaury me regarde avec un regarde sournois :
- Tu devais pas revenir hier ?
Le fourbe.
Je ne vais pas raconter que je me suis coupé la quéquette et que j'ai dus coupé le reste avec l'aide d'un médecin Justin Bridou.
J'invente n'importe quoi :
- Heu, c'est parce que, je me suis renversé un bocal de cornichon sur la tête,du coup, le vinaigre mes tombé sur les yeux, et ça m'a piqué toute la journée...
Toute la classe explose de rire, je me reprends :
- Non, je rigole, parce que je me sentais un peu fatigué...
Je m'assois à coté de Léa, elle me regarde :
- C'était quoi ce bruit l'autre fois quand je suis venus chez toi ... ?
Instantanément, je réponds :
- Je t'expliquerais ça chez moi, tout à l'heure
- Okay si tu veux
Je suis devenus un BG. Un BG avec la verge saucissonné...