Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Le jour ou je suis sorti de ma grotte


Par : MisterCouz
Genre : Réaliste, No-Fake
Statut : Terminée



Chapitre 38 : Installation dans les chalets...


Publié le 26/02/2011 à 18:34:48 par MisterCouz

- Tout le monde descend du bus et se pose devant le chalet principal !
Tout le monde est heureux, et tout le monde descend, il est 18heure, il fait noir mais on peut sentir l'air frais de la montagne contre nos visages.
Le prof d'Eco prend soudain la parole :
- Bon alors les ouistitis, ici c'est le chalet principal, vous vous mettez 4 par chambres, vous avez des douches dans les chambres mais pour les toilettes, fille comme gars, c'est en bas du chalet, il faudra descendre. Pour le self, venez nous rejoindre le soir entre 19h et 20h pour manger, le matin c'est tout le monde 8heure et le midi on mangeras sur les pistes. Voila, allez tous dans vos chambres !
Je suis vraiment au ski quoi...
Je me penche pour prendre de la neige dans mes mains et je lance une boule sur Caro. Celle ci se la prend en pleine tête et crie :
- Aïe :hap:
C'est tellement bon la neige.
Elle se retourne et me regarde, je sifflote pour passer incognito, je crois qu'elle m'a cramé.
Elle m'en relance une mais le prof d'Eco la surprend :
- Bon Caro, sa suffit tes enfantillages.
- Mais monsieur ?
Je l'ai encore bien baisé la grosse :noel:

Nous voici dans une chambre avec Alexis et Guillaume, le prof portugais rentre :
- Bon les gars, ça le fait pas, il faut une 4ème personnes...
Je regarde Alexis, qui regarde le prof :
- On peut vraiment pas être à trois monsieur ?
- Nan, de toute façon voici Roger, il reste avec vous pendant cette semaine de ski.
C'est alors qu'un mec se pointe dans notre chambre, il est habillé en costume avec une cravate rouge, et il un sac tellement énorme qu'on dirais une caravane, Guillaume lui parle le premier :
- Pourquoi on t'a jamais vus dans la classe ?
- Parce qu'on est une classe de 10élèves d'un un autre lycée qui venons avec vous pour que ce sois moins cher
J'interviens :
- Bon commence par poser ta caravane.
- Ma caravane ?
- Ton sac gros comme une maison débile :ok:
Il s'exécute et nous sort des tas de choses de son sac, des boissons, des gâteaux... :bave:
- Tu vas partager mec ?
- Ouais pas de soucis les gars, attendez je fonce au toilettes j'ai très envie de me débarrasser de cet excrément qui me pèse lourd sur mon esprit
Putin...
La prof d'SVT arrive, elle dit de sa voix si sensuelle :
- Ce soir, exceptionnellement, on mange tous ensemble plus tôt, descendez tout de suite.
- On arrive

Nous voici assis dans le restaurant/self c'est vraiment bien, j'espère qu'au moins ça va être bon.
Le repas ne tarde pas, une serveuse nous apporte un plat de tartiflette :
- Bon appétit les jeunes !
On se sert tous comme des porc, il ne reste plus rien dans le plat.
Le soucis, c'est que Roger reviens des toilettes, il s'assoit avec nous et s'empare du plat pour s'en servir, il découvre avec stupeur qu'il n'y a plus rien, il me regarde, l'air désespérer :
- Désolé gros, Caro à tout pris...
- Mais je mange quoi moi ?
Comme il a l'air désespérer, je lui sors en guise de message d'encouragement :
- Si tu veux Alexis recrache des trucs :noel:
- Ouais je veux bien
Guillaume recrache sa pomme de terre :
- Mais t'es complètement barge :ouch:
Il regarde Guillaume, puis Alexis, enfin, son regard s'arrête sur moi, le voici qui se met à pleurer :ouch:
Il va alerter tout le monde le con. Avec Alexis et Guillaume, on se dépêche pour lui redonner des patates et des lardons :
- Tiens, tiens, pleure pas :peur:
Trop tard, le Portugais arrive :
- Pourquoi il pleure lui ?
Il faut trouver quelque chose de crédible vite, je sors dans l'angoisse :
- Alexis a voulu faire un concours de celui qui s'enfonce un lardon le plus loin dans la narine, il a perdu :hap:
Le portugais n'a pas l'air de rigoler, il me regarde :
- Je peux jouer ? :fou:
Sa suffit, je monte pour aller au toilettes. Je n'ai même pas remarqué que Caro y est monté il y a cinq minutes...
Je tente d'ouvrir la première cabine, flûte, fermer ! La deuxième, victoire c'est ouvert !
Malheureusement, je découvre avec stupeur l'état des toilettes, je sais pas qui est passé avant, mais je peux vous dire que sa a dus être le feu d'artifice la dedans.
Et puis l'odeur, nauséabonde, je sors en vitesse. Tant pis, je n'irais pas me vider.
La taupe resteras au guichet. Au pire elle prendras un ticket :noel:

En descendants les escaliers pour retourner manger, je m'aperçois que c'est Caro qui passé avant moi au toilette, c'est donc elle qui a fait les attentats dans les toilettes, Ni une, ni deux, je cours immédiatement vers sa table ou elle déguste sa tartiflette et je parle assez fort pour que toute sa table entende :
- Alors Caro, ta fais le grand prix de Formule 1 ?
- De quoi tu me parle ?
- Je sais pas mais en tout cas, il y a des sacrés trace de pneus dans les toilettes :noel:
Elle me regarde, je vois même une de ces copines qui recrache son lardon :
- N'importe quoi...
- Allez Caro, sa arrive à tout le monde une petite fuite, j'espère au moins que t'es parti en pole position :rire:
- Va te faire foutre!
- Au pire tu veux un dragibus pour te boucher l'oignon ? :rire:
J'explose de rire, je suis plié en 4, je n'ai presque plus de force pour aller sur ma table.
Enfin, nous finissons de manger et nous montons dans nos chambres.

Alexis et Guillaume jouent aux cartes, et moi je galère avec mon magasine pendant que Roger prends sa douche, soudain Guillaume commence à descendre et à boire dans la bouteille de Coca de Roger.
Je lâche mon magasine :
- T'es fou ou quoi ?
- On s'en branle, bois toi aussi
La tentation est énorme, au moment ou je bois à la bouteille, Roger sort de la douche :
- Pourquoi vous buvez à ma bouteille ?
J'arrête immédiatement de boire et je réponds :
- Alexis a uriner dedans, c'est notre gage avec Guillaume de boire...
- Ah mais c'est dégueulasse ! Garder la votre bouteille...
Guillaume rajoute sa phrase pour un peu plus de crédibilité :
- Je crois même qu'il a chié dedans... Je vois des morceaux...
Sur cette phrase, on éteint la lumière et on fait semblant de dormir.
Pauvre type ce Roger, au moins, ce n'est pas moi la victime...


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