Note de la fic :
Publié le 28/10/2010 à 10:07:17 par faces-of-truth
Le lendemain matin, lorsque Rebecca arriva devant la maison des Williams, elle remarqua qu’il y avait non pas une, mais deux voitures dans le grand garage de la demeure. Elle sonna et on l’ouvrit.
Elle fut accueillie par la maîtresse de maison, qui profita de l’occasion pour lui présenter sa famille. Eugénie, adolescente de seize ans, cheveux bruns teints en blond, les yeux bleus, un look mélangeant étrangement le gothique et le punk (Rebecca ne savait pas vraiment faire la distinction) passa devant elle, lui jeta un regard torve en marmonnant quelque chose, des écouteurs dans les oreilles.
-J’y vais, Teri et Sprague m’attendent.
-Bonne journée quand même ! s’enquit Alexia.
En toute réponse, la porte claqua.
-Adorable non ?
Des bruits de pas dans l’escalier. Quelqu’un descendait au rez-de-chaussée. C’était un homme assez grand, brun, les yeux noirs, habillé avec classe qui vint embrasser sa femme avant de saluer la jeune femme.
-Et ça, c’est mon mari.
-Cette chose énorme et inutile qui ronfle, précisa-t-il avec humour.
Rebecca dessina un sourire timide sur son visage. Elle ne pouvait regarder cet homme sans se l’imaginer avec ses revues pornographiques.
L’individu la regarda avec un air curieux. Elle aurait presque pu imaginer qu’il était courant de sa découverte. Mais c’était ridicule. Elle avait tout parfaitement rangé dans la même position qu’avant qu’elle n’y touche.
Il les laissa alors et partit vers sa voiture. Alexia ne tarda pas non plus et la jeune femme de ménage se retrouva seule dans le salon. Elle s’attela alors et, une fois de plus, l’étrange impression de nettoyer un endroit propre la saisit. Elle travailla dans tout le rez-de-chaussée. Lorsqu’elle monta à l’étage, elle s’approcha de la porte de la chambre d’Eugénie et abaissa la poignée. Porte fermée à clef. Pourquoi une adolescente barricaderait son repère ? Peut-être craignait-elle qu’en nettoyant, Rebecca ne tombe sur un paquet de cigarettes…
Elle entra avec méfiance dans la chambre des parents. Alors elle distingua quelque chose sur la moquette. Elle s’en approcha et ce qu’elle découvrit l’intrigua fortement. Une trace. Une trace qui trahissait le passage d’un aspirateur. La jeune femme en était sûre à présent. On nettoyait derrière elle.
Surement obsession de la propreté, songea-t-elle.
Lorsqu’elle se retourna, elle manqua de hurler. Mr Williams se tenait dans l’entrée.
Elle fut accueillie par la maîtresse de maison, qui profita de l’occasion pour lui présenter sa famille. Eugénie, adolescente de seize ans, cheveux bruns teints en blond, les yeux bleus, un look mélangeant étrangement le gothique et le punk (Rebecca ne savait pas vraiment faire la distinction) passa devant elle, lui jeta un regard torve en marmonnant quelque chose, des écouteurs dans les oreilles.
-J’y vais, Teri et Sprague m’attendent.
-Bonne journée quand même ! s’enquit Alexia.
En toute réponse, la porte claqua.
-Adorable non ?
Des bruits de pas dans l’escalier. Quelqu’un descendait au rez-de-chaussée. C’était un homme assez grand, brun, les yeux noirs, habillé avec classe qui vint embrasser sa femme avant de saluer la jeune femme.
-Et ça, c’est mon mari.
-Cette chose énorme et inutile qui ronfle, précisa-t-il avec humour.
Rebecca dessina un sourire timide sur son visage. Elle ne pouvait regarder cet homme sans se l’imaginer avec ses revues pornographiques.
L’individu la regarda avec un air curieux. Elle aurait presque pu imaginer qu’il était courant de sa découverte. Mais c’était ridicule. Elle avait tout parfaitement rangé dans la même position qu’avant qu’elle n’y touche.
Il les laissa alors et partit vers sa voiture. Alexia ne tarda pas non plus et la jeune femme de ménage se retrouva seule dans le salon. Elle s’attela alors et, une fois de plus, l’étrange impression de nettoyer un endroit propre la saisit. Elle travailla dans tout le rez-de-chaussée. Lorsqu’elle monta à l’étage, elle s’approcha de la porte de la chambre d’Eugénie et abaissa la poignée. Porte fermée à clef. Pourquoi une adolescente barricaderait son repère ? Peut-être craignait-elle qu’en nettoyant, Rebecca ne tombe sur un paquet de cigarettes…
Elle entra avec méfiance dans la chambre des parents. Alors elle distingua quelque chose sur la moquette. Elle s’en approcha et ce qu’elle découvrit l’intrigua fortement. Une trace. Une trace qui trahissait le passage d’un aspirateur. La jeune femme en était sûre à présent. On nettoyait derrière elle.
Surement obsession de la propreté, songea-t-elle.
Lorsqu’elle se retourna, elle manqua de hurler. Mr Williams se tenait dans l’entrée.