Note de la fic :
Publié le 22/11/2010 à 22:02:42 par faces-of-truth
Les jours suivants, Eugénie s’évertua à éviter de croiser le chemin de Rebecca par tous les moyens possibles. Fuyant autant son regard que sa présence, l’adolescente dévoila une méfiance sans bornes vis-à-vis de la jeune femme.
Celle-ci supportait de moins en moins la pression qu’exerçait sur elle Mr Williams, plus inquisiteur que jamais. Il lui avait même demandé de poser sur une étagère très haute un vieux carton pour pouvoir se pencher et observer son entre-jambe sous sa jupe.
Un matin alors qu’elle arrivait en croisant Alexia partir pour le travail, elle eut un bref moment d’hésitation et se précipita vers elle dans le jardin.
-Bon sang, Reb, que vous arrive-t-il ? s’inquiéta la maîtresse de maison.
-Madame Williams… Euh, Alexia… J’ai à vous parler… Et c’est très urgent…
-J’ai une réunion très importante et je suis déjà en retard, ça ne peut pas attendre ?
-Je… Je…
-Nom d’un chien, mais vous tremblez ! Que se passe-t-il ?
La malheureuse remit maladroitement une mèche derrière son oreille et avala sa salive.
-C’est à propos de votre mari.
-Pardon ?
-Tout ça… Mon état… Le…
-Attendez, attendez… Je comprends rien ! Qu’est-ce que Charles vient faire là-dedans ?
-Il… Il…
Alors, elle aperçut du coin de l’œil des rideaux être tirés à l’étage supérieur. Alexia ne pouvait le voir, mais il était là. Il la surveillait.
-Rebecca ?
-Pas ici.
-Je… Je ne suis pas sûre…
-Désolé, vous allez être en retard.
-Mais…
-Nous en parlerons plus tard.
L’autre la fixa d’un air intrigué et chuchota :
-Ce soir…
Lorsque Rebecca pénétra de nouveau dans la maison, elle pensa quelques instants être seule, mais l’homme qu’elle redoutait tant la rejoignit rapidement en descendant les escaliers.
-Tu n’es pas au travail, mon cœur ? se força à articuler la jeune femme.
-Je suis de congé aujourd’hui, lâcha-t-il.
Cette phrase tétanisa la victime.
-Je suis là… toute la journée…
Elle dut faire appel à toute ses forces pour ne pas se trahir avec un mouvement de recul.
-C’est… génial…
-Tu sembles bien t’entendre avec ma femme ?
-Euh… oui…
-De quoi parliez-vous ?.
-De… De rien…
-Pas de moi j’espère ?
Il se rapprochait de plus en plus.
-Non !
-Tu en es sûre ?
-Oui !
-Pourquoi tu tremblais ?
-J’avais froid.
-Et ma bite dans ton cul, ça te fait trembler ?
Il éclata alors d’un rire sonore qui résonna dans la demeure.
-Hahaha ! Tu aurais vu ta tête !
La jeune femme aurait voulu s’enfuir, disparaître de cet endroit.
-Bon, reprit-il sur un ton sérieux. J’ai à te parler.
-Ah… ?
-Je vais te laisser en paix à partir de maintenant.
Rebecca n’en crut pas ses oreilles.
-Vr… Vraiment ?
-Oui.
-Oh merci !!!
-Mais avant, je vais m’installer sur le sofa, tu vas me rejoindre et me tailler une pipe.
Celle-ci supportait de moins en moins la pression qu’exerçait sur elle Mr Williams, plus inquisiteur que jamais. Il lui avait même demandé de poser sur une étagère très haute un vieux carton pour pouvoir se pencher et observer son entre-jambe sous sa jupe.
Un matin alors qu’elle arrivait en croisant Alexia partir pour le travail, elle eut un bref moment d’hésitation et se précipita vers elle dans le jardin.
-Bon sang, Reb, que vous arrive-t-il ? s’inquiéta la maîtresse de maison.
-Madame Williams… Euh, Alexia… J’ai à vous parler… Et c’est très urgent…
-J’ai une réunion très importante et je suis déjà en retard, ça ne peut pas attendre ?
-Je… Je…
-Nom d’un chien, mais vous tremblez ! Que se passe-t-il ?
La malheureuse remit maladroitement une mèche derrière son oreille et avala sa salive.
-C’est à propos de votre mari.
-Pardon ?
-Tout ça… Mon état… Le…
-Attendez, attendez… Je comprends rien ! Qu’est-ce que Charles vient faire là-dedans ?
-Il… Il…
Alors, elle aperçut du coin de l’œil des rideaux être tirés à l’étage supérieur. Alexia ne pouvait le voir, mais il était là. Il la surveillait.
-Rebecca ?
-Pas ici.
-Je… Je ne suis pas sûre…
-Désolé, vous allez être en retard.
-Mais…
-Nous en parlerons plus tard.
L’autre la fixa d’un air intrigué et chuchota :
-Ce soir…
Lorsque Rebecca pénétra de nouveau dans la maison, elle pensa quelques instants être seule, mais l’homme qu’elle redoutait tant la rejoignit rapidement en descendant les escaliers.
-Tu n’es pas au travail, mon cœur ? se força à articuler la jeune femme.
-Je suis de congé aujourd’hui, lâcha-t-il.
Cette phrase tétanisa la victime.
-Je suis là… toute la journée…
Elle dut faire appel à toute ses forces pour ne pas se trahir avec un mouvement de recul.
-C’est… génial…
-Tu sembles bien t’entendre avec ma femme ?
-Euh… oui…
-De quoi parliez-vous ?.
-De… De rien…
-Pas de moi j’espère ?
Il se rapprochait de plus en plus.
-Non !
-Tu en es sûre ?
-Oui !
-Pourquoi tu tremblais ?
-J’avais froid.
-Et ma bite dans ton cul, ça te fait trembler ?
Il éclata alors d’un rire sonore qui résonna dans la demeure.
-Hahaha ! Tu aurais vu ta tête !
La jeune femme aurait voulu s’enfuir, disparaître de cet endroit.
-Bon, reprit-il sur un ton sérieux. J’ai à te parler.
-Ah… ?
-Je vais te laisser en paix à partir de maintenant.
Rebecca n’en crut pas ses oreilles.
-Vr… Vraiment ?
-Oui.
-Oh merci !!!
-Mais avant, je vais m’installer sur le sofa, tu vas me rejoindre et me tailler une pipe.
Commentaires
- Onlie
01/10/2016 à 14:55:54
6 ans de retard dommage que ce n'est pas finit
- Darkdestiny
26/11/2013 à 23:47:04
Ah ok j'ai trois ans de retard
- Darkdestiny
24/11/2013 à 03:49:35
Sweet
- Snakier
20/12/2010 à 14:49:08
A quand la conclusion ?
- Timoth54
19/12/2010 à 14:26:27
Suite
- Mecherki
13/12/2010 à 13:57:20
Suite!
- glastrone
24/11/2010 à 12:45:46
Juste digne de lui .. ^^
tu sais que plus tu presses les citrons, plus les Kiwis attendent ...
- Pseudo supprimé
23/11/2010 à 20:52:03
Jerry à la fin