Note de la fic :
Papillons et Ouragans
Par : MassiveDynamic
Genre : Action, Sentimental
Statut : Terminée
Chapitre 9 : Tu Dois Changer le Monde
Publié le 20/08/2010 à 02:39:51 par MassiveDynamic
Hs : Chapitre très court, mais le prochain sera un pavé, et surtout la fic sera définitivement lancée
Dormir ? Comment ? Je suis stressé, stressé au plus au point. Après ce qui vient d'arriver, notre famille ne sera plus jamais la même. Et c'est ma mère qui dictait les ordres, pas Joe. Il me dit de rester discret, et bien, j'ai feinté la gentillesse, mais son comportement demeure suspect et il pourrait très bien avoir un mobile.
Je roule dans ma voiture en direction de mon appartement, ayant laissé Joe seul au manoir. Je compose le numéro de mes trois frères sur le téléphone intégré. Les trois décrochent presque simultanément.
"Allô ? "
"Heeein ? "
"Putain Sam t'as intérêt à avoir une bonne raison de me réveiller à cette heure-ci ! "
Toujours aussi accueillant, Bax.
Tout en conduisant, je prends les commandes de la suite des opérations.
"Bon, tous les trois, vous m'écoutez et vous vous taisez. On a un énorme problème, c'est à propos de ma mère, Christine. Joe m'a appelé y'a environ une heure, le manoir a selon lui été attaqué..."
Et je leur ai tout raconté, de l'attaque de Joe jusqu'au fait qu'il les suspectait et qu'il ne voulait pas que je leur en parle. Bax, énervé, s'accapara bruyamment la conversation.
"L'enfoiré ! Putain ! Mais... Il t'a raconté comment il a été attaqué au moins ? Et pourquoi est-ce qu'il nous suspecte nous merde ? Il a vu personne ? "
Je lui réponds en essayant de calmer ses ardeurs.
"Ben, disons qu'il a été assez vague en fait. J'en sais pas grand chose, sur ce qu'il s'est passé... "
"Et t'as pas plus insisté ?! Mais merde, c'est ta mère ! Putain, je sors, je vais au manoir. J'vais avoir une discussion avec cet enfoiré ! Non, vous savez quoi, ramenez-vous tous. On va lui rendre une petite surprise, si lui nous suspecte, moi c'est son comportement que je trouve suspect. Ah, et, amenez vos armes, on sait jamais. "
Le tempérament de Bax est toujours aussi prévisible. Je jubile seul dans ma voiture.
Tout le monde approuve son discours, et nous nous dirigeons tous vers le manoir, moi en étant le plus proche. La supercherie peut continuer.
Dormir ? Comment ? Je suis stressé, stressé au plus au point. Après ce qui vient d'arriver, notre famille ne sera plus jamais la même. Et c'est ma mère qui dictait les ordres, pas Joe. Il me dit de rester discret, et bien, j'ai feinté la gentillesse, mais son comportement demeure suspect et il pourrait très bien avoir un mobile.
Je roule dans ma voiture en direction de mon appartement, ayant laissé Joe seul au manoir. Je compose le numéro de mes trois frères sur le téléphone intégré. Les trois décrochent presque simultanément.
"Allô ? "
"Heeein ? "
"Putain Sam t'as intérêt à avoir une bonne raison de me réveiller à cette heure-ci ! "
Toujours aussi accueillant, Bax.
Tout en conduisant, je prends les commandes de la suite des opérations.
"Bon, tous les trois, vous m'écoutez et vous vous taisez. On a un énorme problème, c'est à propos de ma mère, Christine. Joe m'a appelé y'a environ une heure, le manoir a selon lui été attaqué..."
Et je leur ai tout raconté, de l'attaque de Joe jusqu'au fait qu'il les suspectait et qu'il ne voulait pas que je leur en parle. Bax, énervé, s'accapara bruyamment la conversation.
"L'enfoiré ! Putain ! Mais... Il t'a raconté comment il a été attaqué au moins ? Et pourquoi est-ce qu'il nous suspecte nous merde ? Il a vu personne ? "
Je lui réponds en essayant de calmer ses ardeurs.
"Ben, disons qu'il a été assez vague en fait. J'en sais pas grand chose, sur ce qu'il s'est passé... "
"Et t'as pas plus insisté ?! Mais merde, c'est ta mère ! Putain, je sors, je vais au manoir. J'vais avoir une discussion avec cet enfoiré ! Non, vous savez quoi, ramenez-vous tous. On va lui rendre une petite surprise, si lui nous suspecte, moi c'est son comportement que je trouve suspect. Ah, et, amenez vos armes, on sait jamais. "
Le tempérament de Bax est toujours aussi prévisible. Je jubile seul dans ma voiture.
Tout le monde approuve son discours, et nous nous dirigeons tous vers le manoir, moi en étant le plus proche. La supercherie peut continuer.