Note de la fic :
Publié le 25/08/2009 à 12:12:06 par [no_PGM]
Je me dirige vers la salle de sport. La pluie coule sur mon visage et dans mes yeux…
Je remonte une nouvelle fois sur le toit et observe l’intérieur.
Luciano est à en bas avec ce qu’il reste de ses hommes. Il donne ses directives: deux hommes dehors devant chaque porte, y compris celle des coulisses, et un homme de l’autre côté de ces mêmes portes. Un autre homme surveillera la salle depuis l’estrade. Quant à Luciano et les cinq hommes restants, ils patrouilleront pour retrouver les deux gars que j’ai tué dans les toilettes et voir qui à mis le feu à l’espèce de vielle roulotte au fond de la cour.
Je souris. Si ils savaient…
Luciano et son escorte sont sortis, les hommes de la salle se dirigent vers leurs positions.
Ils espèrent survivre en éclatant leur groupe? Quelle blague!
Pour descendre du toit, je dois me tenir sur le rebords qui surplombe la porte des coulisses. Je ne vois pas les gardes, mais en me penchant je vois le bout de leurs pieds. Ces imbéciles restent au sec et à la lumière. Est-ce possible de trouver des proies aussi faciles?
Je dégaine ma machette et fléchit les jambes pour amortir le choc et je me laisse tomber en arrière. Une fois au sol, je me retourne pour faire face aux gardes. Ils affichent une tête étonné, j’ai envie d’en rire. Je ne leur laisse pas le temps de se ressaisir, je balance mon bras vers la gauche puis vers la droite. Les deux corps s’effondrent dans une gerbe de sang, le cou à moitié tranché. J’essuie ma lame sur le tee-shirt d’un des deux cadavres.
Quelqu’un frappe à la porte, c’est le garde à l’intérieur.
« - Hey, les mecs. C’était quoi ça? »
Il attend sa réponse quelques secondes. Alors qu’il ouvre la porte, je me déplace sur le côté. Il passe sa tête par la porte:
« - Greg, t’es où? »
Soudain, il aperçoit enfin les cadavre. Après deux secondes, il tourne la tête vers moi. Il voit un homme habillé en militaire qui tient une machette à deux mains au dessus de sa tête. Ses yeux s’emplissent de terreur à la vue de la mort qui commence sa descente. La lumière est reflétée un instant sur le fil de ma lame. L’homme pousse un petit cri lorsque ma lame percute sa nuque. La lame continue en coupant muscles, veines, artères, œsophage et carotide. Le corps s’effondre alors que sa tête vole sous l’impact. Qu’est-ce que c’est dégueulasse tout ce sang, mais aussi très excitant!
Une fois le tout retombé, je tire les corps sous une haie quelques mètres plus loin. Avec cette pluie, personne ne les verra.
Je me dirige vers l’entrée Sud et observe les deux gardes de cette porte. Je jette une pierre deux mètres sur leur gauche pour attirer leur attention. Je profite de cette diversion pour me jeter sur eux. Une fois éliminés, je cache leurs corps.
« - Ça va, les gars? On a cru entendre du bruit. »
Merde! C’est les gardes de la dernière porte.
« - Qu’est-ce que… »
Ils m’ont vu. J’attrape mon M-16 mais ils ont déjà ouvert le feu. Une balle m’atteint au bras gauche au moment où je plonge. La porte s’ouvre et le garde de l'intérieur sort avec son arme. J’ai pas le choix, je doit battre en retraite. Je cours vers l’entrée des coulisses pour me mettre à l’abri sur le toit. Ils me suivent mais je les sèment. Après être difficilement monté, je regarde les gardes qui me cherchent. Après quelques minutes, ils rentrent dans la salle et préviennent les autres et décident de tous rester à l’intérieur.
Les deux hommes qui étaient dehors vont remplacer celui qui était dans les coulisses.
Ils ont peut-être un instinct de survie après tout…
Je remonte une nouvelle fois sur le toit et observe l’intérieur.
Luciano est à en bas avec ce qu’il reste de ses hommes. Il donne ses directives: deux hommes dehors devant chaque porte, y compris celle des coulisses, et un homme de l’autre côté de ces mêmes portes. Un autre homme surveillera la salle depuis l’estrade. Quant à Luciano et les cinq hommes restants, ils patrouilleront pour retrouver les deux gars que j’ai tué dans les toilettes et voir qui à mis le feu à l’espèce de vielle roulotte au fond de la cour.
Je souris. Si ils savaient…
Luciano et son escorte sont sortis, les hommes de la salle se dirigent vers leurs positions.
Ils espèrent survivre en éclatant leur groupe? Quelle blague!
Pour descendre du toit, je dois me tenir sur le rebords qui surplombe la porte des coulisses. Je ne vois pas les gardes, mais en me penchant je vois le bout de leurs pieds. Ces imbéciles restent au sec et à la lumière. Est-ce possible de trouver des proies aussi faciles?
Je dégaine ma machette et fléchit les jambes pour amortir le choc et je me laisse tomber en arrière. Une fois au sol, je me retourne pour faire face aux gardes. Ils affichent une tête étonné, j’ai envie d’en rire. Je ne leur laisse pas le temps de se ressaisir, je balance mon bras vers la gauche puis vers la droite. Les deux corps s’effondrent dans une gerbe de sang, le cou à moitié tranché. J’essuie ma lame sur le tee-shirt d’un des deux cadavres.
Quelqu’un frappe à la porte, c’est le garde à l’intérieur.
« - Hey, les mecs. C’était quoi ça? »
Il attend sa réponse quelques secondes. Alors qu’il ouvre la porte, je me déplace sur le côté. Il passe sa tête par la porte:
« - Greg, t’es où? »
Soudain, il aperçoit enfin les cadavre. Après deux secondes, il tourne la tête vers moi. Il voit un homme habillé en militaire qui tient une machette à deux mains au dessus de sa tête. Ses yeux s’emplissent de terreur à la vue de la mort qui commence sa descente. La lumière est reflétée un instant sur le fil de ma lame. L’homme pousse un petit cri lorsque ma lame percute sa nuque. La lame continue en coupant muscles, veines, artères, œsophage et carotide. Le corps s’effondre alors que sa tête vole sous l’impact. Qu’est-ce que c’est dégueulasse tout ce sang, mais aussi très excitant!
Une fois le tout retombé, je tire les corps sous une haie quelques mètres plus loin. Avec cette pluie, personne ne les verra.
Je me dirige vers l’entrée Sud et observe les deux gardes de cette porte. Je jette une pierre deux mètres sur leur gauche pour attirer leur attention. Je profite de cette diversion pour me jeter sur eux. Une fois éliminés, je cache leurs corps.
« - Ça va, les gars? On a cru entendre du bruit. »
Merde! C’est les gardes de la dernière porte.
« - Qu’est-ce que… »
Ils m’ont vu. J’attrape mon M-16 mais ils ont déjà ouvert le feu. Une balle m’atteint au bras gauche au moment où je plonge. La porte s’ouvre et le garde de l'intérieur sort avec son arme. J’ai pas le choix, je doit battre en retraite. Je cours vers l’entrée des coulisses pour me mettre à l’abri sur le toit. Ils me suivent mais je les sèment. Après être difficilement monté, je regarde les gardes qui me cherchent. Après quelques minutes, ils rentrent dans la salle et préviennent les autres et décident de tous rester à l’intérieur.
Les deux hommes qui étaient dehors vont remplacer celui qui était dans les coulisses.
Ils ont peut-être un instinct de survie après tout…
Commentaires
- mashtok
23/07/2011 à 18:14:57
j'aime bien il les planque mais avec tout le sang bah c'est pas discret :P
- nfsmw91
25/08/2009 à 15:01:32
Suite Dommage que Fabien n'intervienne plus, il était sympathique
- Pseudo supprimé
25/08/2009 à 14:57:01
Quelques fautes mais on les oublies quand on se plonge dans ton histoire
S
W
E
E
T