Note de la fic :
Publié le 24/08/2009 à 22:20:49 par [no_PGM]
Avant l'action: l'observation! Et la "cueillette" d'informations.
Je passe à côté des toilettes, des voix s'élèvent de l'intérieur: un mec raconte des connerie à propos de sa petite amie qui l'attend chez lui en tenue légère.
J'entre dans les toilettes, la voie s'élève des cabines et le deuxième mec est aux lavabos. Je m'approche de lui au moment où il se redresse. J'attrape sa tête et la baisse pendant que mon genou monte. Son nez et ses lèvres éclatent sous le coup, il rebondit en arrière, glisse et s'explose le crâne contre le lavabo en tombant. Il est sur le sol en train de gémir et de se tenir la tête. L'autre dans la cabine l'entend même pas tellement il cause...
Tant mieux.
Je m'approche du type à terre, je lui passe une main derrière la tête et je plaque l'autre sur son visage. D'un mouvement sec, je lui brise la nuque. L'autre mec se rend enfin compte qu'il y a un truc qui cloche.
« - Hey! Laurent, ça va? »
Je laisse Laurent derrière moi et m'approche de la cabine de l'autre.
La porte s'entrouvre et le mec me voit.
Lui aussi essaye de dégainer son arme. Première erreur. Ils ont pas d'instinct de survie, ou quoi?
J'attrape le battant de la porte et le lui éclate sur la gueule. Il tombe assis sur les chiottes et tente de me frapper au visage pendant qu'il se relève. Deuxième erreur. J'attrape son poing et lui tord le bras. Il hurle quand son bras casse.
Quelle tapette!
Le gamin, Fabien, se mange des balles et il crie pas. Lui se casse le bras et pleure.
Il me fait pitié, tant mieux pour lui, il mourra vite.
Je regarde dans la cuvette, ce con à fait une troisième erreur: il a pas tiré la chasse!
Je lui plonge la tête dans sa merde. Il se débat et vide ses poumons de leur air. J'arrête d'appuyer. Il prend une grande inspiration d'air nauséabond, de merde et d'eau mélangée à la pisse. Je commence l'interrogatoire:
« - Vous êtes combien?
- Vas crever!
- Et une nouvelle erreur! »
Je lui replace la tête dans la cuvette. Quand je le remonte, il a l'air de nouveau bavard:
« - OK, OK! Je vais te dire! On était vingt-cinq »
A peu près ce que je pensais.
Vingt-cinq moins les sept que le gosse a tué et les deux qui sont dans cette pièce, ça fait seize. Facile!
« - Ils sont tous dans la salle?
- Je sais pas! Je le jure devant Dieu, je sais pas! »
Tant pis... Je lui plonge la tête une nouvelle fois et je le maintiens jusqu'à ce qui ne bouge plus. Au cas ou, je le maintiens un peu plus.
Quelle mort dégueulasse... Se noyer dans sa propre merde.
Je m'avance vers la sortie. Le brouillard est levé mais un orage a éclaté. Je sors sous la pluie, au son du tonnerre et dans le noir...
Je passe à côté des toilettes, des voix s'élèvent de l'intérieur: un mec raconte des connerie à propos de sa petite amie qui l'attend chez lui en tenue légère.
J'entre dans les toilettes, la voie s'élève des cabines et le deuxième mec est aux lavabos. Je m'approche de lui au moment où il se redresse. J'attrape sa tête et la baisse pendant que mon genou monte. Son nez et ses lèvres éclatent sous le coup, il rebondit en arrière, glisse et s'explose le crâne contre le lavabo en tombant. Il est sur le sol en train de gémir et de se tenir la tête. L'autre dans la cabine l'entend même pas tellement il cause...
Tant mieux.
Je m'approche du type à terre, je lui passe une main derrière la tête et je plaque l'autre sur son visage. D'un mouvement sec, je lui brise la nuque. L'autre mec se rend enfin compte qu'il y a un truc qui cloche.
« - Hey! Laurent, ça va? »
Je laisse Laurent derrière moi et m'approche de la cabine de l'autre.
La porte s'entrouvre et le mec me voit.
Lui aussi essaye de dégainer son arme. Première erreur. Ils ont pas d'instinct de survie, ou quoi?
J'attrape le battant de la porte et le lui éclate sur la gueule. Il tombe assis sur les chiottes et tente de me frapper au visage pendant qu'il se relève. Deuxième erreur. J'attrape son poing et lui tord le bras. Il hurle quand son bras casse.
Quelle tapette!
Le gamin, Fabien, se mange des balles et il crie pas. Lui se casse le bras et pleure.
Il me fait pitié, tant mieux pour lui, il mourra vite.
Je regarde dans la cuvette, ce con à fait une troisième erreur: il a pas tiré la chasse!
Je lui plonge la tête dans sa merde. Il se débat et vide ses poumons de leur air. J'arrête d'appuyer. Il prend une grande inspiration d'air nauséabond, de merde et d'eau mélangée à la pisse. Je commence l'interrogatoire:
« - Vous êtes combien?
- Vas crever!
- Et une nouvelle erreur! »
Je lui replace la tête dans la cuvette. Quand je le remonte, il a l'air de nouveau bavard:
« - OK, OK! Je vais te dire! On était vingt-cinq »
A peu près ce que je pensais.
Vingt-cinq moins les sept que le gosse a tué et les deux qui sont dans cette pièce, ça fait seize. Facile!
« - Ils sont tous dans la salle?
- Je sais pas! Je le jure devant Dieu, je sais pas! »
Tant pis... Je lui plonge la tête une nouvelle fois et je le maintiens jusqu'à ce qui ne bouge plus. Au cas ou, je le maintiens un peu plus.
Quelle mort dégueulasse... Se noyer dans sa propre merde.
Je m'avance vers la sortie. Le brouillard est levé mais un orage a éclaté. Je sors sous la pluie, au son du tonnerre et dans le noir...
Commentaires
- mashtok
12/09/2009 à 16:35:46
j'hallu un happiste sur la fic du plus noeliste des noelistes rien ne va plus
- Hart_MGO
24/08/2009 à 23:33:47
Sin city spotted pour les erreurs + la mort du type dans les chiottes
S
W
E
E
T
s
a
l
e
r
a
c
l
'
Putain, c'est long d'écrire comme ça - KirKill
24/08/2009 à 22:43:40
Ça c'est une mort classe