Note de la fic :
Chloe et moi
Par : 5xBan
Genre : Sentimental, Horreur
Statut : C'est compliqué
Chapitre 32 : Mon nouvel ami ?
Publié le 29/08/2015 à 09:11:55 par 5xBan
Pour les heures qui suivirent, Vincent nous raconta son histoire.
Comment ses amis l'avaient en quelques sortes trahis puis rejetés et a quel point il regrettait son acte qu'il qualifiait de stupide et abjecte.
Et bien que la rage bouillait encore en moi j’étais entrain a écouter ce qu'il avait a dire. Chloé elle, était silencieuse, écoutant aussi sans dire un mot.
- Je ne pourrais plus jamais marcher correctement sans ma canne, mais je suppose que c'est le prix a payer pour ma bêtise.
Cette phrase me restai longtemps en tête, est-ce que je me sentais coupable ? Non, Vincent a eu ce qu'il méritait, mais est-ce que ça justifiait un tel degré de violence ? Un simple coup de poing aurait suffit.
Mes plans d'assassinat disparurent de ma tête et ne furent bientôt plus qu'un vague souvenirs. Est-ce que Vincent devenait mon ami ?
Il avait fait tout son possible pour nous accueillir du mieux qu'il pouvait et j'avais vraiment envie de croire qu'il avait réellement changé, chacun mérite sûrement une seconde chance. Après tout, Chloé m'a offert la mienne alors pourquoi ne pas faire de même avec Vincent ?
Et a cet instant précis, mon subconscient refit surgirent les événements de ce jour la comme en guise de réponse.
L'humiliation que j'avais subis, ce sentiment d’être observé.
Marrant ça de se dire que mon propre corps ne semblait pas apprécier ma décision, mais mon choix était fait quoi qu'il en soit.
Oui, c'est ce que j'allais faire.
Mais une autre pensée me vint cependant en tête, quelque chose de claire et net. Si il tente quoi que ce soit, alors je le tuerais.
- Il me semble que tu a parlé d'une fête non ? Lui dis-je
- Ah oui en effet, la fameuse fiesta ou tout le monde se trouvera, l'anniversaire d'une gosse de riche il me semble.
- Comment ça se fait qu'on est des invitations ?
- On en a pas, et franchement elle s'en contrefout pas mal tant qu'il y a du monde et de l'ambiance, c'est bienvenu a tous en fait.
- Je vois le genre, et ça tombe quand ?
- Dans quelques jours, Chloé ne t'a pas mis au courant ?
Me tournant vers Chloé, celle-ci me sourit sans dire un mot comme si elle n'osait pas interrompre ma discussion avec Vincent.
- Si, c'est d'ailleurs pour ça qu'on est la.
- Je suppose que tu va y aller donc ?
- Je ne vois pas de raison pour ne pas y aller.
- Tu a raison mais ...
Vincent laissa sa phrase en suspens comme cherchant la bonne formulation. Puis finalement il reprit.
- C'est pas pour te blesser Joëlle mais la plupart des jeunes de cette ville te croit moi et autant te le dire tout de suite ça en a soulagé plus d'un de savoir ça. Ils ont tous tellement peur de toi que te savoir mort ça a été une délivrance pour eux, alors te revoir comme ça brusquement.
Cette unique phrase, c'est cette unique phrase qui changea tout mon monde en quelques secondes. Ils étaient contents que je sois mort ?
Les enfoirés, je vais les égorger, jusqu'au dernier.
Et moi qui faisait tout mon possible pour me faire accepter et ils étaient content de me savoir mort ?
Mon dieu, j'allais prendre un malin plaisir a réapparaître.
Cette soudaine nouvelle devint si motivante d'un seul coup que ça en serait criminelle que de ne pas y aller.
Chloé remarqua une fois de plus que j’étais en train de craquer et elle posa une main sur mon épaule se voulant inquiète.
Mais ce coup-ci je la repoussai aussitôt, j'en avais assez de toujours me reposer sur elle. Mon geste parut violent bien que ce n’était pas mon intention de départ est un malaise s'installa entre nous trois.
- Je vais bien vous en faites pas.
Oh oui, j'allais même super bien, si ils étaient si a l'aise j'allais tout faire pour les faire changer d'avis, faire en sortes qu'ils rentrent chez eux au bord du suicide. Cette fête s’annonçait génial en fin de compte.
Je me levai de mon siège remerciant Vincent pour ses explications.
Chloé sembla un peu surprise par mon geste.
- Attend, on a pas fini notre journée et...
- Je rentre chez moi Chloé, dans mon propre appartement.
- Mais attend on peut rentrer ensemble. Insista-elle
- Chloé s'il te plaît, j'en ai besoin.
Déçu, c'est la déception que je lisais sur son visage, elle me voyait sûrement faire marche arrière dans ma manière d'agir mais honnêtement ce qu'elle peut penser m'importe peu pour l'instant.
Comme pour briser le silence qui planait Vincent se leva lui aussi et me tendit la main.
- C’était un plaisir de t'avoir revu Joëlle, et je suis content qu'on est pu s'expliquer.
Hésitant un instant mon regard switcha entre Vincent et sa main, puis dans un grand sourire je lui serrai la pince.
Vincent sembla apprécier et me rendit mon sourire.
Puis chacun fit ses adieux et retourna sur son propre chemin.
Seul Chloé resta assise sur sa chaise.
En la voyant comme ça j'eus mal au cœur.
Je me sentais égoïste dans un sens de partir comme ça
Elle qui avait prévu une journée juste pour moi.
Non je ne pouvais définitivement pas partir comme ça.
Faisant demi-tour je me faufilai derrière elle puis tapotai sur son épaule.
A l'instant ou elle se retourna je posai une main sur sa joue et l'embrassai tendrement. Notre baiser dura un petit instant et en nous séparant je lui dis : Je reviendrais, ne t'en fais pas.
Elle vira au rouge tomate en quelques secondes et resta bouche bée ne sachant sûrement pas quoi dire. Je m’éloignai de nouveau sans la quitter des yeux aussi longtemps que je pu. Puis elle disparut au loin.
Une fois seul je me rendis compte du plus gros problème.
Je rentre comment maintenant ?
J’étais venu en voiture avec Chloé et je ne pouvais clairement plus la retourner la voir pour lui dire « Hey désolé en fait si tu pouvais me ramener que je puisse de nouveau te lâcher »
Et prendre le bus n’était plus une option.
Et alors que j’étais sur le point de retourner vers Chloé j’aperçus Vincent se dirigeant vers la sortie, sa canne le ralentissant pas mal il n’était pas encore partit. Je courus dans sa direction et le rattrapai assez facilement.
- Tiens re-bonjour Joëlle. Dit-il en riant
- Écoute, désolé de te demander ça mais j'aurais besoin de quelqu'un pour me ramener.
Légèrement intrigué il répondit :
- Chloé ne peut pas le faire ?
- C'est a dire que c'est plus trop une possibilité.
Il n'insista pas plus longtemps et accepta de me reconduire.
Sa voiture n’était pas trop loin de la sortie, sûrement a cause de sa jambe.
D'ailleurs en parlant de voiture je devais reconnaître que la sienne était forte jolie, une Audi a en croire le logo mais le modèle m’était inconnue.
Une fois que la portière fut déverrouillé je pris place passager a coté de Vincent admirant au passage l’intérieur, les sièges en cuirs brun, le tableau de bord, l’écran tactile au centre. Un vrai bijou comme voiture.
- C'est sympa non ?
- Je dois reconnaître que tu a du goût mon ami.
Vincent se mit a rire puis démarra enfin la voiture qui pris vie dans un bruit a en faire baver les oreilles.
-Mon dieu que c'est puissant ! Dis-je impressionné
Vincent rit de plus belle en observant ma réaction quoiqu'un peut enfantine. Puis il me demanda soudainement de faire silence.
-Tiens regarde, tu vois la dame qui passe la.
Regardant dans la direction qu'il pointait je vis en effet la dame avec son caddie qui se rapprochait de la voiture.
Vincent baissa légèrement la tête comme attendant le bon moment.
Je fis pareil ne sachant pas a quoi m'attendre.
Quand la femme fut devant le capot Vincent appuya sur l’accélérateur ce qui fit hurler le moteur et terrifia la vieille dame qui poussa un hurlement.
Face a la scène j'explosai littéralement de rire rejoint par Vincent.
La vieille dame elle n’était clairement pas très contente mais ça n'en rendait que la scène plus hilarante.
- Alors ça c’était vraiment énorme. Lui dis-je en me retenant de pleurer tant je riais.
- Tu l'a dis. Répondit-il en levant la main, je tapai dedans en riant toujours autant.
Le fou rire dura un instant mais il finit par disparaître au bout d'un moment et le sérieux pu de nouveau prendre sa place.
Vincent se concentrait sur la route et moi je regardais dehors comme a mon habitude.
- Je dois te dire un truc Vincent ?
- Je t’écoute.
- Je pensais pas qu'on finirait ainsi.
- Moi non plus crois moi, la vie est pleine de surprise comme on dit.
- Je suppose que c'est vrai, au juste par rapport a ce que tu a dis tout a l'heure.
- Tu a encore ça en tête hein ?
- C'est difficile a oublier.
-Écoute, je sais que ça doit faire mal mais ici je ne fais que te dire ce que j'ai vu et entendu rien de plus.
-Je ne te reproche rien ne t'en fais pas.
Avant qu'il est le temps de répondre j’enchaînai aussitôt.
-Ah çà y est je suis arrivé.
-Ah, eh bien écoute c’était sympa d'avoir discuter un peu plus longtemps.
-Je trouve aussi, a une prochaine fois Vincent.
Après un dernier salut il redémarra et disparut au tournant.
M'assurant qu'il était bel et bien partie je traversai les quelques rues de distances que j'avais mis pour que même Vincent ne se doute de rien.
Et je le trouvai enfin, me rapprochant de la vitrine j'admirai les différentes lames et couteaux posés sur les étagères.
-Comment on appelle ce genre d'artisan, un coutelier, une coutellerie ? Pensais-je en souriant
Comment ses amis l'avaient en quelques sortes trahis puis rejetés et a quel point il regrettait son acte qu'il qualifiait de stupide et abjecte.
Et bien que la rage bouillait encore en moi j’étais entrain a écouter ce qu'il avait a dire. Chloé elle, était silencieuse, écoutant aussi sans dire un mot.
- Je ne pourrais plus jamais marcher correctement sans ma canne, mais je suppose que c'est le prix a payer pour ma bêtise.
Cette phrase me restai longtemps en tête, est-ce que je me sentais coupable ? Non, Vincent a eu ce qu'il méritait, mais est-ce que ça justifiait un tel degré de violence ? Un simple coup de poing aurait suffit.
Mes plans d'assassinat disparurent de ma tête et ne furent bientôt plus qu'un vague souvenirs. Est-ce que Vincent devenait mon ami ?
Il avait fait tout son possible pour nous accueillir du mieux qu'il pouvait et j'avais vraiment envie de croire qu'il avait réellement changé, chacun mérite sûrement une seconde chance. Après tout, Chloé m'a offert la mienne alors pourquoi ne pas faire de même avec Vincent ?
Et a cet instant précis, mon subconscient refit surgirent les événements de ce jour la comme en guise de réponse.
L'humiliation que j'avais subis, ce sentiment d’être observé.
Marrant ça de se dire que mon propre corps ne semblait pas apprécier ma décision, mais mon choix était fait quoi qu'il en soit.
Oui, c'est ce que j'allais faire.
Mais une autre pensée me vint cependant en tête, quelque chose de claire et net. Si il tente quoi que ce soit, alors je le tuerais.
- Il me semble que tu a parlé d'une fête non ? Lui dis-je
- Ah oui en effet, la fameuse fiesta ou tout le monde se trouvera, l'anniversaire d'une gosse de riche il me semble.
- Comment ça se fait qu'on est des invitations ?
- On en a pas, et franchement elle s'en contrefout pas mal tant qu'il y a du monde et de l'ambiance, c'est bienvenu a tous en fait.
- Je vois le genre, et ça tombe quand ?
- Dans quelques jours, Chloé ne t'a pas mis au courant ?
Me tournant vers Chloé, celle-ci me sourit sans dire un mot comme si elle n'osait pas interrompre ma discussion avec Vincent.
- Si, c'est d'ailleurs pour ça qu'on est la.
- Je suppose que tu va y aller donc ?
- Je ne vois pas de raison pour ne pas y aller.
- Tu a raison mais ...
Vincent laissa sa phrase en suspens comme cherchant la bonne formulation. Puis finalement il reprit.
- C'est pas pour te blesser Joëlle mais la plupart des jeunes de cette ville te croit moi et autant te le dire tout de suite ça en a soulagé plus d'un de savoir ça. Ils ont tous tellement peur de toi que te savoir mort ça a été une délivrance pour eux, alors te revoir comme ça brusquement.
Cette unique phrase, c'est cette unique phrase qui changea tout mon monde en quelques secondes. Ils étaient contents que je sois mort ?
Les enfoirés, je vais les égorger, jusqu'au dernier.
Et moi qui faisait tout mon possible pour me faire accepter et ils étaient content de me savoir mort ?
Mon dieu, j'allais prendre un malin plaisir a réapparaître.
Cette soudaine nouvelle devint si motivante d'un seul coup que ça en serait criminelle que de ne pas y aller.
Chloé remarqua une fois de plus que j’étais en train de craquer et elle posa une main sur mon épaule se voulant inquiète.
Mais ce coup-ci je la repoussai aussitôt, j'en avais assez de toujours me reposer sur elle. Mon geste parut violent bien que ce n’était pas mon intention de départ est un malaise s'installa entre nous trois.
- Je vais bien vous en faites pas.
Oh oui, j'allais même super bien, si ils étaient si a l'aise j'allais tout faire pour les faire changer d'avis, faire en sortes qu'ils rentrent chez eux au bord du suicide. Cette fête s’annonçait génial en fin de compte.
Je me levai de mon siège remerciant Vincent pour ses explications.
Chloé sembla un peu surprise par mon geste.
- Attend, on a pas fini notre journée et...
- Je rentre chez moi Chloé, dans mon propre appartement.
- Mais attend on peut rentrer ensemble. Insista-elle
- Chloé s'il te plaît, j'en ai besoin.
Déçu, c'est la déception que je lisais sur son visage, elle me voyait sûrement faire marche arrière dans ma manière d'agir mais honnêtement ce qu'elle peut penser m'importe peu pour l'instant.
Comme pour briser le silence qui planait Vincent se leva lui aussi et me tendit la main.
- C’était un plaisir de t'avoir revu Joëlle, et je suis content qu'on est pu s'expliquer.
Hésitant un instant mon regard switcha entre Vincent et sa main, puis dans un grand sourire je lui serrai la pince.
Vincent sembla apprécier et me rendit mon sourire.
Puis chacun fit ses adieux et retourna sur son propre chemin.
Seul Chloé resta assise sur sa chaise.
En la voyant comme ça j'eus mal au cœur.
Je me sentais égoïste dans un sens de partir comme ça
Elle qui avait prévu une journée juste pour moi.
Non je ne pouvais définitivement pas partir comme ça.
Faisant demi-tour je me faufilai derrière elle puis tapotai sur son épaule.
A l'instant ou elle se retourna je posai une main sur sa joue et l'embrassai tendrement. Notre baiser dura un petit instant et en nous séparant je lui dis : Je reviendrais, ne t'en fais pas.
Elle vira au rouge tomate en quelques secondes et resta bouche bée ne sachant sûrement pas quoi dire. Je m’éloignai de nouveau sans la quitter des yeux aussi longtemps que je pu. Puis elle disparut au loin.
Une fois seul je me rendis compte du plus gros problème.
Je rentre comment maintenant ?
J’étais venu en voiture avec Chloé et je ne pouvais clairement plus la retourner la voir pour lui dire « Hey désolé en fait si tu pouvais me ramener que je puisse de nouveau te lâcher »
Et prendre le bus n’était plus une option.
Et alors que j’étais sur le point de retourner vers Chloé j’aperçus Vincent se dirigeant vers la sortie, sa canne le ralentissant pas mal il n’était pas encore partit. Je courus dans sa direction et le rattrapai assez facilement.
- Tiens re-bonjour Joëlle. Dit-il en riant
- Écoute, désolé de te demander ça mais j'aurais besoin de quelqu'un pour me ramener.
Légèrement intrigué il répondit :
- Chloé ne peut pas le faire ?
- C'est a dire que c'est plus trop une possibilité.
Il n'insista pas plus longtemps et accepta de me reconduire.
Sa voiture n’était pas trop loin de la sortie, sûrement a cause de sa jambe.
D'ailleurs en parlant de voiture je devais reconnaître que la sienne était forte jolie, une Audi a en croire le logo mais le modèle m’était inconnue.
Une fois que la portière fut déverrouillé je pris place passager a coté de Vincent admirant au passage l’intérieur, les sièges en cuirs brun, le tableau de bord, l’écran tactile au centre. Un vrai bijou comme voiture.
- C'est sympa non ?
- Je dois reconnaître que tu a du goût mon ami.
Vincent se mit a rire puis démarra enfin la voiture qui pris vie dans un bruit a en faire baver les oreilles.
-Mon dieu que c'est puissant ! Dis-je impressionné
Vincent rit de plus belle en observant ma réaction quoiqu'un peut enfantine. Puis il me demanda soudainement de faire silence.
-Tiens regarde, tu vois la dame qui passe la.
Regardant dans la direction qu'il pointait je vis en effet la dame avec son caddie qui se rapprochait de la voiture.
Vincent baissa légèrement la tête comme attendant le bon moment.
Je fis pareil ne sachant pas a quoi m'attendre.
Quand la femme fut devant le capot Vincent appuya sur l’accélérateur ce qui fit hurler le moteur et terrifia la vieille dame qui poussa un hurlement.
Face a la scène j'explosai littéralement de rire rejoint par Vincent.
La vieille dame elle n’était clairement pas très contente mais ça n'en rendait que la scène plus hilarante.
- Alors ça c’était vraiment énorme. Lui dis-je en me retenant de pleurer tant je riais.
- Tu l'a dis. Répondit-il en levant la main, je tapai dedans en riant toujours autant.
Le fou rire dura un instant mais il finit par disparaître au bout d'un moment et le sérieux pu de nouveau prendre sa place.
Vincent se concentrait sur la route et moi je regardais dehors comme a mon habitude.
- Je dois te dire un truc Vincent ?
- Je t’écoute.
- Je pensais pas qu'on finirait ainsi.
- Moi non plus crois moi, la vie est pleine de surprise comme on dit.
- Je suppose que c'est vrai, au juste par rapport a ce que tu a dis tout a l'heure.
- Tu a encore ça en tête hein ?
- C'est difficile a oublier.
-Écoute, je sais que ça doit faire mal mais ici je ne fais que te dire ce que j'ai vu et entendu rien de plus.
-Je ne te reproche rien ne t'en fais pas.
Avant qu'il est le temps de répondre j’enchaînai aussitôt.
-Ah çà y est je suis arrivé.
-Ah, eh bien écoute c’était sympa d'avoir discuter un peu plus longtemps.
-Je trouve aussi, a une prochaine fois Vincent.
Après un dernier salut il redémarra et disparut au tournant.
M'assurant qu'il était bel et bien partie je traversai les quelques rues de distances que j'avais mis pour que même Vincent ne se doute de rien.
Et je le trouvai enfin, me rapprochant de la vitrine j'admirai les différentes lames et couteaux posés sur les étagères.
-Comment on appelle ce genre d'artisan, un coutelier, une coutellerie ? Pensais-je en souriant