Note de la fic :
Chloe et moi
Par : 5xBan
Genre : Sentimental, Horreur
Statut : C'est compliqué
Chapitre 14 : Un autre point de vue.
Publié le 29/08/2015 à 08:48:51 par 5xBan
Un peu plus tôt dans la même journée.
Joëlle s’éloigna de moi et je restai la sur place impuissante face a ce qu'il se passait.
-Quel imbécile arrogant. Me dis-je a moi même
Mais dans un sens je ne pouvais pas m’empêcher de lui donner raison. Joëlle tourna au coin de la rue puis disparut complètement de mon champs de vision.
Fichu Vincent, si ce foutu jaloux ne s'en était pas pris a lui on vivrait le bonheur parfait en ce moment.
Après qu'il m'est embrassé j'en frissonnais encore de bonheur, qui aurait pensé que ce grand solitaire que tout le monde redoutait cachait en réalité quelqu'un de plus tendre derrière.
Je le savais, je l'ai toujours su d'ailleurs, ce cliché n'existe pas pour rien et je l'ai bien vu avec lui.
Seulement a peine été je parvenu en classe que tout le monde se mit a parler d'une bagarre qui venait tout juste d’éclater, et lorsque j'ai su qui en était l'auteur je me suis précipité aussi vite que j'ai pu.
Quand j'ai vu Joëlle par terre en train de saigner j'ai cru que j'allais tuer Vincent.
Ce connard écervelé avait décidé de s'en prendre a lui par pur jalousie et j'appris plus tard qu'il s’était même fait passer pour mon copain.
Joëlle était au sol reprenant sa respiration, quand il m'a aperçut il m'a jeté un regard que je n'oublierais jamais, un regard plein de haine mais aussi de tristesse.
Et c'est a ce moment la .... qu'il a changé, il s'est passé quelque chose chez lui... il a comme été pris d'une rage meurtrière et s'en est prit a Vincent avec toute la hargne et violence qu'il disposait, j'ai assisté au spectacle sans pouvoir rien faire comme tout ceux qui été présent ce jour la. Ce n’était pas Joëlle a ce moment la j'en étais moi même persuadé, la personne qui s'en est prise a Vincent n’était clairement pas Joëlle, il souriait, riait, il semblait prendre plaisir a ce qu'il faisait.
Il a fallut que les éducateurs s'y mettent au moins a 3 pour pouvoir enfin le plaquer au sol tant il semblait de terminer a terminer ce qu'il avait commencé.
C’était ma faute tout ça, si je n'avais pas été aussi hâtive ou excité j'aurais pu éviter tout ça.
Maintenant Joëlle était renvoyé et ne risquait sûrement pas de revenir et je ne pouvais pas lui en vouloir pour cela, est ce que je pouvais vraiment lui en vouloir ?
Il avait déjà tellement enduré.
A l’école on ne parla que de ça durant les jours qui suivirent et Vincent lui termina sa semaine a l’hôpital a deux doigts de la mort.
Je ne pardonnais pas a Joëlle ce qu'il avait fait pour autant, c’était cruelle et inhumain, mais ma trop grande gentillesse et l'amour que je portais pour lui m’empêcher de réellement m’énerver contre lui.
J'avais besoin de lui parler, j'avais peur qu'il s'en prenne a moi au vu de ce qu'il avait déjà fait mais j'avais besoin de lui parler, besoin de lui expliquer.
Il ne l'entendit malheureusement pas de cet œil la.
Je crus qu'il allait exploser de rage lorsqu'il m'aperçut.
Il fit même mine de ne pas me voir.
Mes explications n'y firent rien, il resta persuadé que ce qu'avait dit Vincent était la réalité.
Et au moment ou je m'y attendais le moins il fondit simplement en larmes sans même chercher a le cacher comme il le faisait d'habitude.
Je pris le risque de l'approcher... j'avais envie de le sentir avec moi, même si ça devait être une dernière fois... il se laissa faire pendant un instant mais ce dégagea très vite avant de prononcer les paroles qui mettrait définitivement fin a notre rencontre.
Je ne savais pas comment réagir, je ne savais pas si je devais pleurer ou hurler ou être en colère contre lui.
Les personnes âgées du parc me lancèrent des regards comme si j'avais été le diable en personne.
Ne trouvant pas de raison de rester je décidai de retourner chez moi la.
Refermant la porte je jetai mon sac sur mon canapé et prit la direction de ma chambre ou je retirai pantalon, haut et soutien-gorge.
J'ai toujours pensé que c’était une horreur a porter et je me sentais beaucoup mieux sans.
Enfin plus a l'aise en culotte je m’étirai un grand coup en prenant une longue inspiration puis me relâchai expirant un grand coup.
Jetant un œil a mon appartement je ne pus m’empêcher d'avoir la pensée utopique que Joëlle et moi aurions pu partager cette endroit et être heureux.
Maintenant je devais me résoudre au fait qu'il ne voulait plus de moi, un bonheur qui n'aura duré que quelques instants.
N'ayant plus grand chose d'autres a faire je m'installai bien a l'aise sur mon canapé et passai le reste de mon temps sur facebook.
La plupart des messages que je reçus ne parlait que de Joëlle.
« Comment tu peux aimer ce psychopathe ? »
« Ce type est complètement malade »
« Tu a vu ce qu'il a fait a Vincent ? »
« Si j’étais toi je le laisserais tomber »
Toutes mes copines savaient que j'avais embrasser Joëlle juste avant que tout ne dérape et elles en rajoutaient désormais chacune leurs grains de sels.
Facebook me lassa vite, tout le monde était décide de me rappeler chaque instant que Joëlle était un monstre ou que sais je quel adjectif.
Je ne pensais pas la même chose et j'en avais bien eu la preuve tout a l'heure.
Pour moi c’était juste un garçon qui essayait de se trouver un nouveau départ.
Mais j'avais peur de lui.... dire le contraire serait également stupide, je l'aimais .... mais j'avais peur de lui.
Son histoire ainsi que celles de ses tristes camarades avait fait le tour du monde a l’époque.
Je n’étais encore qu'une enfant mais je m'en souviens très bien... toute une affaire.
Le pauvre... je me disais qu'un traumatismes pareil ça devait forcement vous retournez la tète.
A quoi devait seulement ressembler son quotidien ?
C'est la qu’après je ne sais combien de temps je reçus cet appel, c’était un numéro non répertorié et je faillis même raccrocher.
Mais j'abandonnai immédiatement cette idée quand j'entendis la voix a l'autre bout du fil.
En raccrochant je bondis de joie comme une petite fille, ça semblait si louche que j'avais peine a y croire.
Mais si Joëlle acceptait de me donner une seconde chance je n'allais plus lui laisser l’occasion de m’échapper.
Il fallait que je me prépare, que je mette la table ... et que je m'habille, je n'allais tout de même pas le recevoir en culotte et seins nues.
Même si pour un garçon ça ne le dérangerait sûrement pas.
Je ris toute seul a cette pensée stupide puis fonçai me changer dans ma chambre.
D’après ce qu'il m'avait dit il venait juste prendre un thé alors je devais éviter d'en faire trop au risque de le mettre mal a l'aise ou encore de le faire fuir.
Rien que pour l’occasion j'utilisai mon meilleur thé, je le gardais pour les occasions spéciales et dans le cas présent c’était une occasion spéciale.
Bon la table était prête mais me restait encore a choisir un habit adéquat, j'avais de quoi faire dans ma garde robe mais je n'arrivais pas a me décider.
Plutôt élégant, chic, sexy, décontracté ?
Je m'en serais arraché la tête tant le choix était difficile mais j’optai finalement pour quelque chose de plus décontracté, un jeans et une chemise avec un décolleté... loin de moi l'idée de faire l'allumeuse mais je voulais lui en mettre un max.
Même si connaissant un peu Joëlle mon décolleté ne lui ferait sûrement ni chaud, ni froid.
J’hésitai un moment l'ouvrant un peu plus puis le refermant avant d'ouvrir d'avantage.
Puis finalement décidai de le laisser plus ouvert.
Mon appart n’était pas en bordel, la table était servit, j’étais en tenue et je n'avais plus qu'a attendre l'arrivée de Joëlle.
L’opération « Re-seduction de Joëlle » allait pouvoir commencer et je ne laisserais plus l'autre débile tout gâcher.
Joëlle s’éloigna de moi et je restai la sur place impuissante face a ce qu'il se passait.
-Quel imbécile arrogant. Me dis-je a moi même
Mais dans un sens je ne pouvais pas m’empêcher de lui donner raison. Joëlle tourna au coin de la rue puis disparut complètement de mon champs de vision.
Fichu Vincent, si ce foutu jaloux ne s'en était pas pris a lui on vivrait le bonheur parfait en ce moment.
Après qu'il m'est embrassé j'en frissonnais encore de bonheur, qui aurait pensé que ce grand solitaire que tout le monde redoutait cachait en réalité quelqu'un de plus tendre derrière.
Je le savais, je l'ai toujours su d'ailleurs, ce cliché n'existe pas pour rien et je l'ai bien vu avec lui.
Seulement a peine été je parvenu en classe que tout le monde se mit a parler d'une bagarre qui venait tout juste d’éclater, et lorsque j'ai su qui en était l'auteur je me suis précipité aussi vite que j'ai pu.
Quand j'ai vu Joëlle par terre en train de saigner j'ai cru que j'allais tuer Vincent.
Ce connard écervelé avait décidé de s'en prendre a lui par pur jalousie et j'appris plus tard qu'il s’était même fait passer pour mon copain.
Joëlle était au sol reprenant sa respiration, quand il m'a aperçut il m'a jeté un regard que je n'oublierais jamais, un regard plein de haine mais aussi de tristesse.
Et c'est a ce moment la .... qu'il a changé, il s'est passé quelque chose chez lui... il a comme été pris d'une rage meurtrière et s'en est prit a Vincent avec toute la hargne et violence qu'il disposait, j'ai assisté au spectacle sans pouvoir rien faire comme tout ceux qui été présent ce jour la. Ce n’était pas Joëlle a ce moment la j'en étais moi même persuadé, la personne qui s'en est prise a Vincent n’était clairement pas Joëlle, il souriait, riait, il semblait prendre plaisir a ce qu'il faisait.
Il a fallut que les éducateurs s'y mettent au moins a 3 pour pouvoir enfin le plaquer au sol tant il semblait de terminer a terminer ce qu'il avait commencé.
C’était ma faute tout ça, si je n'avais pas été aussi hâtive ou excité j'aurais pu éviter tout ça.
Maintenant Joëlle était renvoyé et ne risquait sûrement pas de revenir et je ne pouvais pas lui en vouloir pour cela, est ce que je pouvais vraiment lui en vouloir ?
Il avait déjà tellement enduré.
A l’école on ne parla que de ça durant les jours qui suivirent et Vincent lui termina sa semaine a l’hôpital a deux doigts de la mort.
Je ne pardonnais pas a Joëlle ce qu'il avait fait pour autant, c’était cruelle et inhumain, mais ma trop grande gentillesse et l'amour que je portais pour lui m’empêcher de réellement m’énerver contre lui.
J'avais besoin de lui parler, j'avais peur qu'il s'en prenne a moi au vu de ce qu'il avait déjà fait mais j'avais besoin de lui parler, besoin de lui expliquer.
Il ne l'entendit malheureusement pas de cet œil la.
Je crus qu'il allait exploser de rage lorsqu'il m'aperçut.
Il fit même mine de ne pas me voir.
Mes explications n'y firent rien, il resta persuadé que ce qu'avait dit Vincent était la réalité.
Et au moment ou je m'y attendais le moins il fondit simplement en larmes sans même chercher a le cacher comme il le faisait d'habitude.
Je pris le risque de l'approcher... j'avais envie de le sentir avec moi, même si ça devait être une dernière fois... il se laissa faire pendant un instant mais ce dégagea très vite avant de prononcer les paroles qui mettrait définitivement fin a notre rencontre.
Je ne savais pas comment réagir, je ne savais pas si je devais pleurer ou hurler ou être en colère contre lui.
Les personnes âgées du parc me lancèrent des regards comme si j'avais été le diable en personne.
Ne trouvant pas de raison de rester je décidai de retourner chez moi la.
Refermant la porte je jetai mon sac sur mon canapé et prit la direction de ma chambre ou je retirai pantalon, haut et soutien-gorge.
J'ai toujours pensé que c’était une horreur a porter et je me sentais beaucoup mieux sans.
Enfin plus a l'aise en culotte je m’étirai un grand coup en prenant une longue inspiration puis me relâchai expirant un grand coup.
Jetant un œil a mon appartement je ne pus m’empêcher d'avoir la pensée utopique que Joëlle et moi aurions pu partager cette endroit et être heureux.
Maintenant je devais me résoudre au fait qu'il ne voulait plus de moi, un bonheur qui n'aura duré que quelques instants.
N'ayant plus grand chose d'autres a faire je m'installai bien a l'aise sur mon canapé et passai le reste de mon temps sur facebook.
La plupart des messages que je reçus ne parlait que de Joëlle.
« Comment tu peux aimer ce psychopathe ? »
« Ce type est complètement malade »
« Tu a vu ce qu'il a fait a Vincent ? »
« Si j’étais toi je le laisserais tomber »
Toutes mes copines savaient que j'avais embrasser Joëlle juste avant que tout ne dérape et elles en rajoutaient désormais chacune leurs grains de sels.
Facebook me lassa vite, tout le monde était décide de me rappeler chaque instant que Joëlle était un monstre ou que sais je quel adjectif.
Je ne pensais pas la même chose et j'en avais bien eu la preuve tout a l'heure.
Pour moi c’était juste un garçon qui essayait de se trouver un nouveau départ.
Mais j'avais peur de lui.... dire le contraire serait également stupide, je l'aimais .... mais j'avais peur de lui.
Son histoire ainsi que celles de ses tristes camarades avait fait le tour du monde a l’époque.
Je n’étais encore qu'une enfant mais je m'en souviens très bien... toute une affaire.
Le pauvre... je me disais qu'un traumatismes pareil ça devait forcement vous retournez la tète.
A quoi devait seulement ressembler son quotidien ?
C'est la qu’après je ne sais combien de temps je reçus cet appel, c’était un numéro non répertorié et je faillis même raccrocher.
Mais j'abandonnai immédiatement cette idée quand j'entendis la voix a l'autre bout du fil.
En raccrochant je bondis de joie comme une petite fille, ça semblait si louche que j'avais peine a y croire.
Mais si Joëlle acceptait de me donner une seconde chance je n'allais plus lui laisser l’occasion de m’échapper.
Il fallait que je me prépare, que je mette la table ... et que je m'habille, je n'allais tout de même pas le recevoir en culotte et seins nues.
Même si pour un garçon ça ne le dérangerait sûrement pas.
Je ris toute seul a cette pensée stupide puis fonçai me changer dans ma chambre.
D’après ce qu'il m'avait dit il venait juste prendre un thé alors je devais éviter d'en faire trop au risque de le mettre mal a l'aise ou encore de le faire fuir.
Rien que pour l’occasion j'utilisai mon meilleur thé, je le gardais pour les occasions spéciales et dans le cas présent c’était une occasion spéciale.
Bon la table était prête mais me restait encore a choisir un habit adéquat, j'avais de quoi faire dans ma garde robe mais je n'arrivais pas a me décider.
Plutôt élégant, chic, sexy, décontracté ?
Je m'en serais arraché la tête tant le choix était difficile mais j’optai finalement pour quelque chose de plus décontracté, un jeans et une chemise avec un décolleté... loin de moi l'idée de faire l'allumeuse mais je voulais lui en mettre un max.
Même si connaissant un peu Joëlle mon décolleté ne lui ferait sûrement ni chaud, ni froid.
J’hésitai un moment l'ouvrant un peu plus puis le refermant avant d'ouvrir d'avantage.
Puis finalement décidai de le laisser plus ouvert.
Mon appart n’était pas en bordel, la table était servit, j’étais en tenue et je n'avais plus qu'a attendre l'arrivée de Joëlle.
L’opération « Re-seduction de Joëlle » allait pouvoir commencer et je ne laisserais plus l'autre débile tout gâcher.