Note de la fic :
La Boite
Par : MonsieurF
Genre : Science-Fiction, Fantastique
Statut : C'est compliqué
Chapitre 15 : 2012 - 2éme partie
Publié le 29/10/2013 à 16:46:34 par MonsieurF
[c]- Février 2013 -[/c]
L'ascenseur montait lentement. Quand il eut arrivé au 12éme étage, il s'arrêta et les portes s'ouvrirent dans un long grincement. Robert en sorti, avec un gros carton dans les bras. Il avança dans le couloir qui s'offrait à lui, et s'arrêta devant une porte ayant le numéro "26" inscrit dessus.
Il farfouilla maladroitement dans les poches de sa veste et en sorti un jeu de clé. Il inséra dans la serrure l'une des clé, et entra dans l'appartement.
-C'est moi! dit-il en entrant.
L'homme, posa son carton sur un meuble devant l'entrée de l'appartement, et en sorti un appareil photo numérique.
Il regarda furtivement dans le salon s'il n'y avait personne, puis dans la cuisine, et se dirigea vers la chambre.
Henry était assis au bureau dans la chambre, et travaillait sur un ordinateur. Un considérable amas de papier en tout genre, jonchait le sol, le bureau, et le lit.
-Ah tu es là, je te cherchais, fit Robert
-Désolé je travaille sur un truc plutôt compliqué, lança Henry, concentré sur ses équations.
-Comme quoi? demanda Robert
-C'est rien, quelque chose sur lequel je travaille vite fait, ça n'a rien à voir avec mes recherches principales... c'est une histoire d'espace-temps... enfin tu comprendrais pas.
-Bien sûr, n'oublions pas que je ne suis que le porte-feuille dans cette société moi, lança Robert sur le ton de l'humour
Henry tapait sur son ordinateur portable comme s'il n'avait pas entendu ce qu'avait dit Robert.
Ce dernier reprit ;
-D'ailleurs, notre société manque cruellement de deux choses ; un nom et des locaux. On ne peut pas rester dans mon appart', c'est pas vraiment l'idéal ici.
-Tu veux aller où ? demanda Henry
-Figure toi que j'ai ma petite idée. Louer un local, c'est pas terrible comme idée. Alors je me suis dit qu'on pourrait nous même acheter un terrain, et y bâtir ce qu'on veux, selon nos besoins. Tu crois pas ?
Henry releva la tête, et semblait ne pas trouver l'idée mauvaise.
-Je veux bien mais on irait où ? Pas en ville, je te l'ai dit, j'aimerais bien qu'on soit tranquille.
Robert, alluma son appareil photo numérique, fit défiler quelques photos et posa l'appareil devant Henry.
-Regarde ça, ça te conviendrait toi?
-C'est où?
-C'est près de Warwick, c'est en plein milieu d'une forêt de pins. Y'a pas âme qui vive, juste un fermier qui possède un terrain à coté, mais on devrait arriver à le faire partir en agitant nos liasses sous son nez.
Pour l'instant y'a vraiment que des pins, mais en rasant un peu la zone, on devrait pouvoir rendre le terrain constructible, à l’abri des regards indiscrets.
Henry regarda longuement les photos, apparemment convaincu.
-D'accord, fait le nécessaire. Dès qu'on pourra on commencera à faire construire un petit local, juste le nécessaire au début, fît Henry
-Parfait! Le lieu c'est réglé, et pour le nom de notre société ?
Henry ferma son ordinateur portable, et réfléchi quelques instants.
-Pourquoi pas... "Noble-Sharp & Co" ? proposa Henry
-Non... ça donne pas envie ça. Il faudrait un nom qui image parfaitement nos activités.
-"Aperture Science" ? fît Henry
-Très drôle!
Tout deux réfléchirent en proposant tour à tour des noms. C'est alors qu'Henry eut une idée.
-Attends, et pourquoi pas "Enkéfalos" ?
-Ça me parle... tu sors ça d'où?
-C'est l'équivalent grec du mot "cerveau"... c'est raccord avec ce qu'on fait non ?
-Ouais ouais... mais pourquoi pas plutôt "Kéfalos" tout court? Ça sonne mieux je trouve ! lança Robert
-D'accord ça me va ! fît Henry
Heureux d'avoir pu trouver un nom et un terrain pour un futur local, ils débouchèrent une bouteille de champagne.
-D'où tu sors tout cet argent, au fait? demanda Henry à Robert.
-Ma mère, Sophia, était une femme puissante, elle a énormément travaillée tout au long de sa vie. Puis elle à épousée un millionnaire, qui à sa mort lui à tout légué. Puis plus tard elle à épousée un milliardaire, et même topo... elle à amassée tellement d'argent que lorsqu'elle à disparue de la surface de la terre, j'ai pu toucher tout ce qu'elle avait. Et avec de bonne bases financières j'ai pu me lancer dans des activités très lucratives. Et vu que je ne suis pas du genre à claquer mon argent inutilement, je suis venu à ta rencontre car j'ai vu ton potentiel et je pense qu'avec mon aide tu peux faire de grandes choses. Le reste de l'histoire tu l'a connais.
-D'accord je vois.
Robert bu le reste de sa coupe de champagne, et rassembla ses affaires pour partir.
-Bon, je vais m'occuper de ce terrain, il est l'heure pour Kéfalos, d'enfin voir le jour !
[c]- Quelques jours plus tard -[/c]
Henry et Robert étaient tous les deux à l'appartement. Alors qu'Henry travaillait sur son ordinateur, Robert mettait en ordre les papiers du dossier pour le terrain dans la forêt de pins.
C'est alors que quelqu'un sonna à la porte de l'appartement. Ni Robert, ni Henry ne s'attendaient à recevoir quelqu'un.
Robert ouvrit la porte.
-Bonjour, que puis-je faire pour vous? demanda-t-il
-Bonjour... vous êtes bien monsieur Robert Sharp?
-Oui c'est moi... que se passe-t-il?
-Je me présente; Agent Philippe Schreiber... j'enquête sur une disparition et j'aurais aimé vous poser quelques questions.
L'ascenseur montait lentement. Quand il eut arrivé au 12éme étage, il s'arrêta et les portes s'ouvrirent dans un long grincement. Robert en sorti, avec un gros carton dans les bras. Il avança dans le couloir qui s'offrait à lui, et s'arrêta devant une porte ayant le numéro "26" inscrit dessus.
Il farfouilla maladroitement dans les poches de sa veste et en sorti un jeu de clé. Il inséra dans la serrure l'une des clé, et entra dans l'appartement.
-C'est moi! dit-il en entrant.
L'homme, posa son carton sur un meuble devant l'entrée de l'appartement, et en sorti un appareil photo numérique.
Il regarda furtivement dans le salon s'il n'y avait personne, puis dans la cuisine, et se dirigea vers la chambre.
Henry était assis au bureau dans la chambre, et travaillait sur un ordinateur. Un considérable amas de papier en tout genre, jonchait le sol, le bureau, et le lit.
-Ah tu es là, je te cherchais, fit Robert
-Désolé je travaille sur un truc plutôt compliqué, lança Henry, concentré sur ses équations.
-Comme quoi? demanda Robert
-C'est rien, quelque chose sur lequel je travaille vite fait, ça n'a rien à voir avec mes recherches principales... c'est une histoire d'espace-temps... enfin tu comprendrais pas.
-Bien sûr, n'oublions pas que je ne suis que le porte-feuille dans cette société moi, lança Robert sur le ton de l'humour
Henry tapait sur son ordinateur portable comme s'il n'avait pas entendu ce qu'avait dit Robert.
Ce dernier reprit ;
-D'ailleurs, notre société manque cruellement de deux choses ; un nom et des locaux. On ne peut pas rester dans mon appart', c'est pas vraiment l'idéal ici.
-Tu veux aller où ? demanda Henry
-Figure toi que j'ai ma petite idée. Louer un local, c'est pas terrible comme idée. Alors je me suis dit qu'on pourrait nous même acheter un terrain, et y bâtir ce qu'on veux, selon nos besoins. Tu crois pas ?
Henry releva la tête, et semblait ne pas trouver l'idée mauvaise.
-Je veux bien mais on irait où ? Pas en ville, je te l'ai dit, j'aimerais bien qu'on soit tranquille.
Robert, alluma son appareil photo numérique, fit défiler quelques photos et posa l'appareil devant Henry.
-Regarde ça, ça te conviendrait toi?
-C'est où?
-C'est près de Warwick, c'est en plein milieu d'une forêt de pins. Y'a pas âme qui vive, juste un fermier qui possède un terrain à coté, mais on devrait arriver à le faire partir en agitant nos liasses sous son nez.
Pour l'instant y'a vraiment que des pins, mais en rasant un peu la zone, on devrait pouvoir rendre le terrain constructible, à l’abri des regards indiscrets.
Henry regarda longuement les photos, apparemment convaincu.
-D'accord, fait le nécessaire. Dès qu'on pourra on commencera à faire construire un petit local, juste le nécessaire au début, fît Henry
-Parfait! Le lieu c'est réglé, et pour le nom de notre société ?
Henry ferma son ordinateur portable, et réfléchi quelques instants.
-Pourquoi pas... "Noble-Sharp & Co" ? proposa Henry
-Non... ça donne pas envie ça. Il faudrait un nom qui image parfaitement nos activités.
-"Aperture Science" ? fît Henry
-Très drôle!
Tout deux réfléchirent en proposant tour à tour des noms. C'est alors qu'Henry eut une idée.
-Attends, et pourquoi pas "Enkéfalos" ?
-Ça me parle... tu sors ça d'où?
-C'est l'équivalent grec du mot "cerveau"... c'est raccord avec ce qu'on fait non ?
-Ouais ouais... mais pourquoi pas plutôt "Kéfalos" tout court? Ça sonne mieux je trouve ! lança Robert
-D'accord ça me va ! fît Henry
Heureux d'avoir pu trouver un nom et un terrain pour un futur local, ils débouchèrent une bouteille de champagne.
-D'où tu sors tout cet argent, au fait? demanda Henry à Robert.
-Ma mère, Sophia, était une femme puissante, elle a énormément travaillée tout au long de sa vie. Puis elle à épousée un millionnaire, qui à sa mort lui à tout légué. Puis plus tard elle à épousée un milliardaire, et même topo... elle à amassée tellement d'argent que lorsqu'elle à disparue de la surface de la terre, j'ai pu toucher tout ce qu'elle avait. Et avec de bonne bases financières j'ai pu me lancer dans des activités très lucratives. Et vu que je ne suis pas du genre à claquer mon argent inutilement, je suis venu à ta rencontre car j'ai vu ton potentiel et je pense qu'avec mon aide tu peux faire de grandes choses. Le reste de l'histoire tu l'a connais.
-D'accord je vois.
Robert bu le reste de sa coupe de champagne, et rassembla ses affaires pour partir.
-Bon, je vais m'occuper de ce terrain, il est l'heure pour Kéfalos, d'enfin voir le jour !
[c]- Quelques jours plus tard -[/c]
Henry et Robert étaient tous les deux à l'appartement. Alors qu'Henry travaillait sur son ordinateur, Robert mettait en ordre les papiers du dossier pour le terrain dans la forêt de pins.
C'est alors que quelqu'un sonna à la porte de l'appartement. Ni Robert, ni Henry ne s'attendaient à recevoir quelqu'un.
Robert ouvrit la porte.
-Bonjour, que puis-je faire pour vous? demanda-t-il
-Bonjour... vous êtes bien monsieur Robert Sharp?
-Oui c'est moi... que se passe-t-il?
-Je me présente; Agent Philippe Schreiber... j'enquête sur une disparition et j'aurais aimé vous poser quelques questions.